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Ilyana S. Warrens | Sweet Madness [Done]

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Ilyana S. Warrens
PETIT ADEPTE je m'initie à JM.
Ilyana S. Warrens

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MessageSujet: Ilyana S. Warrens | Sweet Madness [Done] Ilyana S. Warrens | Sweet Madness [Done] EmptySam 14 Nov - 0:12

Ilyana S. Warrens | Sweet Madness [Done] 2vhstjp

Ilyana Sasha Warrens
La plus haute chute est celle que l'on fait du haut de l'innocence

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informations générale
    ▌date de naissance : 24 Décembre 1988
    ▌originaire de : New York
    ▌nationalité : américaine
    ▌situation amoureuse : célibataire
    ▌moyenne scolaire sur 100 : 86 / 100
    ݂tudes en cours : management international

le dossier confidentiel
    ▌description physique :
    Petite poupée au visage de porcelaine, Ilyana a pour elle une beauté pure et innocente. La peau blanche et parfaite, c’est une jeune femme au corps fin et élancé, et aux courbes et aux gestes gracieux qui en séduisent plus d’un. Son visage aux traits fins révèle une douceur infinie, bien qu’elle puisse devenir de marbre en un instant. Une bouche fine et pulpeuse à la fois, et de longs cheveux châtains entourant son visage, complètent son image de l’Ange Innocent. Ses yeux restent cependant sa seule faiblesse, puisqu’elle est incapable de cacher ses émotions. D’un bleu aussi pur et magnifique qu’elle, ils sont les seuls témoins des émotions qui la traversent, reflet de son âme bien trop torturée. Ilyana ne fait pas partie de ces filles qui passent leur temps devant leur miroir, ou dans leur garde robe, au contraire même. Cependant, elle choisit toujours ses vêtements avec soin, et préfère opter pour un maquillage très léger, destiné seulement à relever ses yeux. Dégageant un charme naturelle, son physique ne fait que renforcer le mystère qui semble planer autour d’elle.

    ▌description de caractère :
    Si la jeune femme porte les vêtements des meilleures couturiers qui puissent exister, et fait partie de la haute sphère des riches, elle n’en a pas pour autant leur mentalité, ni même leur comportement. Pleine de vie, son rire cristallin raisonne souvent, envoutant et communiquant, tandis que la douce représente la candeur légère, un véritable rayon de soleil capable d’illuminer le plus sombre des cœurs. Petit Ange déchu, Ilyana incarne la douceur et la gentillesse à l’état pur. Incapable de nuire volontairement à quelqu’un, elle fait partie de ces personnes altruistes, qui peuvent tout donner ou tout faire pour ceux qu’ils aiment. A la fois simple et naturelle, elle dégage un côté mystérieux certain, renforcé par son habitude à ne jamais révéler quoi que ce soit sur elle. En effet, très méfiante, la jeune femme ne se confie que très rarement, et qu’à très peu de personnes. S’étant brûlé les ailes à de nombreuses reprises, Ilyana n’accorde que très peu sa confiance aux autres, et le nombre de ses amis proches est plutôt réduit. Pourtant, elle sait charmer son monde, entre gestes doux et sourire enjôleur, la Belle dégage une fragilité touchante. Attachante, elle donne l’impression d’être perdue dans ce monde fait de superficialité et d’argent, petite poupée de porcelaine qui pourrait être si facilement brisée. Si elle peut se montrer naïve, son côté rêveur prenant souvent le dessus, la jeune femme dispose cependant d’une excellente répartie, jouant entre le sarcasme et l’ironie. Parfois susceptible, elle peut rapidement s’emporter sur des détails, et son côté têtu est loin d’arranger les choses. Grande diplomate, Ilyana sait cependant jouer avec les mots, sachant parfaitement manier les mots pour adoucir une situation. Perfectionniste, la jeune femme fait partie des meilleures élèves, ne supportant pas la médiocrité. Passant souvent pour quelqu’un de timide, elle en est cependant loin, mais privilégie tout simplement le silence, aux bavardages inutiles. Se perdant souvent dans ses pensées, Ilyana aime avoir des moments de solitude, ne se souciant guère d’être au milieu de l’attention. Un ange tombé du ciel, qui tente pourtant de se reconstruire.

