junk-machine.com
acceuil du site____¨ profil du webmaster____¨ envoyer un mail

TALI SASKIA JENKINS He says close your eyes, Sometimes it helps _PARTAGER_

informations générale

date de naissance : 4 décembre 1988
originaire de : À Amstelveen, dans les Pays-Bas
nationalité : Neerlandaise et amériquaine
situation amoureuse : Célibataire
moyenne scolaire sur 100 : 70 %
études en cours :Études en cinéma pour devenir réalisatrice

le dossier confidentiel

description physique : Sans avoir la prétention de se vanter sur son physique, Saskia se trouve relativement jolie. Même si elle trouve toujours de petites insatisfactions un peu comme tout le monde, elle est assez satisfaite de son physique. Évidemment, quand elle est défoncée, chaque petit problème devient insurmontable. Elle se trouve alors ou très laide ou totalement irrésistible. Si on oublie sa vision d'elle-même, on peut parler plus objectivement de son corps. Elle n'est pas très grande, environs 1m70. Elle est par contre très mince. Elle se remet tranquillement de ses aventures de junkie. Elle a prit quelques kilos en désintox, mais elle reste en dessous de son poids santé. Elle a une magnifique crinière fauve qui tombe en cascade sur ses épaules. Ses cheveux encadrent son visage délicat qu'elle maquille souvent, mais jamais beaucoup. Elle dort de mieux en mieux, ce qui enlève peu à peu les cernes sous ses yeux. Elle a beau avoir une peau bien bronzée, il y a bien des choses qu'on ne peut cacher. La preuve, on le voit tout de suite derrière ses yeux noisette quand elle est défoncée. Ses jambes tremblent, comme le reste de son corps frêle. En fait, elle est frêle mais pas tant que ça. Elle essaie de confier ses problèmes à son punching-ball à la place de s'offrir un joint. Il lui arrive parfois de mettre toute son énergie et ne plus penser à rien d'autre que la raison qui la force à frapper. Elle n'a pas de gros bras, c'est du muscle concentré. Puisqu'elle ne mange pas beaucoup, elle ne prend pas vraiment de masse musculaire. Par contre, elle est bien plus forte que beaucoup d'autres.

description de caractère : On me déteste. On me déteste pour n'importe quoi parce que je fais n'importe quoi. Je fais tout de manière impulsive sans trop penser aux conséquences. Je suis faite comme ça. J'aime manipuler, mais je ne prévois pas mes coups d'avance. Si la personne ne tombe pas dans le panneau, je passe à un autre appel. Et si cette même personne me redonne l'opportunité de la manipuler, je le ferai encore. Si rien ne me vient en tête, j'attendrais la prochaine fois. C'est aussi simple que ça. On me déteste souvent sans trop me haïr. Je dérange, c'est certain, mais je n'aime pas harceler pour rien. Ça ne m'amuse pas. Je peux haïr quelqu'un comme personne et lui souhaiter le pire. Cependant, il faut que cette personne soit venue me chercher assez loin pour que je sorte mes crocs. Il est facile de m'énerver, mais pas de me faire réagir de cette façon. On me déteste aussi pour d'autres raisons, comme ma jalousie maladive et mon impatience. Je refuse d'être la deuxième place pour certaines personnes. Pour d'autres, je pourrais être la dernière, je m'en ficherais complètement. Parfois, on ne parle même pas de me prendre ma place, on parle d'une fille qu'il voit dans la rue ou une simple amie. Je n'en ai rien à faire. C'est comme ça que ça commence. Ensuite, ils se voient de plus en plus souvent et je finis par descendre du podium jusqu'à en perdre une médaille de bronze. Je le sais et je ne veux tout simplement pas en arriver là. Quant à mon impatience, je fais mon possible, mais il n'y a rien à faire. Je n'ai jamais été capable d'attendre. Ça m'a toujours irrité. On me déteste aussi à cause de mon mauvais caractère. Je suis susceptible et rancunière. Rares sont ceux qui ont réussis à s'accommoder de mon attitude. Je tente aussi de cacher mes problèmes et mes sentiments. Ils croient que je ne leur fais pas confiance. C'est très énervant, dérangeant et particulièrement tentant de me détester. Je les comprends. Il est donc difficile de m'aimer pour ma sincérité, ma spontanéité, ma sensibilité et mon sens de l'humour. Pourtant, je préfère que ça reste ainsi. Voyez vous, je préfère qu'on me déteste comme je suis plutôt qu'on m'aime pour ce que je ne suis pas.
orientation sexuelle : Hétérosexuelle, mais elle avoue avoir déjà eu une relation avec une femme.

