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ariana p. jones ▬ sweetness |
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Sujet: ariana p. jones ▬ sweetness Sam 11 Avr - 22:14 |
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profil de "Ariana Prudence Jones"____¨Kathryn Prescott____¨ online
► informations complémentaires sur l'utilisateur:
date de naissance : September 29th 1989 lieu de naissance : London - England nationalité : English année scolaire à yale : 1st moyenne scolaire, sur 100 : 90/100 (not a joke) matière(s) étudiée(s) : littérature, langues, philosophie. confrérie fréquentée : Theta Delta Chi
description physique : Je vous mentirais si je vous disais que j'avais un physique original. Mais encore une fois, je vous mentirais si je vous disais que j'avais un physique tout à fait basique. Car tout le monde sur Terre est entre les deux, et surtout moi, vous voyez ? Bon, mon physique n'est pas à 100% unique, étant donné que ma jumelle a, à quelques points près, exactement le même. Mais je vais essayer de me détailler comme si j'étais le seul modèle, d'accord ? Commençons par le haut, et terminons par le bas, voulez vous. Ces poils que vous voyez sur ma tête, ce sont mes cheveux, et oui, ils sont rouges .. C'est une couleur très originale, et pour vous répondre, ce n'est pas vraiment moi qui ai décidé de les teindre comme cela, mais ma sœur. Parce qu'il fallait absolument que nous ayons les cheveux de la même couleur. De plus, elle m'a également obligé à avoir exactement la même coiffure qu'elle .. mais à l'opposé. Je vous mentirais encore une fois si je vous disais que je trouvais ma sœur complètement normale. Je suis donc dotée d'une frange étrangement bancale qui tombe vers vers la gauche de ma tête (et donc vers votre droite). Rien d'étrange à dire à propos de mes oreilles, à part le fait qu'elles soient percées de tout leur long (il n'y a pas que les rebelles et le punks qui ont le droit de se faire des piercings partout !), et nous passons donc à mon visage. Façade à peu près correcte, je dois l'avouer, qui n'est pas totalement à vomir. Des sourcils tout à fait acceptables et fins naturellement, des yeux chocolat qui n'ont rien de très intéressant .. Un nez d'une forme bizarre et arrondie qui me fait paraître tout sauf jolie, et une bouche d'une taille à peu près moyenne. Mon visage a une forme assez ronde, mais pas autant que celle de ma sœur. Je ne sais pas pourquoi nous avons cette différence, et je suis heureuse que ce soit une caractéristique qui permette de nous différencier. Je ne vais pas vous calculer la circonférence de mon cou, passons à mon corps. Je suis plutôt petite, avec 1m63 de hauteur totale, et suis plutôt frêle. Pas au point d'être maigre, mais juste .. fine. Normale. J'aurais beaucoup à envier aux mannequins des magazines de mode si je m'y intéressais, surtout au niveau de ma poitrine qui est pour ainsi dire minuscule. De toute façon, ce n'est pas comme si j'avais particulièrement besoin de courbes, car même si j'en étais dotée, je ne les mettrais absolument pas en valeur : mes habits sont les plus simples du monde. J'aime porter des vêtements simples et mignons, mais tout sauf courts et aguicheurs. Mon but est de ne pas me faire remarquer, vous vous en souvenez ?
description du caractère : Il est assez facile de me repérer, je suis la jeune fille qui a des milliers de livres dans les mains et qui se tient dans un coin, la tête basse. Vous pouvez avoir déduit deux choses de cette image : premièrement, je suis une fille qui bosse, deuxièmement, je n'aime pas exactement me faire remarquer, et suis plutôt réservée. Bravo, vous êtes l'heureux possesseur maintenant de 10 000 £ en liquide pour avoir réussi à faire des constatations tellement simplistes qu'elles frôlent le ridicule. Il est vrai que j'aime étudier, parce que cela accroit ma culture générale. J'aime voir les bonnes notes sur les devoirs/contrôles que l'on me rend, et je me sens apaisée de savoir que tout est parfait. Cet étrange sentiment de plénitude, d'accord total entre le corps et l'esprit, le calme intérieur. Pas de battements de cœur extrêmement rapide, d'impression d'entendre des chuchotements incessants, ou ce son aigu qui me transperce parfois les tympans .. Je m'égare. C'est vrai qu'il m'est tellement rare de me retrouver dans cet état que je me perds complètement lorsqu'il s'agit de l'imaginer ou de le décrire. Car si vous ne l'aviez pas compris, je suis la plupart du temps en état de total stress ou angoisse. Mes membres se pétrifient, mon cœur s'accélère, mes dents grincent, mon ventre se tord .. En général, il n'est pas très conseillé de venir m'adresser la parole dans ces phases, car il m'est pratiquement impossible d'ouvrir la bouche. Je suis très sujette à des crises d'angoisse, et j'hyperventile plus vite que mon ombre. Cela peut se manifester de multitudes de façons différentes selon la situation, mais la plupart du temps, je me sens oppressée, étouffée, ma respiration s'accélère et j'ai l'impression que je vais m'évanouir d'une minute à l'autre. Il est évident que c'est très peu pratique que ce genre de chose se déclenche lorsque je ne suis en présence de personne autour de moi pour me venir en aide, mais c'est extrêmement honteux lorsque cela se passe en plein milieu d'un cours ou d'une foule. Cela gène, cela attire l'attention, cela attire les autres autour de moi comme des mouches. Comme si j'étais une bête de zoo, un phénomène de foire, on forme un cercle autour de moi en ne sachant que faire. Il y en a qui savent comment agir, et je les en remercie, mais malheureusement ils se font de plus en plus rares. Nous étions donc en train de parler des études ? Bien. Je m'étais égarée. Je m'égare souvent, mes pensées vagabondent plus vite que tout. Il me semble que j'arrive à découvrir des ponts entre toutes les idées, qui pourtant n'arrivent pas à se faire comprendre, et je change très vite de sujet sans que l'on s'en rende compte. Situation qui amène bien souvent des quiproquos, ce qui n'est pas forcement évident. Vous vous demandez après, pourquoi je suis si gênée, hein ? Si votre cerveau et votre corps tous en même temps s'acharnaient à vous mener la vie dure comme elle me le fait, vous seriez surement beaucoup moins guillerets.