    ▌orientation sexuelle : hétéro

bizutage des bleus
    ▌confrérie souhaité : zeta beta zeta
    ▌motivation pour la confrérie : comme sa mère et sa grand mère avant elle, entrer dans cette fraternité ne constitue pas vraiment un choix, mais plutôt une tradition. Et non seulement elle en a le physique, elle qui fait du mannequinat à ses heures perdues, mais en plus, elle a les très nombreux dollars sur son compte bancaire qui lui ouvrent les portes, malgrè elle.

petites questions entre amis
    ▌ton meilleur ami te fais des avances, tu fais quoi ? : je me demande ce qu'il a bu
    ▌embrasserais-tu la personne à côté de toi ? : non, je n'embrasse pas n'importe qui.
    ▌déambuler nu(e) dans yale, ça te fait peur ? : oui, je suis pudique moi.
    ▌plutôt Vodka ou Redbull ? : redbull, je ne tiens pas assez l'alcool pour m' risquer
    ▌genre, t'as combien de contacts facebook ? : faut vraiment que je compte?
    ▌tu peux nous dire quelques chose en italien ou en espagnol ? :
    ▌chante une chanson française, si t'en connais une... : jocker, je ne suis pas fan des variétés françaises.
    ▌ton gros mot préféré ? : fuck
    ▌tu es du genre à coucher au premier soir ? : non, sauf si on a réussi à me rendre saoule.
    ▌cap ou pas cap de draguer le prof d'économie ? : vous n'en avez pas d'autres, les profs d'éco ne sont que des vieux croulant à chaque fois.
    ▌t'as envie de moi maintenant là, tout de suite ? : heu... jocker?
    ▌je t'emmerde, tu me réponds quoi ?: je ne réponds pas, je pars
    ▌le mot de la fin ? :

la réalité vraie
    ▌ton prénom, ou pseudo ou les deux : Lily
    ▌ton âge ou l'âge que t'as pas (a) : ça ne se dit pas ça.
    ▌note ce desing sur, 10, 100 ou 1000 : beaucoup plus, il est superbe, comme d'habitude je serais tentée de dire. x)
    ▌avatar : Miranda Kerr
    ▌pourquoi ce forum & pas un autre ? : ben j'y étais déjà. x) J'ai raté le recensement (les mails étaient dans les spams de ma boite), j'espère que ça ne pose pas de problème que je me sois réinscrite dans la foulée. '-' (j'en ai profité pour changer de perso d'ailleurs)
    ▌question stupide; starsky ou hutch ? : les coco pop's;c'est nul, on veut de chocogrenouille. Enfin il parait.... (a)
    ▌le mot de la fin ?


Dernière édition par Ilyana S. Warrens le Dim 15 Nov - 1:28, édité 8 fois
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Ilyana S. Warrens
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Ilyana S. Warrens

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MessageSujet: Re: Ilyana S. Warrens | Sweet Madness [Done] Ilyana S. Warrens | Sweet Madness [Done] EmptySam 14 Nov - 0:12

Ilyana S. Warrens | Sweet Madness [Done] 110xglt


Et elle dansait, sur un air qu’elle seule pouvait entendre, tournant et virevoltant sur elle-même de ces mouvements si gracieux, qu’ils ne pouvaient qu’appartenir aux Anges. Ses pieds nus touchant à peine l’herbe fraichement coupée, elle gardait les yeux fermés, comme un sourire lumineux ne voulait quitter ses lèvres si fines. Tendre, tendre enfant, dont les éclats de rire joyeux se répercutaient sur la prairie environnante, douce mélodie si communicante, pour peu que quelqu’un puisse l’entendre. Elle semblait tout droit sortie d’un livre, héroïne d’un conte de fées irréel, et qui allait bientôt tourner au cauchemar. Mais cela, elle ne le savait pas, fillette innocente qu’elle était, et pour qui la vie lui souriait. Danse petit Ange danse, envole-toi vers ce monde qui est tien, pour ce qui est probablement la dernière fois.


    Fronçant les sourcils dans un signe de contrariété évident, la fillette prit une moue boudeuse, croisant les bras dans un ultime geste de mécontentement. En face d’elle, son camarade de jeu affichait une mine résolue, ses yeux gris bleus brillant d’impatience, laissant un silence s’installer entre eux deux. Il connaissait suffisamment son amie pour savoir qu’elle finirait par céder, et malgré son jeune âge, il avait depuis longtemps compris comment faire pression sur elle. Un jeu qui s’était installé entre eux depuis longtemps, et qui ne prendrait sans doute jamais fin, eux qui aimaient tant se provoquer sans en être pleinement conscients.

