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Apolline Fleur Connely a aujourd'hui dix-neuf ans. C'est une charmante franglaise (papa est anglais, maman est française). Elle est complètement écervelée, bien que très sympathique. Eh oui, Apolline est amie avec tout Yale malgré sa niaiserie. _PARTAGER_

informations générales

date de naissance : Elle est née le quinze avril en France, à Paris. Son cœur est cependant pur british.
originaire de : Londres, quartier de Knightsbridge
nationalité : Anglaise
situation amoureuse : Amoureuse, en couple... mais bien sur, elle aimerait que ça marche un peu mieux.
moyenne scolaire sur 100 : 98/100.
études en cours : Droits

bizutage des bleus

confrérie souhaitée : Zeta beta zeta.
motivation pour la confrérie : Être riche et jolie, c'est une des contraintes lorsqu'on veut devenir une ZBZ. Et riche et jolie, Apolline l'est croyez-moi. Bon, après, elle n'a pas forcément ce qu'on appelle l'intelligence. Elle n'est pas sans cervelle, ce n'est pas ça, simplement cruche. Très cruche. En tous les cas, sa mère était ZBZ. Sa tante aussi. Et toutes ses cousines. Si jamais elle ne fait pas partie de cette confrérie, elle sera la honte de la famille et sera rayé du testament de ses parents. En tous cas, c'est ce qu'ils lui ont dit. Sans vouloir lui mettre la pression.

petites questions entre amis

ton meilleur ami te fais des avances, tu fais quoi ? : Eh bien... je m'inquiète. Je veux dire, c'est grave quand même. Moi, par exemple, mon meilleur ami je le connais depuis la maternelle, on a tout fait ensembles. Lui il est à Brown maintenant. Mais oui, quand même, s'il me fait des avances, c'est qu'il est bourré ou malade.
embrasserais-tu la personne à côté de toi ? : Non. Augustin me tuerait. Et puis de toutes façons, ça ne se fait pas pour lui.
déambuler nu(e) dans yale, ça te fait peur ? : Absolument pas. Il parait que je suis bien roulée.
plutôt Vodka ou Redbull ? : Les deux mélangés, pourquoi pas!
genre, t'as combien de contacts facebook ? : Mille six cent soixante quatorze. On m'a dit que ce n'était pas assez, mais enfin quand même ...
tu peux nous dire quelques chose en italien ou en espagnol ? : Schifezza. C'est de l'italien. Ça veut dire... enfin bref. Ça veut dire un mot que je dis tout le temps. Je sais aussi dire un peu, en espagnol. Un poco.
chante une chanson française, si t'en connais une... : Côte contre côte nos corps vibrent par temps, et dans cette course sans dérive on tombe presque hors champs. Et dans tes rires qui défoncent plus que l'égo qui te prend tu nous réduis à l'impossible dans tes tourments. Cœur De Pirate. Québec, mais c'est du français aussi. Je ne connais que cette partie de la chanson. J'ai passé un mois à l'apprendre.
ton gros mot préféré ? : Merde. Ou schifezza. Je le dis assez souvent, et bien que je sois bien élevée et toujours d'une extrême politesse, 'merde' est un mot qui m'a toujours échappée en situation extrême. Si bien que je l'ai apprivoisé.
tu es du genre à coucher au premier soir ? : Hum... comment dire... non. C'est de moins en moins courant d'ailleurs. C'est désolant.
cap ou pas cap de draguer le prof d'économie ? : CAP! Il a la cinquantaine mais bon Dieu, il est tout à fait splendide. Je mettrais quand même Augustin au courant.
t'as envie de moi maintenant là, tout de suite ? : Tiens, et ta sœur?!
je t'emmerde, tu me réponds quoi ?: Moi aussi je t'emmerde.
le mot de la fin ? : PEACE.

la réalité vraie

ton prénom, ou pseudo ou les deux : Paperblack seulement.
ton âge ou l'âge que t'as pas (a) : Cent sept, suis née en 1901 comme Edward Cullen (a)
note ce design sur, 10, 100 ou 1000 : 10/1000 (L.)
avatar : AMANDA SEYFRIED. Je peux la réserver?
pourquoi ce forum & pas un autre ? : Parce que banaaaane.
question stupide; starsky ou hutch ? : Les coco pop's;c'est nul, on veut de chocogrenouille !
le mot de la fin ? FIN, ah.

le dossier confidentiel (part. 1)

description physique : 7 lignes
description de caractère : 7 lignes
orientation sexuelle :

le dossier confidentiel (part. 2)

histoire générale : Au lycée, tout le monde se moque d’Apolline Connely. Parce que c’est une véritable cruche sans cervelle, qui glousse sans arrêt. Et le pire, c’est que la concernée ne se rend pas compte qu’il y a des chuchotis sur son passage, ce qui la rend encore plus risible.
Néanmoins, personne n’a jamais fait remarquer son attitude à Apolline. Parce qu’en réalité, les gens aiment bien Apolline, malgré son côté très innocent. Pire, encore, elle a toute une foule d’amis. Apolline, elle est d’une compagnie très agréable. Elle peut vous faire oublier tous vos soucis en trois noms deux adjectifs à peine. Elle est magique, Apolline.
Il faut dire, aussi, qu’elle n’a pas la vie facile Apolline. Son père est un tyran né, un vrai Louis XIV version anglais. Terrifiant. Avec lui, un pas de travers et c’est le bagne. La niaiserie est surement le meilleur moyen pour Apolline d’échapper à tout ça. Surement.

