Island In The Sun ; feat slevou.

SLEVOUUUUU !

Oh tu m'as manqué, tu m'as manqué. Je suis désolée, je vais tout t'expliquer !

Slevin avait vraiment la tête dans les nuage. Il avait replier les jambe contre son corps et avait maintenant le menton sur ses genoux. Il avait les yeux fixer sur le coucher de soleil. Se demandant comment il avait fait pour arriver à cette vie mélancolique et renfermer... Il était profondément plonger dans son univers bien à lui, lorsqu'il entendue une voix féminine. Il tourna rapidement et la vit. Elle était là sur la plage. Elle courait vers lui. C'était fou comment Slevin avait voulu la retrouver. Il avait fuit New-York, n'y trouvant plus rien d'intéressant. Non seulement son père pesait lourd sur sa conscience, mais le départ de Jerrika l'avait aussi beaucoup affecter. Lors de son retour, il avait essayer par tout les moyens de la retrouver. Il avait tout fait tout les endroits ou Jerrika allait, il avait rencontrer des gens qu'elle avait fréquenté, mais rien... Pas de nouvelles, ni de photos... Ni d'endroit précis d'où elle aurait pu être. Pendant le cours instant que Jerrika avait courue vers lui, Slevin avait vu ce moment comme étant une éternité. Lorsqu'elle arriva tout près de lui, Slevin déplia les jambes et posa les pieds au sol. Il ne su pas comment mais il se retrouva au sol avec Jerrika par dessus lui. Puis elle se mit à l'enlacer. Slevin n'eut pas le temps de penser et la serra très fort contre lui. Pouvant à nouveau sentir son parfum, tout contre lui. Ce qui était étonnant, c'est qu'il n'avait rien de celui d'autre fois. Mais Slevin n'en avait rien à faire . Il était étendu sur le sable, avec sa Rika sur lui. Lorsqu'elle se mit à s'excuser, Slevin fit tout pour redresser son corps. Il s'asseoya, et garda Jerrika sur ses cuisses. Il la regarda un petit moment et prit son joli visage entre ses deux mains. Il n'avait pas dit un mot, jusqu'à ce moment. C'était avec le visage de Jerrika entre les mains qu'il réalisa qu'il devait maintenant parler. Mais il en était incapable. Pourquoi, il n'en savait rien... Sûrement la surprise, ou simplement le fait qu'il ne s'exprimait plus vraiment... Surtout ses sentiments. C'était rare qu'il laisse paraitre quoi que ce soit. Mais là tout était différent. Il tendit le cou et lui déposa un baiser sur front. Puis la fixa dans les yeux. Toujours incapable de rien lui dire. Quoi que son silence voulait dire plein de chose.... Biensûr qu'elle l'avait plaqué sans rien dire... Elle l'avait oublier, mais Slevin avait complètement ce petit détail. Il la regarda fixement dans les yeux.

Tu m'as manquer aussi...

Après tout ce temps, c'était tout ce qu'il trouvait à lui dire. Il lui passa une main dans les cheveux, tout en lui faisait un petit sourire.

Jerri ne savait pas trop ce qui c'était emparée d'elle. Comme un étrange pincement dans sa gorge qui n'avait cesse que lorsqu'elle avait déçider de lui crier et de courir vers lui. S'aurait pu être n'importe qui, elle aurait pu avoir l'air complètement borjo. Mais alors qu'elle le serrait dans ses bras elle se sentait bien. Elle se sentait étrangement bien, tout semblait bien. Le jeune homme déçida de s'assoire, la gardant assise sur lui. Les longues jambes de la demoiselle reposant doucement de chaques côtés du corps du jeune homme. Il ne disait rien, absolument rien. Slevin prit alors son visage entre ses mains. Jerrika ne pu s'empêcher de fermer les yeux pendant un moment. Tellement de souvenirs revenaient dans sa tête. Tellement trop de souvenirs que n'en nommer un seul en disant qu'il était le plus beau aurait été dénigrer les autres qui ne le méritaient pas. Jerrika ouvrit de nouveaux ses jolis yeux marons qu'elle posa de nouveau sur Slevin. Il était muet et tennait toujours son visage entre ses mains si douces. C'est au moment où leurs regards s'épiaient qu'elle réalisa à quel point elle avait pu être idiote. La rouquine réalisait à quel point elle avait été égoïste et insouciante. Elle était embarquée dans les idées folles de sa nouvelle amie et avait complètement délaissé son petit ami. Tout ça pour des soirées, des nuits dont elle ne se rapellait même pas. Elle l'avait regretter pendant ses journées en pension, mais mainteant elle regrettait encore d'avantage. Elle regrettait la souffrance qu'elle voyait dans les yeux de son meilleur ami. Si elle l'avais oublier ? Non. Le voir, ici et maintenant la rejouissait plus que tout. Elle l'avait chercher tellement longtemps, tellement partout. Et c'est au moment le moins probable, dans le lieu le plus anodin qu'elle le retrouvait. Ses retrouvailles étaient étrangement sadiques. L'emplissant de bonheur en même temps qu'elle lui déchirait les entrailles. Comme si ce n'était pas assez, il avait tendu le coup vers son front où il avait déposer un doux baiser. Il lui répondit simplement qu'elle lui avait manquer aussi. Peut-être était-ce seulement par politesse, mais Slevin lui avait réellement manqué. Son rire contagieux et leurs moments de complicité lui avait manqué. Sa façon d'être sérieux et l'intérêt avec lequel il l'écoutait parler lui avait manquer. Sa façons un peu étrange de plisser ses lèvres et sa mauvaise habitude de sourire lorsqu'ils échangaient des baisers lui manquait. Sa façon d'être et la façon dont ils étaient bien ensemble lui manquaient cruellement. Il n'ajouta rien de plus. Caressant doucement ses cheveux tout en lui faisant un petit sourire auquel elle n'avait jamais eu la forçe de rester de glace. Elle n'avait pas envie de ce battre contre elle, mais elle se retenait à deux mains pour ne pas poser ses lèvres sur les siennes. Elle lui avait fait mal et elle ne voulait pas le refaire. Elle était la seule responsable de l'histoire et elle le savait. Mais dieu qu'elle aurait aimé retourner dans le passé et éviter les mauvaises déçisions qu'elle avait prise. Jerk réussit à se retenir suffisament pour ne pas s'emparer des lèvres de son amour d'enfance. Mais ce ne fut pas sans épargné ses propres lèvres, qu'elle mordait férocement. Jerrika cessa de torturer ses pauvres lèvres qui finirent par se tordre en un doux sourire. Les mots lui manquaient en ce moment. En ce moment la demoiselle se moquait un peu des politiques de politesse, elle était tout simplement emportée par les évènements. Les mains de la jeune femme mourraient d'envie de caresser le visage de son compagnon, mais elles restaient tout simplement sur les genoux de Jerk. Devenus trop sage ou trop peureux pour tenter quoi que ce soit.

