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CONSTANCE ANA DEARBORN aimerait juste dire à la terre entière d'aller se faire foutre. bien profond surtout. amicalement, C. friday; 8pm. « Un peu plus vite, un peu plus fort. A en perdre la raison, à hurler de rire, à pleurer de joie, et je n’en suis pas là, je ne suis plus là, je crois que je me suis égarée il y a longtemps de ça. Le droit chemin ; ce sentier si étroit que je l’ai finalement quitté. Je ne sais pas, je ne sais rien, si ce n’est que putain, je me sens bien. » CONSTANCE ANA DEARBORN s'ennuie. quelqu'un pour la distraire ? cette proposition n'est pas dénuée de sous-entendus. saturday; 11pm. _PARTAGER_

informations générale

date de naissance : 13 novembre.
originaire de : new york, née dans le sud de la france.
nationalité : elle a la double nationalité, étant née sur le territoire français, n'y ayant cependant passé que quelques semaines à peine.
situation amoureuse : célibataire - pas la peine de retourner le couteau dans la plaie, salauds.
moyenne scolaire sur 100 : il est étonnant de constater qu'elle atteint avec une certaine facilité les soixante-dix-neuf pour-cent.
études en cours : journalisme.

le dossier confidentiel

description physique : Mon physique est ma marque de fabrique, mes sourires en sont l’effigie. Je connais mon potentiel, j’en deviens probablement agaçante, à côté de ces filles complexées qui passent des heures à se préparer pour finalement ne ressembler à rien. C’est certes désolant pour elle, mais bon Dieu, que c’est jouissif. Je mise sur l’apparence, je suis une gamine superficielle qui plisse le nez devant une coupe de cheveux démodée. La mienne n’a, me semble-t-il, rien à se reprocher. Je m’habille dans les plus grandes boutiques, j’ai trimé toute ma vie en avoir les moyens, ce n’est pas pour rien. J’aime le luxe. Plus petite, je bavais devant les vitrines des magasins dans lesquels je ne pensais jamais pouvoir entrer, et, dix ans plus tard, j’y entre comme si j’étais chez moi. D’une certaine manière, c’est le cas. Je ressemble à toutes ces filles trop minces, presque fantomatique, considérées comme anorexique, qui s’envolent au moindre souffle un peu brutal de ce vent qui semble passer son temps à se glisser sournoisement dans mes mèches dorées. J’ai la peau sur les os, diaphane, je suis irréelle, je voue un culte ridicule à la maigreur, et je m’en vante comme s’il s’agissait d’une œuvre d’ordre humanitaire. Mon teint est trop pâle, et cela car j’ai une sainte horreur du soleil. Je sors la nuit, vampire se nourrissant de la vie, mon air hautain et perpétuellement agacé irrite, et je ris, je ris jusqu’à ne plus pouvoir faire autre chose que de pleurer, et je n’en ai rien à faire que l’on me voie. Je suis faible, je me soumets à la mode comme le pauvre mouton décérébré que je suis devenue, et les plus grandes marques m’habillent tandis que je danse sans m’arrêter. On dit que les yeux sont le miroir de l’âme, on dit que les sourires sont havres de bonté ; mon regard est froid, et mes lèvres s’étirent en un rictus ironique tandis que j’observe celles qui virevoltent autour de moi. Mon nez, droit, se plisse de dégoût, mes sourcils parfaitement épilés se soulèvent, et je contemple la connerie humaine – celle-là même qui a fait de moi son esclave. Je ne suis rien d’autre qu’une autre copie, pourtant terriblement orgasmique, je frise tant la perfection que cela en devient ridicule. Je suis un mythe vivant.
description de caractère :
Je suis une tare à moi toute seule.
Je suis un pantin, soumise face à ce monde si vaste, bêlant lorsqu’on lui demande de le faire, je suis une gamine égarée, s’aimant un peu trop pour être honnête. Je suis une garce, de la pire sorte, celle qui sait qu’elle n’a plus rien à perdre, je suis celle qui se fout de tout et de tout le monde, je suis, d’une étrange manière, terriblement méprisable – et pourtant, c’est moi qui vous méprise. Hautaine, prétentieuse, j’ai l’arrogance de ceux qui ont toujours vécu dans le luxe, quand j’ai connu les quartiers pauvres, quand mes meilleurs amis ont un jour été des gosses qui doivent aujourd’hui être devenus sdf, dealers, voire prisonniers, coincés entre des barreaux, et je les observe de l’extérieur, je les regarde de haut, satisfaite de m’en être sortie quand ils ont juste été bons à tomber plus bas encore. Je mens comme je respire, et je me crée une autre vie, je suis un ange déchu, une fillette à qui la vie n’a pas souri, et je me targue d’être toujours en vie. Je suis hypocrite. Et les rumeurs fusent, ils me croient riche héritière, je ne les détrompe pas, car j’aurais dû l’être. Je suis née dans la mauvaise famille, dans la mauvaise rue, à une mauvaise époque, dans le mauvais pays. J’ai tout fait pour m’en éloigner, pour humilier, encore et encore, celle qui m’avait mise au monde, pour lui faire comprendre ses torts. Je hais avec passion, démolis avec fascination, mon art est subtil, à mon image. Je me vois présidente, je me vois tout en haut, piétinant férocement ceux qui ne sont pas parvenus aux sommets, à mes côtés – tant pis pour eux, tant mieux pour moi ; je ne partage pas. Mégalomane, mes rêves de gloire sont ce qui me maintient debout, et je m’y perds, et je pleure à chaque faux pas ; la perfection est mon obsession. Je tente d’y tendre, toutes mes actions s’y rapportent, et je ne laisse jamais personne érafler cette sublime coquille vide qui me sert de corps. On me dit prude, et je cultive cette réputation en riant doucement, je ne fais rien au hasard, et je manipule, je me glisse dans vos songes jusqu’à ce que vous croyez enfin ce que vous pensez vouloir croire, quand la petite voix vous soufflant de vous jeter dans le vide, cette chose appelée conscience, n’est que moi, et je vous dirige de mon trône, que je ne quitte pas, de peur de ne plus jamais pouvoir y remonter un jour. J’ai peur de la vie, j’ai peur de la mort, je mange vite, lis vite, conduis vite, je me dépêche de vivre, et quand le temps me file entre les doigts, je m’écroule une nouvelle fois. Les mois se succèdent, je ferme les yeux sur le passé, me concentre à peaufiner mon futur, ferme les issues, je m’enferme, disparais, réapparais un peu plus tard, détenant ma prochaine victoire.