Mais avant de partir dans de plus profonds détails de l'existence palpitante que mène A., petit flash back voulez-vous? Apolline est née à Paris, le quinze avril, il y a aujourd'hui dix-neuf ans de ça. À sa naissance, elle était déjà belle comme un cœur, même son père a été obligé de l'admettre. Très vite, elle s'est révélée être une personne très sympathique, quoique pas très perspicace. Avec elle, les phrases débiles c'est toute les deux minutes. Au bout d'un moment, on finit par oublier sa stupidité et on profite de sa gentillesse. Sur le plan scolaire, les parents d'Apolline n'ont jamais eu à se plaindre (son père a toujours cependant trouvé quelque chose pour la rabaisser, c'est un homme dur et intolérable). Elle connaissait toujours ses leçons sur le bout des doigts et avait des notes astronomiques. Son attitude en classe, cependant, a toujours été limite. Bavardages, rêvasseries, écrivaient ses professeurs. Oui, c'est tout Apolline ça.

Son adolescence a été normale. Chagrins d'amours, on claque les portes, sorties avec les copines, on veut une augmentation d'argent de poche tous les weekend. Il y a cependant ce petit détail qui différencie son adolescence de celle de ses copines: son père battait sa mère. Cette dernière a tout fait pour protéger Apolline et prenait tout les coups à sa place. Juliette Connely aime profondément sa fille, vous savez. Ainsi que son fils, bien entendu, Raphaël. Petit dernier de la famille, il s'est toujours très bien entendu avec sa grande sœur. Apolline et lui, c'est dix-sept ans de vie commune en parfaite harmonie. Pas une engueulade, rien. Il n'a malheureusement jamais eu l'intelligence de sa sœur et en a souffert. Son père ne cessait de lui répéter pourquoi, pourquoi diable n'es-tu pas comme ta sœur? L'an dernier, il s'est enfui de la maison après s'être fâché avec son père pour la quatre cent soixante deuxième fois de la semaine. Il est parti en Australie avec sa petite amie. Pas une nouvelle depuis. En général, Apolline évite de penser à lui. Il arrive néanmoins qu'elle ait une petite pensée pour son frère. Pour se consoler de l'absence de Raph, elle se dit qu'il est surement mieux là où il est.

Apolline a donc à présent dix-neuf ans, et en septembre elle fera son entrée à l'université de Yale. Pour l'été, elle travaille pour une petite libraire située dans le quartier français de Londres. Elle est charmante avec les clients, serviable, bien que très cruche sur les bords, mais elle a toujours été comme ça, n’est-ce pas ? Les cheveux rassemblés en une queue de cheval, elle est penchée sur un bloc note et dessine le portrait de sa mère quand elle était jeune. Un jeune homme à la chevelure brune entra dans la boutique, salua Apolline en anglais et fila au fond de la librairie. Il revint à peine deux secondes plus tard avec un livre de Shakespeare dans les mains. Classique. Il tendit sa carte bancaire à la jeune femme. Celle-ci fixa la carte avec ébahissement. Augustin Joubert. Pourquoi ce nom lui est-il si familier ? Le client s’impatienta et reprocha d’une voix qu’il essayait de rendre la plus polie possible : « Il y a un problème mademoiselle ? Je suis plutôt pressé. Rendez vous chez le médecin. » Une fois n’est pas coutume, Apolline fit marcher son cerveau à toute allure et la réponse s’imposa soudain à elle, la frappant de plein fouet. L’espace d’un instant, elle redevint une adolescente serrant dans ses bras le "petit Augustin", son meilleur ami, avant les grandes vacances. Voir qu’il mesurait aujourd’hui plus d’un mètre quatre vingt la fit rire intérieurement. Un grand sourire illumina son visage. « Mais t’as fini par grandir alors ! », ne put-elle s’empêcher de dire. Les yeux d’Augustin s’arrêtèrent soudain sur ceux d’Apolline. Lui aussi la connaissait. « Gosh, Apolline, mais t’as pas pris un centimètre toi… » Ravie, elle lui adressa un sourire qu'il lui renvoya avec autant de joie. « Écoute, on devrait se voir un jour toi et moi, mais là vraiment j'ai pas le temps, médecin tu sais... » « J'ai une pause de deux heures tous les midis -douze heures, quatorze heures », dit-elle avec un empressement ridicule. Augustin acquiesça et prit son livre ainsi que sa carte bancaire. Il lui adressa un au revoir de la main, comme il le faisait lorsqu'ils avaient encore treize ans.

« Et t'as des nouvelles de l'ancienne bande? Tu sais, Arthur, Isabelle et tout... » Augustin et Apolline étaient à présent assis à la terrasse d'un café de Kensington. Apolline hocha tristement la tête. « Non, la dernière fois que j'ai vu Isa et Art, ils venaient de rompre. C'était ma faute, parce qu'Arthur et moi nous étions embrassés à son anniversaire, et je me suis engueulée avec Isa à cause de ça. Ma meilleure amie, tu te rends compte? J'en ai voulu à Art. Je vois toujours Constantin de temps en temps, mais il va aller à Borwn en septembre, ça va devenir plus dur. » S'en suivi ensuite deux longues heures durant lesquelles ils se racontèrent ce qu'ils devenaient -leurs petites histoires quotidiennes, les années lycée.

AMAAAAAAAAAAAAAAANDAAAAAAAAAAAA
Trop bon choix
Bienvenue (:

KRISTEN. Merci :)

Moi par contre Wyatt je suis une adepte de Robichou. Merci Sklaeen, ton prénom et ton avatar Je m'incline.