Tout un paragraphe, qui finalement n'a servi à rien à décrire l'idée principale. C'est tout moi, mais je ne vais pas expliciter dans ce sujet, sinon je vais encore une fois de plus m'égarer. Je suis une fille qui passe donc la majeure partie de son temps à travailler, et pas n'importe quoi. Tout, sauf les sciences. Il paraît qu'il y a les gens fais pour la littérature, et ceux faits pour les maths, car tout ce qui comporte des chiffres ou des protocoles expérimentaux m'est complètement incompréhensible. Je me réfugie dans la belle langue de Shakespeare et occasionnellement dans celle de Molière, pour emplir mon cerveau de phrases aussi jolies les unes que les autres. J'aime lire, j'adore lire, j'aime lire pour mon plaisir encore plus que j'aime étudier. Car vraiment, je ne pourrais pas dire que j'aime étudier, c'est juste une obligation. Le fait d'imaginer pouvoir être bonne en cours, de ne pas être excellente, me pétrifie, me fait paniquer, et j'essaie d'éviter cet état le plus possible. Résultat, je suis dans mes bouquins pratiquement 24h/24, révise trois cent ans à l'avance et refais toujours mes devoirs trois fois avant de les rendre. Ce n'est pas mon genre de demander un délai pour rendre quelque chose, tout simplement parce que je suis intransigeante sur l'heure. Les seuls chiffres que je puis accepter sont ceux que l'on peut voir sur une montre ou un réveil, et je m'assure d'arriver au moins une demi heure à l'avance partout où je vais. Et quand les autres sont en retard alors qu'ils ont un rendez vous avec moi .. Cela m'agace. Cela m'angoisse. D'abord, je m'énerve, puis je me fais un sang d'encre. J'imagine souvent qu'ils sont allongés le long de la chaussée, ensanglantés, ou encore dans un fossé. Et je me blâme, à leur en vouloir parce qu'ils ne sont pas arrivés à l'heure pile qu'ils avaient dit. Paranoïaque sur les bords, j'ai tendance à utiliser mon imagination débordante pour penser à des scénarios complètement délirants, toujours faits pour m'angoisser encore plus. J'ai vraiment tendance à me faire un sang d'encre pour rien du tout. Un devoir égaré peut me faire pleurer une journée entière (même si j'ai encore un délai suffisamment grand pour le refaire), le fait d'avoir été prévenue à la dernière minute de quelque chose m'est complètement impensable. Je suis une maniaque, une obsessionnelle, une .. Je ne sais pas. Tout doit être comme je l'ai prévu, sinon cela n'est pas bien. J'aime bien placer tous les objets que je vois de manière parfaitement parallèle, ou perpendiculaire, parce que cela m'apaise. Le désordre me rend folle, et j'ai tendance à avoir des crises de nerfs alors assez facilement. Bref, je ne suis pas vraiment facile à vivre.
La deuxième idée maintenant. Le fait que je sois réservée. En fait, les autres me font peur. C'est vrai, ils ont des regards, des sourires moqueurs, ils rient. Ce son fait mal à mes oreilles, et fait monter des larmes à mes yeux. Je suis hypersensible, d'un terme scientifique et pas inventé de mon esprit, et donc suis beaucoup plus attentive à tout ce qui se passe à côté de moi. Cette pression sur mon esprit est extrêmement fatigante, et mes nerfs lâchent donc beaucoup plus facilement. Les larmes me montent aux yeux pour rien. Parce que je croyais qu'il restait un gâteau dans le paquet mais que finalement il n'y en a plus. Parce que je suis dans une file d'attente et que j'ai peur d'être en retard autre part, alors que j'ai encore une bonne marge. Parce que ma glace fond à une vitesse impressionnante et que je dois la manger vite, ce qui me fait mal aux dents. N'importe quoi, vraiment n'importe quoi. Ma gorge se serre, ma poitrine s'affaisse, j'ai des difficultés à respirer et je ne peux absolument pas m'arrêter. Car si je pouvais le contrôler, je le ferais, croyez moi ! Je suis tellement honteuse lorsque l'on me voit pleurer en public. Les réactions sont aux deux extrêmes : soit l'on vient me voir en ayant pitié, on essaie de me rassurer, de me prendre dans les bras ou autres, soit on me critique. Pleurnicheuse, fille à papa, pourrie gâtée .. Il y a des gens qui ne sont pas avares sur les remarques désobligeantes. Et cela a le don de me faire me sentir mal, car je suis désespérément triste lorsque l'on me dit quelque chose de négatif. Je m'efforce toujours de faire exactement ce que les gens attendent de moi, d'être en quelque sorte parfaite, même si je n'y arrive pas. Je ne comprends pas comment l'on pourrait ne pas m'aimer. Je ne dis pas que je veux que l'on m'aime, juste, que l'on ne m'aime pas .. pas. Vous comprenez ? Je ne dérange personne, je ne fais rien de mal, en retour, j'attends que l'on me rendre la pareille. Et pourtant, quand ce n'est pas le cas, je ne m'énerve pas. Ce n'est pas mon genre de hausser la voix, et je ne suis jamais méchante avec les autres. Je ne m'en donne pas le droit, car je ne peux pas juger d'un comportement d'un autre, lorsque je ne sais même pas si le mien est acceptable ! Parfois, j'aimerais que les autres pensent exactement comme moi. Ce serait bien un pays de silencieux, mais ça me conviendrait totalement. Et puis, à force de ne pas m'autoriser à dire -ou même à penser- à des choses méchantes, j'en viens à considérer un peu tout le monde comme des gens parfaits. Je ne suis que le vilain petit canard parmi tous les cygnes. Je suis alors gentille, adorable, douce, avec tout le monde, parce que je suis trop lâche surement pour me faire un caractère.