histoires générale : Je suis née dans une petite ville des Pays-Bas, Amstelveen. Ce n'était pas vraiment un village, mais on connaissait assez rapidement plus de la moitié des habitants. C'était un peu ennuyant, mais il y avait un côté « familial » avec les voisins qui était non négligeable. Les commères se rencontraient le jeudi au marché pour alimenter les rumeurs. Les enfants allaient à l'école et se voyaient le dimanche pour jouer au foot dans la rue. J'ai grandis dans cet endroit. J'ai été élevée dans cette communauté. Mon frère et moi fréquentions les mêmes amis parce qu'on avait seulement un an de différence. Il était bien plus timide que moi, mais je parlais pour deux. Je croyais qu'il n'était qu'un peu plus renfermé. Je n'ai jamais voulu croire qu'il était différent. C'était mon frère. Personne d'autre. Les médecins n'étaient pas d'accords. Ils disaient qu'il avait développé un comportement antisocial et qu'il était atteint de schizophrénie. C'est exactement ce qu'ils nous ont dit. Je n'ai jamais pu l'oublier. Je me souviens les avoir engueulés comme du poisson pourri. Mes parents m'ont pris appart et m'ont dit de la fermer. Je ne les avais jamais vus aussi fermes. Mon frère sortit alors de la clinique. Je refusais de croire qu'il n'était plus le même. La vérité me sauta au visage assez rapidement. La semaine suivante, nous déménagions pour Amsterdam, la capitale du pays. Nous quittions notre petite ville pour offrir à mon frère des soins spécialisés. Il y avait des spécialistes et de meilleurs traitements là-bas. Nous emménageâmes dans un petit appartement dans le centre-ville. Les gens n'étaient pas vraiment plus méchants. C'était juste un monde plus froid. Je dois avouer que je commençais à m'y faire et à apprécier ce genre d'endroit. Il n'y avait pas toujours les ancêtres qui venaient tout raconter à tes parents ni tous les passants qui te reconnaissaient. Je n'avais plus autant de personnes qui ne faisaient que m'emmerder dans mes activités. J'essayais de passer le plus de temps possible avec mon frère même s'il était de plus en plus absent. Il restait cloîtré à broyer du noir. Il me confiait ses angoisses. J'essayais de ne pas trop le prendre au sérieux. Pourtant, je voyais à quel point ça le torturait. Il n'exagérait aucune de ses paroles. Heureusement, il commençait à se faire des amis. J'étais toujours si heureuse de le voir partir avec eux. Il revenait toujours un peu moins angoissé. Enfin, jusqu'à un certain point. Il a commencé à régresser. Il revenait crevé, pâle et avait toujours ce sourire niait qui me faisait peur. Un soir, je l'ai suivit.

« LÂCHE ÇA! »

Je n'aurais jamais cru qu'il puisse faire ça. J'ai su ce qu'il faisait. Il en prenait de plus en plus. Je le savais. Je n'ai pas été capable de repartir tranquillement sans rien dire, d'attendre qu'il revienne. J'ai éclaté. J'hurlais comme si j'étais possédée. Il ne semblait pas me comprendre. Il trouvait ça drôle, sans importance. Ça ne faisait que me rendre encore plus enragée. Lui et ses copains se foutaient carrément de moi. Jusqu'à ce que j'en frappe. Il m'attrapa par le collet. Ses yeux rouges ne pouvaient pas arrêter ma fureur. Pourtant, ce qu'il me donna le fit très bien. Il mit une corde sur mon bras et m'injecta quelque chose. Instantanément, je me suis cru sur un nuage. Je n'avais plus de problèmes. Mon frère était quelqu'un de totalement équilibré et je l'étais aussi. Ce bien-être me consumait de l'intérieur. Je croyais n'avoir eu droit qu'à une petite dose de bonheur. En me couchant ce soir-là, je compris ce qui venait de se passer. Et je savais que je ne pourrais plus jamais m'en passer.

« DONNE-MOI ÇA! »