    « Je ne veux pas jouer comme les garçons » protesta Ilyana de sa voix douce.
    « Tu es nulle, tu veux jamais » répliqua-t-il, croisant à son tour les bras dans un geste presque comique.
    « C’est toi qui es nul ! »

    Se redressant agilement, la douce enfant quitta la pièce avec un port de tête princier, digne héritière qu’elle était, et que ses parents avaient toujours voulu avoir. Enfant non désirée, et pourtant, elle devait assurée le rôle qu’ils lui avaient donné, entrant dans le jeu, et devenant celle qu’elle devait être. Elle n’avait que huit ans, et pourtant déjà, son avenir était tracée d’avance, quoi qu’elle en dise, et quoi qu’elle veule. Et si elle ne réalisait pas encore complètement ce qu’il se passait, elle apprenait à apprivoiser ce jeu, sans doute pour mieux le fuir plus tard. Sa nourrice l’observa passer, un léger sourire sur les lèvres, habituée depuis le temps aux disputes des deux enfants. Les jeunes enfants se connaissaient depuis leur plus jeune âge, et passaient la plupart de leur temps libre ensemble. Issus du même sang bleu, ils partageaient les mêmes valeurs, et leurs parents respectifs avaient été rassuré de voir leurs enfants s’entendre si bien. Qui avait-il de plus important dans la haute aristocratie, de maintenir leur renommée ? Se levant à son tour, le jeune garçon partit à la recherche de son amie, légèrement surpris de ne pas la voir revenir.

    « Les filles, c’est nul » déclara-t-il de manière irrévocable, en passant devant la nourrice.

    Un ton ne laissant aucune réplique possible, un air déterminé, c’est l’air boudeur et résigné qu’il explora l’immense appartement, situé dans un des quartiers les plus huppés de Manhattan. Traînant les pieds, il finit par retrouver Ilyana debout dans le salon, le regard perdu devant une peinture réputée, dernière acquisition de sa mère. Les Warrens n’avaient guère pour habitude de se refuser quoi que ce soit, surtout lorsqu’il s’agissait d’exposer leur richesse aux yeux des autres.

    « Très bien » marmonna le jeune enfant d’un ton boudeur. « On fera ce que tu veux, mais arrête de faire la tête. »

    Et aussitôt que ces mots sortirent de sa bouche, la jeune fille se retourna vers lui, un sourire apparaissant sur son visage rayonnant, et donnant l’impression que tout paraissait soudainement merveilleux. Loin d’être capricieuse, Ilyana avait cependant une joie de vivre contagieuse, si bien qu’elle semblait toujours avoir un sourire aux lèvres, capable de faire fondre n’importe quel cœur de pierre. Sautant au coup de son ami, le petit Ange était cependant loin de réaliser les effets de ses gestes.

    • • • • • •


    On dit que la nuit est maître des songes, apportant avec sa noirceur le repos tant demandé par certains, ou la plénitude tant recherchée par d’autre. Mais pour l’adolescente, la nuit apportait avec elle sa dose de cauchemar, devenant son pire ennemie, et le moment le plus redouté de la journée, alors que d’autres l’accueillaient avec soulagement. Et comme chaque soir, elle guettait les bruits dans l’appartement, les reconnaissant tous, mais surtout, en redoutant un seul : les bruits de pas de celui qui lui volait son innocence un peu plus chaque soir. Ce manège morbide avait commencé quelques jours auparavant, ne lui laissant aucune échappatoire, ni aucun moyen de demander de l’aide. Qui croirait la petite fille innocente, qui ne s’était jamais entendue avec son cousin ? Ce dernier était venu passer les quelques jours de vacances dans le luxueux appartement des Warrens, profitant de l’argent et de la luxure qui semblaient couler à flot. Il y avait toujours quelqu’un dans une famille qui était à l’écart, qui ne partageait pas les même convictions. Ilyana était cette personne, qui se tenait toujours à l’écart, et qui pourtant assumait à la perfection son nom. Mais incapable de se montrer manipulatrice et calculatrice, car sa douceur n’avait d’égal, elle dont chaque geste reflétait l’innocence à l’état pur. Pourtant, tel le proverbe qui met en garde, il faut toujours se méfier de l’eau qui dort. Car si la douce enfant avait un visage angélique, elle était cependant incapable de se sortir de l’enfer dans lequel elle plongeait petit à petit.