Je n'ose jamais donner mon opinion. En général, lorsque l'on me la demande, je détourne la question en demandant à l'autre personne ce qu'elle pense d'abord, pour pouvoir m'ajuster à cette idée et donc éviter le conflit. Le conflit me fait peur, parce que je n'aime pas que les autres ne me comprennent pas. N'adhèrent pas à mes idées. Cela fait de moi pratiquement une coquille vide qui se trimballe, et qui a des bonnes notes. Une sorte de robot, qui suit toujours les mêmes rituels, qui emprunte toujours les mêmes chemins, et qui ne sait pas réagir face à l'imprévu. Je me suis programmée moi même, et si il y a une erreur dans le parcours, toute la machinerie s'affole. Même dans mes devoirs, lorsqu'il s'agit d'exprimer mon opinion personnelle, cela me gène. J'ai l'impression que je ne vaux rien, que c'est tout simplement ridicule et que le professeur n'adhérera pas du tout à ce que je vais marquer. Je me renseigne, et j'écris ce que la majorité des gens pensent, même si mon avis est tout autre. Mouton d'un jour, mouton pour toujours. Je n'aime pas particulièrement mon statut de « suiveuse », surtout que cela donne l'occasion aux gens de profiter de moi. Je ne suis pas particulièrement naïve, mais je joue la naïve. C'est une part de la personnalité que je montre à l'extérieur. Et puis, je suis serviable. Oh, pas dans le genre, tu me demandes un petit service par là, je l'effectue, non. Je fais absolument tout ce que l'on me demande de faire, même si je suis plutôt réticente. Tout pour faire plaisir aux autres, parce que j'ai peur qu'ils ne m'aiment pas. Les gens qui sont intéressants ne m'aiment surement pas pour ça, et pourtant, je crie intérieurement que je rêverais d'avoir une relation positive avec eux. Les gens extravagants m'intéressent terriblement, mais eux me trouvent inintéressante. J'imagine. Si je n'avais pas ma sœur jumelle pour me défendre ou me protéger, parfois, surement que je serais déjà à la morgue d'avoir essayé de satisfaire les besoins d'une quelconque personne aux fréquentations louches. Lorsque je croise des mendiants dans la rue, je ne peux pas m'empêcher de leur donner tout l'argent que j'ai sur moi. Alors, ma sœur m'oblige à ne jamais transporter plus de quelques dollars dans mon sac. Je suis faible, et cela me désole, mais je n'arrive pour l'instant à faire autrement. En fait, cela a empiré avec les années. Je ne sais pas ce qui a fait que je suis maintenant totalement différente de ma sœur jumelle, et cela me tracasse. Pourtant, nous avons normalement le même ADN, mais qu'est-ce qui a cloché dans le développement ?
Dernière édition par Ariana P. Jones le Dim 12 Avr - 2:03, édité 17 fois
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Sujet: Re: ariana p. jones ▬ sweetness Sam 11 Avr - 22:14 |
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question de sexualité : Pour tout vous dire, je n'en ai aucune idée. Étant donné que je ne suis jamais sortie ni avec une fille, ni avec un garçon, je ne peux pas prétendre aimer l'un plus que l'autre. Je ne reluque pas les beaux spécimens dans les couloirs comme certains de mes congénères, et je ne suis pas le genre à aller draguer comme ça n'importe qui. Alors, ça sera à découvrir dans le futur, ou en tout cas je l'espère.