J’aime à me dire enthousiaste, joyeuse et positive, quand je ne suis qu’un déchet autrefois dépressif, quand je ne suis qu’une épave qui se cache derrière les apparences. Douces illusions que je caresse du bout des doigts, je ne suis jamais plus heureuse que lorsqu’elles deviennent enfin réalité, avant de brusquement me lasser, ce n’est jamais assez. Insatisfaite chronique ; je me fatigue de tout, de vous surtout. Et je repousse, je détruis, je joue avec vos vies pour oublier de jouer avec la mienne, j’avance en équilibre sur un fil invisible tendu, je ferme les yeux, le risque fait partie du jeu. Je suis de toutes les soirées, et je repars presque toujours seule, me targuant d’une chasteté que je ne possède pas. La vérité, c’est que la plupart ne me mérite pas, et je vise haut, la convoitise brille dans mes yeux, je suis de celles qui ne s’affichent en public qu’avec les hommes capables de leur payer une suite au Ritz. J’ai faim de bonheur, j’ai faim de grandeur, je vis de déchéance et de malheur. Je le cache bien, je suis une enfant du diable, et mes tours ne sont pas faits pour vous faire rire ; bien qu’ils m’amusent constamment. Ma réputation est trompeuse, changeante, on ne me cerne pas mais on sait toujours quand je suis là. Je suis une star au milieu des anonymes, je suis une inconnue parmi une foule de célébrités, je ne suis jamais la même, peut-être suis-je schizophrène. Je suis double et pourtant unique, je suis accro à tout ce qui me révulse, j’aime les gens stupides, me targuant de ne pas l’être, quand je suis bien pire. J’évolue avec aisance en société, me plais à choquer, mon humour dérange, cynisme à peine voilé, je prêche le faux pour obtenir le vrai, quand je suis moi-même incapable de toute vérité. Je suis intolérante, n'accepte aucune différence, je m'obstine et trépigne, réputée pour être de mauvaise foi, j'ai toujours raison, quoiqu'il en soit. Je suis instable, en perpétuel mouvement, je ne me tiens pas à mes engagements, promets et puis oublie, sans éprouver ne serait-ce qu’un seul remord, je suis une égoïste reconnue, je ne pense et ne penserai jamais qu’à mon propre plaisir.
Je m’appelle Constance, et Dieu que j’aime l’ironie.
orientation sexuelle : résolument hétérosexuelle, et que celui ou celle qui en doute soit maudit.