— Je t'ai cherché partout dès mon retour. Personne n'as voulu me dire où tu était, ni pourquoi tu n'était plus là. J'ai tellement eu peur. J'ai été idiote, je n'aurais pas du la suivre. Les mots me manque. Je, je sais pas par où commençer ni même si tu veux réellement savoir tout du début à la fin. Je suis simplement désolée, affreusement désolée. Si j'avais su que ça ce terminerais comme ça je n'aurais jamais choisis ce chemin. Je m'en veux...

Avoua-elle dans un soupir avant de détourner ses yeux de sur lui. Ses yeux c'étaient facheusement emplis d'eau, de larmes et elle ne voulait pas qu'il la voit pleurer. Elle ne voulait pas qu'il ait pitié d'elle et qu'il lui pardonne simplement parce qu'elle pleurait c'est la raison pour laquelle elle ne voulait pas qu'il la voit pleurer.

Slevin n'avait jamais rien comprit au sentiment d'appartenance à une personne. Il n'avait eu de la place dans son coeur que pour deux filles en particulier. Il n'avait eu que Jerrika et son autre copine. Les deux l'avaient quitter et il n'avait plus vraiment ressentit de véritable sentiment face à une femme. Mais à l'instant ou Jerrika l'avait serrer dans ses bras, Slevin avait à nouveau ressentit le fait de tenir à quelqu'un de la sorte. Jerrika mit ses longues jambes le long de son corps. Lorsqu'elle ferma les yeux, Slevin se mit à fixer ses lèvres... Il en avait un souvenir clair et net en se moment même. Elles étaient si douces, si délicates, et tendres. Il se rappelait même qu'elle avait un léger goût de cerise, à l'époque Il adorait lorsqu'elle mettait son baume à lèvres et même sans ce dernier, ses lèvres avaient quand même ce petit goût Il ne savait pas quoi faire. Il avait envie de l'embrasser, mais se retenait, comme il ne l'avait jamais fait avant. Il se contenta de baisser les yeux l'espace d'un instant et de les reposer à nouveau sur elle lorsqu'elle ouvrit à nouveau les yeux. Il lui passa la main dans les cheveux et se mit à les caresser doucement. C'était fou comme elle avait changer. Plus rien n'était comme avant. Ses cheveux était totalement différent, mais le regard était toujours le même. Le regard qu'elle posait sur lui à l'instant même était le même de leurs premier baiser... Ou le même de leurs premier rencard. Bref, il n'avait pas changer et Slevin en était heureux. Une des mains de Slevin glissa du visage de Jerrika et caressa son bras, puis son corps, avant d'aller se poser sur une des ses mains à elle, qui était sur ses jambes. Puis elle se mit à lui parler, mais en déballant tout d'un cou et rapidement. Slevin la regarda un petit moment. Puis lorsqu'elle détourna le regard, il retira sa main de ses cheveux et la glissa sur son visage jusqu'à son menton. Il lui releva lentement la tête et la regarda droit dans les yeux.

Rika...Chut... Tout vas bien. Tu n'as pas à t'en vouloir.... Tu as fait le choix que tu devait faire... Je ne t'en veux pas.

Non, en fait, il lui en avait voulu horriblement longtemps. Mais il avait finit par passer l'éponge. Lorsqu'il fut en Californie, il eu tout le temps qu'il voulait pour réfléchir. Et il avait finit par lui pardonner. Après avoir prit conscience qu'elle ne lui avait plus donner de nouvelles... Mais avec son père et sa fuite, il avait eu d'autres choses à penser, ce qu'il l'avait occuper un petit moment.

Si personne ne t'a rien dit, c'est que personne ne savait ou j'étais, ni pourquoi j'ai quitter. Mon père à prit un temps, avant de tout dire.

Son regard était plonger dans le sien. Puis ses yeux fut détourner et en un instant, ses lèvres se retrouvèrent sur les siennes... Sans vraiment comprendre ce qu'il lui avait prit, Slevin recula son visage et la regarda avec un petit sourire. Ses lèvres avaient toujours le même goût de cerise. Elles étaient toujours aussi délicates et peu être même fragiles, depuis l'époque, qui sait ce qu'elle à pu traverser... Slevin refusait de vivre dans le passé. Surtout ce qu'il n'avait pas vécu. Mais il était prêt à l'écouter si elle voulait lui raconter.

Et si tu veux me raconter, je t'écouterais... Mais tu n'es pas obliger.

Il lui souriait toujours, se demandant combien de temps son sourire allait durer.