    Et lorsque le craquement tant redouté retentit dans le silence, Ilyana ferma les yeux, enfouissant sa tête dans son oreiller. Etait-il possible que si on le souhaitait vraiment, quelque chose disparaisse ? C’était peu probable, et même si son esprit connaissait déjà la réponse, elle s’accrochait à cet espoir, comme la dernière parcelle de son enfance perdue bien trop tôt, et bien trop brutalement. Mais les Dieux n’étaient pas clément avec elle ce soir là, pas plus que les soirs précédents, comme elle entendit sa porte de chambre s’ouvrir dans un grincement sinistre. Son cœur se mit à battre plus rapidement simultanément, lui donnant l’impression que l’on pouvait l’entendre à des kilomètres. Serrant les lèvres lorsque le lit se pencha sous le poids de son aîné, elle se jura une fois de plus de ne rien laisser échapper. Car si chacun de ses paroles étaient destinées à l’humilier, si chacun de ses gestes étaient fait pour la briser, elle serait damnée si elle laissait quoi que ce soit transparaître. Etait-ce cela la folie finalement, se réfugier dans son esprit, s’isoler du monde extérieur pour ne pas le laisser vous détruire ? Si c’était le cas, alors son âme ne valait sans doute plus grand chose à cet instant, comme une larme unique coula sur sa joue, seul signe de sa douleur, tant physique que morale. Mais qu’importait, demain, elle redeviendrait cette adolescente souriante et enjouée, dont le regard azur mettait quiconque au défi de la provoquer. Et personne ne verra que ce même regard n’avait plus la même étincelle qu’auparavant. Plus terne, plus déterminé, elle n’était plus la même, mais qui le verrait ? Son monde n’était qu’apparence, fait d’argent et de luxe. Et comme l’inconsciente finit par la rattraper, son cerveau cherchant à se protéger, elle l’accueillit avec plaisir, la noirceur semblait être plus clémente que la réalité. Il ne parviendra pas à la détruire, tel une promesse dans son esprit, dernière pensée avant qu’elle lâche finalement prise.

    • • • • • •


    Evitant agilement les passants, la jeune femme avançait rapidement, de son pas léger et gracieux qui lui était propre. Véritable New Yorkaise dans l’âme, la douce Ilyana aimait flâner dans les rues bondées, laissant le soleil lui chauffer sa peau satinée. Mais aujourd’hui, c’était dans le campus de Yale qu’elle aimait passer du temps, se plongeant au milieu de tous ces étudiants, tous aussi différents les uns que les autres, et ayant pourtant le même but, satisfaire les demandes de leur si grande et puissante famille. Mais en vérité, quelle excuse n’aurait-elle pas donnée pour échapper à la vie de luxe qui allait de paire avec sa famille. Dire qu’elle était née avec une cuillère en argent dans la bouche serait sous estimer son enfance. Elle avait tout eu, avant même de le demander, et pourtant, elle n’avait jamais obtenu ce qu’elle désirait tant. Cela semblait invraisemblable, et beaucoup lui attribuait une vie parfaite. C’était une jeune femme magnifique, riche, et qui avait réussi à ne pas se laisser corrompre par toute cette luxure. Petit agneau au milieu des prédateurs, Ilyana avait gardé pour elle cette douceur et cette innocence, contrastant grandement dans ce monde de brutes. Un Ange déchu, qui cachait derrière chacun de ses sourires une plaie béante, et un côté écorché vif. Cela faisait pratiquement deux ans que son cousin avait commencé un jeu pervers avec elle, la tenant sous son joug par des menaces et de la violence. Et la Belle cachait ce sombre secret, trompant son monde à la perfection, si bien qu’elle finissait par se tromper elle même. Et ce n’était certainement pas ses parents qui risquaient de découvrir la vérité, bien trop occupé à l’oublier, afin de vivre leur carrière respective. Ilyana les soupçonnait même de pouvoir fermer les yeux, pour autant que leur réputation et image de marque ne soit pas touchée. Secouant la tête pour chasser ce genre de pensées, la jeune femme s’arrêta au coffee shop, cédant à son péché mignon, et c’est tout naturellement qu’elle déballa ses livres de cours, s’installant à une table. Douée en cours, elle aimait se plonger dans ses livres pour étudier, et pourtant, elle était loin de correspondre au cliché de tous ces intellos.