bizutage des bleus

confrérie souhaitée : ΚΠΟ
motivation pour la confrérie : « Pour une fois que ma réputation est de mon côté… Manipulation est mon second prénom – on est d’accord, Constance me va mieux au teint, mais je pense que mes parents se sont légèrement trompés à mon sujet. Je joue, décortique, calcule, je prépare des plans des semaines à l’avance, et l’amusement atteint son paroxysme lorsque le visage de ma victime se décompose. Certains appellent ça des coups de pute, je m’offusque. Après tout, je ne critique pas ceux qui pensent que passer des heures devant leur ordinateur en prétendant avoir une vie est la chose la plus merveilleuse qui existe dans ce triste monde. Ce sont des figurants, je suis l’actrice principale. Et je n’en ai rien à faire de ce qu’on pense de moi, les regards m’effleurent sans jamais me toucher, et vous pouvez tendre les doigts, je suis insaisissable et inaccessible. Probablement trop imbue de ma personne, aussi ; mais n’est-ce pas pour cette raison que vous m’avez choisie ? »

petites questions entre amis

ton meilleur ami te fais des avances, tu fais quoi ? : je crois que je me tape une bonne crise de fou rire avant de partir - toujours en riant, j'ai l'infâme habitude de ne pas me calmer très rapidement.
embrasserais-tu la personne à côté de toi ? : je n'embrasse pas n'importe qui.
déambuler nu(e) dans yale, ça te fait peur ? : vu les étranges spécimens qui se baladent dans le coin, je répondrai oui. enfin, ça dépend ce qu'on me donne en échange, évidemment.
plutôt Vodka ou Redbull ? : vodka et redbull. pourquoi toujours choisir ?
genre, t'as combien de contacts facebook ? : pourquoi, tu veux en faire partie ?
tu peux nous dire quelques chose en italien ou en espagnol ? : non, mais je peux dire ta gueule en français, si tu veux.
chante une chanson française, si t'en connais une... : bien sûr, et après je me mets à quatre pattes et j'aboie.
ton gros mot préféré ? : asshole.
tu es du genre à coucher au premier soir ? : ça dépend combien celui qui m'accompagne aura dépensé dans le dîner. je suis une matérialiste affirmée, et le plaisir coûte cher - enfin, pas pour moi, cela va de soi.
cap ou pas cap de draguer le prof d'économie ? : et j'ai quoi en contrepartie ? le commerce mon cher, le commerce.
t'as envie de moi maintenant là, tout de suite ? : si je dis non, tu te vexes ?
je t'emmerde, tu me réponds quoi ?: ton joli petit corps par la fenêtre.
le mot de la fin ? : fuck off.

la réalité vraie

ton prénom, ou pseudo ou les deux : Eva. (:
ton âge ou l'âge que t'as pas (a) : seize ans.
note ce desing sur, 10, 100 ou 1000 : 9,99/10.
avatar : Sasha Pivovarova.
pourquoi ce forum & pas un autre ? : parce que je suis faible ? :D et parce que j'avais envie d'un forum pas prise de tête, simple, blabla.
question stupide; starsky ou hutch ? : hutch. définitivement. parce que bon, on est d'accord, lui et moi, les coco pop's;c'est nul, on veut de chocogrenouille !
le mot de la fin ? bon, normalement, je n'ai pas le temps pour un autre forum. vraiment pas. mais j'ai eu un coup de coeur, j'ai craqué, fouettez-moi - pas trop fort.

FIRSTTTT

bienvenuuuee

merciii.

ouiii, Sasha P. *o*
et pas trop fort le fouet, hein, quand même. j'ai précisé quoi.

bien sûre, je te crois, toutafay.
(pokeuse un jour, pokeuse toujours.
maggle.)

*va voir la fiche*
ooooh, Elo. *-* comment Ed a-t-il pu ne pas me mettre sur la voie ? :o
... genre, mon prénom dans la fiche ne t'a pas mis la puce à l'oreille ? j'avoue, boulette. (a)
enfin, on est deux comme ça. (x

Excellent choix de vava <3
Welcome ^^

Bienvenue!
Sasha est superbe!! (a)
Bonne continuation pour ta fiche!

SASHAAA
bienvenue (a)

Sasha, juste amazing
Très bon choix !
Bienvenue sinon (:

merci à tous.
je vois que Sasha fait l'unanimité.