histoires générale :
♫ Musique d'ambiance Ils se regardèrent dans les yeux, ils surent, ils se marièrent, ils eurent beaucoup d'enfants et vécurent heureux jusqu'à la fin des temps. C'était presque ça pour les parents Jones. L'amour entre un coach sportif et une cliente qui aimait se muscler après ses heures de travail postier, romantique, n'est-ce pas ? Il a fallu quand même un bon nombre de nuits occupées dans la chambre pour qu'ils avouent avoir une certaine attirance l'un envers l'autre, étant donné qu'ils s'entendaient aussi bien que les serviettes et les torchons. Ils ne prirent pas leur temps pour se marier, deux semaines plus tard ils étaient à Las Vegas, et un mois plus tard la jeune Ariana Jones (oui je sais, c'est aussi mon nom …) était enceinte. Oh, d'abord, elle n'en voulait pas du tout. Vous vous rendez compte, comment va t-elle pédaler à vélo pour aller poster tout le courrier avec un ventre gros comme ça ? Et puis après, elle n'a plus voulu s'en débarrasser. Leur vie était plus que modeste, car l'un comme l'autre n'avaient pas de gros revenus, et ils emménagèrent bien vite dans un petit appartement qui était juste de taille moyenne. Ils étaient serrés, et il y avait toujours juste assez de place pour accueillir bientôt un petit bébé . Leur maison était loin d'être celle d'une typique famille parfaite anglaise : la plupart des coins libres étaient occupés par des objets de gymnastique ou de musculation, même avec le peu de meubles dont l'habitation était remplie. Et mes deux parents n'étaient pas non plus dignes d'être des Bree Van de Kamp, bien au contraire : Mon futur père, tout sauf un exemple. Un gars un peu bourru, obsédé par son travail et qui ne fait que travailler ses muscles tout le temps. Au moins, on peut lui reconnaitre qu'il n'était pas le genre à s'affaler devant la télé avec des chips et des bières pour regarder le dernier match de football. Quand à ma future mère, une fille maladroite à souhait qui se cassait la figure toutes les cinq minutes, qui était tout sauf organisée et qui se rappelait de tout en le notant sur des post-it. Du coup, tous les murs de l'appartement étaient tapissés de couleurs flashys telles que le jaune ou le rose fluo, mais ça n'empêchait jamais qu'elle retrouvait les post-it de ses rendez vous deux semaines après qu'ils soient passés. Tout leur entourage se demandait comment elle arrivait à garder son job alors qu'elle était constamment en retard, mais elle était également si naïve et gentille que personne ne devait avoir le courage de lui faire de reproches. Son ventre s'agrandit, et bien vite, et .. bien trop vite ! Ils étaient persuadés d'accoucher d'un petit garçon, pour sur. Après tout, une fille aussi costaude, ça ne serait pas très joli, non ? Mais à l'échographie, ce n'était pas un garçon que l'on pouvait voir. Ni une fille. Mais bien deux petites filles qui grandissaient l'une à côté de l'autre dans l'utérus de la jeune Ariana. Quel bonheur.
La grossesse fut bien difficile. Marcher comme une grosse baleine, avoir envie d'aller aux toilettes toutes les cinq minutes à cause de deux petits machins qui vous poussent sur la vessie, une envie constante de manger n'importe quoi et n'importe quand .. Ce n'était pas vraiment la joie. Ariana avait pris beaucoup de kilos, ce que son mari n'appréciait pas trop, en bon coach. Mais bon, il s'occuperait de ça après que les deux bébés soient sortis. Ce qui arriva bien au terme des neuf mois, exactement à la date qui était prévue. Même avant de naitre, je ne devais jamais être en retard, il le semblait bien ! Et puis là, drame. La mère meurt à l'accouchement, le père déprime, se suicide, les deux jumelles envoyées à l'orphelinat .. Non, je rigole. C'est vrai qu'il y a si peu d'action que je m'occupe comme je peux en ajoutant un peu d'évènements dramatiques. Tout s'est passé très bien, et j'étais née. Ma sœur aussi. Ils me nommèrent Ariana, pourquoi moi et pas ma sœur je dois m'avouer qu'ils n'ont jamais voulu me dire pourquoi, et nommèrent ma sœur Ariel. Niveau originalité, on ne pouvait pas dire que mes parents étaient des pros, mais je ne leur en veux pas pour ça. Après tout, ce n'est pas moi qui ai hérité du nom d'un personnage de Walt Disney, hein ? Bref. Nous n'étions pas si différentes que ça, à l'état de petites boules roses qui pleurent tout le temps, aussi bruyantes l'une que l'autre. Nous avions créé un petit duo de chant dès la naissance, et mes deux parents étaient tellement exténués qu'ils engagèrent une nounou, même si c'était un peu au dessus de leurs moyens. La gentille Anka devint notre nouvelle maman, et elle était plus gentille que n'importe qui. Nous ne nous calmions par pour autant, après tout, puisque nous avions commencé quelque chose, nous devions aller jusqu'au bout, non ? Et au bout d'un mois, elle démissionnait parce que nous étions trop insupportable. Être qualifiées d'insupportables alors que nous n'étions que bébés, c'était assez dur pour le moral de nos chers géniteurs. Ariana senior quitta son travail pour s'occuper d'Ariel et d'Ariana junior, et nous passâmes ces deux trois premières années de notre vie dans un climat que l'on pouvait considérer comme tout à fait normal. Si l'on excluait le fait que notre mère nous faisait tomber tout le temps par terre par maladresse, nous donnait du lait bien trop froid parce qu'elle ne savait pas vérifier la température et se trompait tout le temps entre nos deux doudous. Moi je dis qu'il ne faut pas chercher bien loin pour déterminer qui est la cause de toute notre folie d'aujourd'hui !