Je travaillais les soirs, allait à l'école le jour et consommait au petit matin. J'étais épuisée, crevée, à peine vivante et complètement accro. Ça dura environs un an puis vint le temps de me trouver une université. Je voulais aller dans le cinéma. Au début, c'était parce que c'était relativement payant et que je m'imaginais entourée de tas de joints. Puis, j'ai finis par réellement m'y intéresser. J'ai commencé à réaliser. J'ai d'abord regardé mon frère qui ne pouvait continuer à l'école, qui hallucinait de plus en plus et qui venait me voir la nuit. Puis, je me suis regardée dans le miroir. Je me demandais comment je faisais pour tenir encore debout. J'ai cru que changer d'air me permettrait d'arrêter. J'ai choisis Yale. Je ne me souviens pas trop pourquoi, mais ce dont je me rappelle, c'était que j'étais dans l'avion deux jours plus tard. Je ne fus pas déçue. C'était une belle école. Je réussis à me trouver un emploi et à intégrer une confrérie. C'était bien trop parfait. J'ai recommencé à reprendre de petits joints de temps en temps. Puis, j'ai augmenté la dose quand je l'ai rencontré. Ce chieur de première. Au début, je le trouvais simplement attirant. Je voulais jouer un peu avec lui. Puis, tout est devenu plus compliqué. On s'était tous les deux dit qu'on ne se caserait jamais et que c'était bien ainsi. Le destin en a décidé autrement. Je suis tombée enceinte. J'ai commencée ma descente des enfers. J'allais être mère. Nous allions être parents et je savais qu'elle serait la seule chose qui nous unirait. Mes parents ne pouvaient plus supporter mon frère. Il allait être dans une famille d'accueil ou un centre spécial. Il m'a demandé si je pouvais l'hébergé. J'ai répondu que je ne pouvais pas. Ça m'a brisé le cœur. J'ai continué à consommer. Lennox m'arrêtait toujours avant que je ne dépasse les bornes. Je le détestais pour ça. Il me torturait sans le savoir puis me retirait ce qu'il me restait de plaisir dans la vie. J'étais maintenant mère d'une magnifique fille nommée Lenia. Je l'adorais. Elle était la seule qui m'empêchait parfois quelques joints. Malheureusement, j'étais déjà trop accro pour m'en passer. Je continuais de consommer. Un peu moins, mais toujours. Il refusait de me la donner quand j'en avais prit. Il savait exactement ce que j'avais pris à chaque fois. Ça me rendait folle. Je voulais la voir. Je me punissais après chaque fois. Pourtant, je ne pouvais me dire que j'avais un problème. C'est alors que cette mégère vint m'enlever le petit bout de vie qu'il me restait. Je me suis débattue comme j'ai pu. Je n'étais plus frustrée, j'étais enragée, sauvage. On m'emporta loin d'elle et, même si j'ai de la difficulté à le dire, de lui. J'ai été en désintox. Je me suis enfermée et j'ai pleuré. J'ai pleuré de rage. J'ai fais pleins de conneries là-bas, mais je n'ai rien pris. J'ai résisté. Je savais que j'en étais capable. Je ne pensais qu'à une chose.

« DONNE-LÀ-MOI! »

bizutage des bleus

confrérie souhaité : Sans confrérie
motivation pour la confrérie : Dès son retour de désintox, elle a décidée de sortir de sa confrérie et de consacrer son temps à sa fille. Les tentations de recommencer à consommer seraient trop grandes.

petites questions entre amis

ton meilleur ami te fais des avances, tu fais quoi ? : Je le regarde fixement jusqu'à ce qu'il se rende compte qu'il dit n'importe quoi.
embrasserais-tu la personne à côté de toi ? : Si c'est toi, certainement pas. Sinon, si il est vachement bien fichu, j'pourrais faire un effort.
déambuler nu(e) dans yale, ça te fait peur ? : Tant qu'il y a personne, non. J'suis pas prude à ce point quand même!
plutôt Vodka ou Redbull ? : J'me rappelle plus de ce goût exquis, tu m'en donnes un peu?
genre, t'as combien de contacts facebook ? : Du genre 200
tu peux nous dire quelques chose en italien ou en espagnol ? : Yo soy una manzana. x)
chante une chanson française, si t'en connais une... : Voyons tu m'prends pour qui? « C'est eeeeeeeen r'venant de Rigaud!! »
ton gros mot préféré ? : Batard (Depuis que le prof d'économie m'a dit: « Tu m'as traité de batard?! »)
tu es du genre à coucher au premier soir ? : J'étais. Maintenant que j'ai arrêté, j'dois avouer que vous êtes tous vachement moins attirants.
cap ou pas cap de draguer le prof d'économie ? : Désolé, j'ai passé l'âge des vieux débris.
t'as envie de moi maintenant là, tout de suite ? : Avec plusieurs joints, ça pourrait se faire...
je t'emmerde, tu me réponds quoi ?: Va donc jouer dans le trafic.
le mot de la fin ? : J'aime ce smiley

la réalité vraie

ton prénom, ou pseudo ou les deux : Justine, Ysalys
ton âge ou l'âge que t'as pas (a) : J'ai entre 2 et 99 ans
note ce desing sur, 10, 100 ou 1000 : Un gros 9 sur 10. Il est vraiment très zouliii
avatar : Taylor Warren la magnifique
pourquoi ce forum & pas un autre ? : Parce c'est pas un autre justement!
question stupide; starsky ou hutch ? : J'ignore même ce que c'est, mais je dirais: Au yable la dépense, on prend les deux!
le mot de la fin ? les coco pop's;c'est nul, on veut de chocogrenouille ?

Deyvon Wilcox a écrit:

Bienvenueee : )
je sais pas qui c'est sur ton ava, mais l'ava est beau : )

---

désolée pour l'attente en ce qui concerne ta validation
Je suis pas très efficace à ce niveau X )
Bref, désolée.
J'ai vraiment aimé ta fiche. Et ton personnage wawe <3
validée chère dame

N'oublie pas d'envoyer ton(tes) secret(s), des trucs qui dérengent ton personnage par message privé à Junk-Machine, si ce n'est pas déjà fait! merci! :)
Nous accordons à ton personnage un total de 2100 points sur JM! N'oublie pas de réserver ton avatar!

amuse toi bien sur JM : D