    « Ilyana, tu viens à la fête ce soir ? »

    Relevant la tête de ses bouquins, l’intéressée posa un instant le regard sur la jeune femme qui venait de l’interpeler, ne comprenant pas ce qui lui prenait d’un seul coup. Elle n’était pas une adepte des soirées où débauche et excès en tout genre était de mise, c’était même le contraire. Trop douce, trop renfermée sur elle-même, elle fuyait ce genre de frasques autant que possible, et lorsqu’elle ne pouvait y échapper, c’était auprès d’un de ses proches qu’elle trouvait refuge, afin de bénéficier de sa protection rassurante. Car il était si facile de la briser, que cela en devenait effrayant, et pourtant, rares étaient ceux qui pourraient y arriver. Un paradoxe de plus, comme tous ceux qui semblaient rythmer sa vie. Certes, elle avait pour elle cette réputation d’étudiante bien trop solitaire, mais qu’importait. Peu fanatique des rumeurs, elle y répondait souvent par son rire cristallin, bien qu’il se faisait de plus en plus rares ces derniers temps. Tout comme les mots, elle qui aimait tant s’en servir, parlant peut être même parfois un peu trop à outrance, ne les utilisait que lorsque c’était nécessaire. Petit Ange brisé par le passé, et qui ne parvenait pas à se relever.

    « Non désolée, je dois encore réviser » finit-elle par répondre en désignant son livre d’un léger geste du menton.
    « Pourquoi tu révise ? Tes parents n’ont qu’à payer pour t’obtenir de bonnes notes, tu te fatigue pour rien si tu veux mon avis. »

    Retenant un soupir lourd de sens, Ilyana ne répondit pas immédiatement, comme elle referma le livre, décidant qu’il serait plus approprié de le lire dans sa chambre –où les curieux et autres ne pourraient la suivre-, c’est dans un léger sourire doux qu’elle coupa court à la conversation.

    « Désolée, j’ai du travail. Une autre fois, peut être. »

    N’attendant pas réellement de réponse, comme elle savait parfaitement que ces langues de vipère n’attendaient que son départ pour pouvoir lancer de nouvelles rumeurs, la Douce ramassa ses affaires, avant de quitter l’endroit, de sa démarche si gracieuse qui lui était propre. Certes, l’argent pouvait tout acheter, mais après tout, ne cherchait-elle pas à faire leur fierté, en étudiant pour reprendre l’entreprise familiale un jour ? Sa mère ne faisait que la considérer comme étant la cause de la fin de sa carrière en tant que mannequin. Depuis, elle avait largement eu le temps de se reconstruire, et elle était maintenant à la tête d’une célèbre agence de modeling, mais elle n’avait jamais été capable de pardonner à sa progéniture le désastre qu’elle avait créé, par sa simple venue au monde. Il est courant de voir un enfant rejeté chercher à s’attirer les bonnes grâces de ses parents, faisant tout pour attirer leur attention, et se pliant à leur volonté, pour espérer recevoir un peu de cet amour inconditionnel. Ilyana en faisait partie, recherchant quelque chose qu’elle n’avait jamais pu avoir, et qu’elle n’aurait sans doute jamais.

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Ilyana S. Warrens
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MessageSujet: Re: Ilyana S. Warrens | Sweet Madness [Done] Ilyana S. Warrens | Sweet Madness [Done] EmptyDim 15 Nov - 1:28

Désolée du double poste, juste pour prévenir que mon secret est envoyé, et que ma fiche est terminée. x)
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Rümer Scanlon-Sedgwick
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MessageSujet: Re: Ilyana S. Warrens | Sweet Madness [Done] Ilyana S. Warrens | Sweet Madness [Done] EmptyDim 15 Nov - 1:45

Validé, et n'oublie pas d'aller réserver ton avatar (: BIENVENUE PARMI NOUS (a)Nous t'avons attribué un nombre de point sur jm égale à 3600 (:
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MessageSujet: Re: Ilyana S. Warrens | Sweet Madness [Done] Ilyana S. Warrens | Sweet Madness [Done] EmptyDim 15 Nov - 1:47

Merci bien! love
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MessageSujet: Re: Ilyana S. Warrens | Sweet Madness [Done] Ilyana S. Warrens | Sweet Madness [Done] Empty

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