La rentrée à l'école maternelle. Parce qu'il y a un jour où tout enfant doit se détacher de sa folle de maman pour se retrouver entourée de gens plus ou moins équilibrés. Ariel et moi étions inséparables, et ceux qui avaient essayé de nous détacher en avaient subi les conséquences. Arrachage de cheveux, déchirement de vêtements, renversement de nourriture ou de liquides .. Et arrivés à l'école, notre mère a appris que nous allions être placées dans deux classes différentes. Que, quoi, comment ? Elle essaya de négocier pendant une heure avec les responsables de l'établissement, mais il avait fallu se faire une raison : Ariel et Ariana allaient être séparées par plusieurs murs et mètres de sol et n'allaient pas pouvoir se voir 24h/24. Elle ne nous avait rien dit, cela n'aurait fait que déclencher des cris et des pleurs et Ariana senior avait tendance à déprimer lorsque cela arrivait. Le premier jour, elle nous amena à l'école, et nous laissa devant le portail, pour ne pas avoir à nous conduire chacune notre tour jusqu'à la classe. Haha, c'était malin. Et lâche. Nous étions restées des dizaines de minutes à attendre devant la grande grille, avant qu'un des adultes nous demande ce que nous faisions là, et qu'il nous emmène à l'intérieur dans nos classes. Ce qui devait arriver arriva, nous nous étions comportées comme des folles dans un asile lorsqu'on avait essayé de nous séparer. Et nous gagnâmes, mises dans la même classe, les petites jumelles. Mon début de scolarité s'était passé tout à fait normalement, si l'on excluait le fait que je m'ennuyais comme un rat mort alors que ma sœur s'amusait comme une folle. Tandis qu'elle jouait au docteur, à la maitresse, ou à multitude d'autres jeux avec nos petits camarades, je restais dans mon coin à consulter les livres. J'apprenais à lire plus de deux années avant ma sœur, c'est-à-dire à 3 ans et demi. Je suppose que ma carrière était déjà toute tracée déjà à cet âge là, et la maitresse avait même proposé à mes parents de me faire sauter une classe. Malheureusement, comme Ariel et moi étions en quelque sorte un « paquet », et que ma sœur était loin de se comporter de la même manière que moi, il n'était pas question de me mettre dans la classe au dessus. Cela me convenait très bien, de toute façon, je ne me comportais en aucune sorte comme une petite fille ambitieuse et qui aimait se sentir au dessus des autres, je préférais même aussi jeune rester dans mon coin pour que personne ne me remarque. Ariel avait beau me tirer pour que je vienne jouer avec elle et les autres, je préférais nettement me retrouver toute seule. Le calme était ce que je préférais, et l'agitation des classes de maternelle me dérangeait horriblement. Je savais que cela allait s'améliorer plus j'allais monter dans les classes, et j'avais plus que tout envie de passer dans les classes primaires, où le vrai apprentissage allait commencer. Parce que dessiner et jouer toute la journée, au début ça peut être sympa, mais après ça devient sérieusement ennuyant.
Les pleurs et la tristesse s'empare de notre cœur lorsqu'on quitte les classes qui n'en étaient pas, pour se retrouver dans un endroit où les notes et le travail comptait. Ça, ce devait surement être pour Ariel, car j'étais excitée comme une puce. Enfin pouvoir apprendre des choses ! Déjà à cet âge là, j'étais friande de tout ce qui concernait remplir pour cerveau avec toutes les informations possibles. Je n'avais pas la langue dans ma poche, et posait des questions absolument sur tout. « C'est quoi ça ? » « Pourquoi ?? » « Ça sert à quoi? », je posais un nombre impressionnant de questions par journée, ce qui avait le don d'exaspérer tous les adultes autour de moi. On me donnait un travail à faire, je le faisais impeccablement. On ne pouvait se douter que nous étions né du même œuf moi et ma sœur, tant notre façon de nous comporter et le travail qu'on fournissait était différent. J'aimais que tout soit carré, tandis qu'elle partait souvent dans les fantaisies. Nous commencions à choisir nos habits nous seule, et notre style également était très différent. Lorsque j'optais pour des vêtements sobres et simples, elle aimait faire des fantaisies et porter tout ce qui était le plus coloré possible, avec une préférence notable pour le rose. Notre maitresse nous adorait, il n'y avait aucun soucis à se faire de ce côté là, sauf au moment de rendre les notes pour les contrôles qui, au fil des années, se faisaient de plus en plus espacées entre nous deux jumelles. Je ne parlais jamais de mes résultats à la maison, qui étaient excellents, car ma sœur avait vraiment des difficultés même à un si petit âge, et que je ne voulais pas paraître pour une vantarde et la rabaisser. Car évidemment, elle était bien la personne la plus importante pour moi, étant donné qu'à sa différence, je n'avais pratiquement pas d'amis. Le seul qui me parlait était celui qui mangeait la colle dans les pots posés sur les tables à l'école, et je me doutais sérieusement qu'il devait avoir quelque problème. L'ambiance à la maison était quelque peu tendue, et lorsque nous rentrions de l'école lorsque nous devions avoir dans les huit ans, il arrivait que nous retrouvions des bouts de vase cassés par terre. Oh non, Ariana senior ne l'avait pas lancé sur son mari dans un accès de colère parce qu'elle avait découvert qu'il la trompait avec une petite fille tout juste sortie de l'adolescence, juste parce que sa maladresse augmentait avec l'âge, et qu'aux plâtres, s'ajoutaient les autres plâtres, et que nous avions encore plus peur chaque jour de la retrouver morte sur le plancher de la cuisine en s'étant coupé les veines accidentellement, ou je ne savais quelle chose encore. Et même si nous étions encore les meilleurs amies du monde, Ariel avait tendance à me quitter bien souvent pour aller jouer avec ses petites amies, tandis que je restais à la maison pour ranger les bêtises de ma maman, faire mes devoirs, lire et m'ennuyer. A nos anniversaires, tous les invités étaient les amis de ma sœur, et je restais après avoir mangé une part de gâteau, tout le reste de la fête à l'intérieur de ma chambre. Ce n'était pas la joie.
Dernière édition par Ariana P. Jones le Dim 12 Avr - 16:46, édité 11 fois
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Sujet: Re: ariana p. jones ▬ sweetness Sam 11 Avr - 23:10 |
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Le collège. C'est le petit chemin caillouteux avant la vraie jungle, c'est-à-dire, le lycée. Disons que je ne me rappelle que trop bien ces années, étant donné qu'au début de l'année, nous furent contrainte de faire un petit voyage. Ma mère en avait marre de l'air de Londres, mon père avait été muté dans un nouveau pays, alors bonjour les États Unis ! J'étais horrifiée. Ma vision des États Unis, c'était les filles riches avec les jolies robes qui lançaient des rumeurs sur n'importe qui, les hamburgers et .. un peu tout ça. Déjà que je n'étais pas intégrée parmi les autres gens dans mon pays d'origine, alors dans un pays étranger ? Et si les américains n'aimaient pas l'anglais ? Mon accent était bien prononcé. J'allais me faire taper dessus, peut-être ? Et si je me faisait tirer dessus ? Il y avait tellement de morts par balle dans ce pays étrange ! Ma sœur était ravie, avec pour objectif de devenir une star, les États unis étaient ce qu'il y avait de mieux. Je ne pouvais que me raccrocher à son bras pour me rassurer, mais elle semblait être de moins en moins en état de pouvoir arrêter mon stress comme elle l'avait toujours fait. Nous arrivions, nous nous installions dans une petite maison, et j'arrivais dans le collège. Comme je ne savais pas quoi faire d'autre, je suivais ma sœur jumelle. Les autres n'arrêtaient pas de nous faire des remarques, sur le fait que nous nous ressemblions en tout points, que ça devait être super de ne pas avoir besoin de miroir, etc, etc .. Tout ce que je voulais, c'était aller en cours. Le niveau du collège où j'étais était assez bas, et je m'ennuyais beaucoup. Ariel montait en popularité, et devint bien une vite une des filles les plus aimées du lycée. Moi, j'étais la sœur d'Ariel, position qui me plaisait assez. On ne me cherchait pas de problèmes, en tout cas au début, et je pouvais travailler et lire tranquillement dans mon coin. Puis, vinrent les populaires qui détestaient ma jumelle, et qui s'en prenaient à moi parce qu'elles n'arrivaient pas à l'atteindre. Bien vite, je devins l'élève martyrisée, et je ne pouvais pas dire qu'Ariel faisait quelque chose pour y remédier. J'avais l'impression qu'elle m'avait totalement oublié, qu'elle vivait dans son petit monde de paillettes et que je n'existais même plus pour elle, sauf à l'heure des repas ou le soir quand nous nous couchions, car nos deux lits étaient dans la même chambre. Finie l'époque où nous énervions tout le monde avec notre super langage de jumelles inventé que personne ne comprenait, et où nous nous amusions toujours toutes les deux comme des folles sans que personne comprenne pourquoi. On me renversait des seaux d'eau sur la tête, me suivait après les cours, on raturait mes livres de cours, on mettait de bien méchants mots dans mon casier .. Je développais bien vite une angoisse d'aller à l'école, et fut déscolarisée pour ma dernière année de collège. J'étais encore plus considérée comme un monstre, et ma jumelle m'accusait de l'avoir fait passer pour une folle parce que je ne pouvais plus me rendre en cours.
Il était évident qu'ayant le projet de rentrer dans la grande université de Yale, il fallait que j'aille à l'école. Les cours par correspondance ne me permettaient pas d'assurer un bon avenir, et il fallait donc que je reprenne courage pour aller à l'école. Ce n'était plus particulièrement celle là qui me faisait peur, mais toutes. Je fus inscrite dans un lycée privé, différent de celui d'Ariel, et le premier jour, j'arrivais les jambes tremblantes dans la rue qui y menait. Au fur et à mesure que j'avançais, j'avais la nausée, un mal de tête horrible et avais horriblement peur. Peur de quoi, je n'en savais rien, mais à peine avais-je vu la façade l'établissement que je savais que je ne pouvais pas y entrer. Je rentrais chez moi en courant, en pleurant, et mon père me grondait pour me comporter de manière si immature. Le deuxième jour, on me forçait à aller à l'école, et en classe, on me dévisageait comme si j'étais une folle. Je pleurais en cours, je me sentais sur le point de m'évanouir, j'étouffais, j'avais juste envie de sortir. Comme je ne voulais pas décevoir mes parents, et en même temps me décevoir, j'essayais de faire des semaines complètes, mais j'avais beaucoup de jours d'absence à mon actif. Mais comme j'avais les meilleurs résultats de l'établissement, on me faisait des recommandations, mais rien de plus. Je voyais plusieurs psychologues, psychiatres même, prenais des traitements anti stress, était dans le vague un peu toutes les journées. Ce furent les trois années les plus longues que j'ai connu. Alors que tous les autres allaient en soirées huppées, parlaient de leurs derniers coups ou de leur dernier petit ami, j'étais désespérément la fille sans aucune vie sociale et qui restait toujours à travailler. Qui en plus de ça, avait l'air d'être psychologiquement instable, et qui était celle qu'il ne fallait absolument pas fréquenter pour ne pas entacher sa réputation. Si ce n'était pas assez, je commençais à avoir des problèmes avec la nourriture, alternant les phases de gavage et les phases de restrictions, ayant un poids qui faisait le yoyo. Même Ariel ne me parlait plus, et j'avais même peur de ne pas vouloir finir toutes ces années vivante. Je commençais à m'évanouir souvent en cours, attrapais régulièrement toutes sortes de maladies, mais pourtant ne m'arrêtais jamais de travailler. Car tout ce qui me rattachait à l'espoir d'une vie à peu près normale après le lycée était l'entrée dans l'université prestigieuse de Yale, où je fus acceptée à la fin de ses années de calvaire. Je fus hospitalisée pendant les mois de vacances qui précédaient mon entrée dans l'école, mois durant lesquels je travaillais pour que ces prochaines années ne soient pas aussi désastreuses que celles que j'avais passées précédemment. Et à mon plus grand bonheur, si beaucoup de problèmes restaient irrésolus, je m'en sortais plutôt bien.famille & co : Même si je ne vis désormais plus avec eux, je garde de très bons contacts avec mes parents. Dès que je leur parle, ils ne tarissent jamais d'éloges à mon sujet, et je sens bien qu'ils se sentent extrêmement coupable pour toutes les misères qui me sont arrivées. Même si je leur assure que rien n'est leur faute, ils se confondent en excuses parce qu'ils croient que c'est quelque chose avec leur éducation qui m'a rendue comme je l'étais. Peut-être qu'ils pensent vraiment que je suis bizarre, cassée, tordue ou je ne sais quoi, mais de toute façon, je ne leur en veux pas. Je les aime, je les adore, puisque de toute façon ma famille est à peu près toute la vie sociale que j'ai eu jusqu'à mon entrée à l'université. Et la personne la plus importante dans mon cœur surtout, ma sœur. Ma soeur qui m'a pourtant abandonnée dans les moments où j'avais le plus besoin d'elle, et qui se sent maintenant horriblement coupable. Je le sens, et cela ne fait que me faire me sentir coupable de .. la faire se sentir coupable. Je n'en veux à personne, car c'est une part de ma personnalité, et j'aime ma sœur parce qu'elle est toujours là pour moi à présent. Elle est presque redevenue ma meilleure amie d'enfance, et est plus protectrice que jamais. A chaque fois que je me sens déprimée, elle vient me réconforter. Elle essaie d'arranger tous les problèmes que j'ai, je pense pour essayer de se racheter des années où elle m'a abandonné. Je ne m'en plains pas, car sa compagnie est la plus importante à mes yeux, mais je me désole que les milieux où nous vivons soient aussi différents. Elle fait partie des filles populaires, qui ont des milliers de gens qui les admirent et qui n'ont besoin de rien, tandis que je fais partie des filles qui marchent dans l'ombre. Je n'ai pas d'autre famille, celle que j'ai me suffit bien largement. questions d'amitié & d'amour : Je crois que si vous êtes arrivé à ce point là de la fiche, vous avez compris que je suis tout sauf quelqu'un qui a beaucoup d'amis. En fait, ma vie sociale a débuté à partir du moment où je suis rentrée à Yale. Parce qu'il y avait surement des gens aussi déglingués que moi, et qui n'avaient pas le but de me détruire. Je suis devenue assez paranoïaque, et j'ai toujours l'impression que les gens veulent me faire du mal. Veulent dire du mal de moi. Je n'aime pas marcher dans les endroits publics, car j'ai la constante impression que l'on parle dans mon dos. Néanmoins, je suis arrivée à me faire quelques connaissances, et je peux même dire amis. Parce que j'ai une apparence fragile, certains veulent me protéger. Faire de moi la petite fille qu'ils n'ont pas encore eu. Niveau amour, il faut bien avouer que c'est le calme plat. Je crois que je suis faite pour terminer vieille fille, ou que je vais devenir nonne. Pourtant, il y a bien des garçons qui m'intéressent depuis que je suis arrivée à Yale, autant que des filles, mais je ne sais pas si c'est ce qu'on appelle vouloir devenir ami avec quelqu'un ou alors avoir envie de sortir avec eux. Il est évident que je suis la dernière fille avec qui n'importe qui pourrait avoir un one night stand, premièrement parce que je n'ai jamais couché avec quelqu'un (et ce n'est pas un secret …), et également parce que je trouve ça totalement répugnant.
principe ? une sucession de questions, vous avez le droit à deux JOKER, c'est à dire, vous avez le droit de passer deux questions, & seulement deux ! Enjoy babe !
ton meilleur ami te fais des avances, tu fais quoi ? : Je ne m'en rend pas compte. Après tout, je ne sais pas reconnaitre les avances de la pure gentillesse. Et si on m'apprend que ce sont des avances, je m'arrête de parler et je commence à pleurer. Ou je pars en courant. embrasserais-tu la personne à côté de toi ? : Euh .. On m'explique l'intérêt de cette question ? Mais je pense que non. A moins que ma vie soit en jeu ! déambuler nu(e) dans yale, ça te fait peur ? : Bien évidement. Quelle question ! plutôt Vodka ou Redbull ? : Aucuns des deux, je ne supporte ni l'alcool ni les boissons énergétiques. Je préfère un bon vieux thé ! genre, t'as combien de contacts facebook ? : Je n'en ai qu'un, c'est à ire, ma sœur jumelle. Vous êtes content ? tu peux nous dire quelques chose en italien ou en espagnol ? : Mostra lei alle torce come si fa a brillare ché pare un pendente sulle gote della notte, come il ricco gioiello all'orecchio dell'Etiope chante une chanson française, si t'en connais une... : Je ne connais pas de chanson française, par contre je peux vous réciter un poème .. ton gros mot préféré ? : Je n'utilise pas de gros mots. tu es du genre à coucher au premier soir ? : Comme je l'ai dit plus haut, absolument pas. cap ou pas cap de draguer le prof d'économie ? : Je ne suis absolument pas capable, et de toute façon, c'est en tous points dégoutant ! t'as envie de moi maintenant là, tout de suite ? : Mais oui bien sûr. Qu'est-ce que tu crois ? Je n'ai envie de personne. je t'emmerde, tu me réponds quoi ?: J'avoue que je ne sais pas .. le mot de la fin ? : FIN.
ton prénom, ou pseudo ou les deux : Bou ton âge ou l'âge que t'as pas (a) : 15 ans note ce desing sur, 10, 100 ou 1000 : 9/10 nombres de lignes moyenne de rp : Je fais jusqu'à 200 lignes (enfin sur un forum avec une largeur comme ça ça doit faire plus xDD), et je n'ai absolument pas de moyenne. En fait, je fais environ 200 mots de plus que celui avec qui j'écris. pourquoi ce forum & pas un autre ? : Parce que il y a plein de monde ? Haha, je ne cherche pas loin ! question stupide; starsky ou hutch ? : es coco pop's;c'est nul, on veut de chocogrenouille ! le mot de la fin ? Je t'aime !
Dernière édition par Ariana P. Jones le Dim 12 Avr - 17:18, édité 6 fois
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Sujet: Re: ariana p. jones ▬ sweetness Sam 11 Avr - 23:17 |
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- Polly J. a écrit:
Bienvenuuuue (:
hmm, par contre, la liste des avatars ne doit pas être mise à jour, car Emily Browning est prise, par moi en l'occurrence. cela dit, tu as bon goût ;) OMG, KAAAAAAAAAAAAAAAAAAT. Encore plus bienvenuue En tout cas, tu peux être sûre que je vais t'en réclamer un, quitte à me mettre à genoux et à te supplier Mais je pense pas que personne ne te demandera. Si on a des fans de kaya, ils connaissent forcément Kat, ou alors je ne m'appelle pas agnès polly. et puis de toute façon, elle est trop choue
Dernière édition par Polly J. Fitch le Dim 12 Avr - 12:29, édité 2 fois
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Kaylsee N. Laurens
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Sujet: Re: ariana p. jones ▬ sweetness Dim 12 Avr - 0:19 |
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Moi j'te demanderai un lien; meme si je ne la connais pas! =D lol Bienvenue parmis nous & bonne continuation!
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Sujet: Re: ariana p. jones ▬ sweetness Dim 12 Avr - 0:22 |
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Polly > Merci Polly chou, toi je t'adore déjà ! <3
Kaylsee > Bah ça c'est gentil, merci ! Superbe avatar au passage !
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Sujet: Re: ariana p. jones ▬ sweetness Dim 12 Avr - 1:14 |
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Bienvenue, ah j'adore ton caractère, la façon dont il est écrit ! (L' Moi je te demanderais un mien aussi ^^
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Sujet: Re: ariana p. jones ▬ sweetness Dim 12 Avr - 1:16 |
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de même que Calypso, je suis fan aussi <3 bienvenue :)
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Sujet: Re: ariana p. jones ▬ sweetness Dim 12 Avr - 1:31 |
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Merci à tous les deux ! Enfin le caractère n'est pas fini encore, je suis en rédaction de la suite T.T je me désespère à avoir trop de choses à dire ! On dirait que je suis inspirée avec Kathryn chou
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Jordan Meadows
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Sujet: Re: ariana p. jones ▬ sweetness Dim 12 Avr - 12:36 |
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Bienvenue =) Ouaah, une belle fiche
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Sujet: Re: ariana p. jones ▬ sweetness Dim 12 Avr - 17:19 |
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J'ai (enfin !) fini ! Alors, par contre, je n'ai pas assez prévu de post pour ma présentation, alors il a un post de Polly qui la coupe ! Si vous pouviez le supprimer ça serait super (: Merci !
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Jerrika O. Schweitzer
AD-ADEPTE JM ? J'aime !
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Sujet: Re: ariana p. jones ▬ sweetness Lun 13 Avr - 0:01 |
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Waaawww, très belle présentation. Je te valide miss (:
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Sujet: Re: ariana p. jones ▬ sweetness |
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ariana p. jones ▬ sweetness |
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