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Jayden C. BROCKLEHURSTJe fais pas partie de ces gens qui sont là, genre à fumer des clopes et a pleurer parce que leurs parents les ont privés de sortie. J'fais pas partie de toute cette pourriture riche et puante, avec ces jeunes qui se disent incompris de la société parce qu'autour d'eux ils sont tous comme eux, c'est à dire regardez moi, pas les pauvres. J'fais pas partie de ces gens qui se disent faire partie de la génération sexe drogues et rock'n'roll. Je dis rien, je suis. _PARTAGER_

informations générale

date de naissance : 23 juin
originaire de : Midwest City, Oklahoma
nationalité : Américaine
situation amoureuse : célibatire
moyenne scolaire sur 100 : 60/100
études en cours :

le dossier confidentiel

description physique :
Tu marches dans la rue, insouciant, et tout d’un coup, une question te vient à l’esprit. Comment est-ce que les autres te perçoivent ? C’est assez philosophique il faut l’avouer, surtout dans un moment pareil quand t’as rien à faire et que tu fais juste marcher. Alors tout de suite, te viens à l’esprit le début. La silhouette. Cette silhouette élancée, grande, mince, affinée, ce look qu’on ne sait pas dire s’il est traditionnel ou personnalisé. Et puis cette démarche tranquille, insouciante, ces grands pas sans être disgracieux. Est-ce que les gens s’attendent à te voir beau en voyant ta silhouette de loin, ou de dos ? Peut être. Tu réprimes un sourire. Parce que tu es habitué à ne pas sourire. Ou plutôt parce que tu n’es pas habitué à sourire. Ce visage fermé, antipathique, qui n’est pourtant pas déplaisant, ce regard fixe, froid, lacérant, comme si on vous détaillait sans arrêt à nu, ces lèvres fines qui ne prononcent rien parce que rien ne mérite d’être dit. Tu as toujours préféré l’action à la prévention. La théorie t’ennuie, tu préfères agir, et vite. Lors tu marches et c’est quand tu agis que tu te poses des questions. Comment les gens te perçoivent ? Avec ta coupe bien chère, un cadeau de ta chère maman qui n’a rien compris, ces cheveux hirsute que tu prends à peine le temps de coiffer. Qu’est-ce qu’ils pensent, en te voyant ? Cette fois, tu soupires. T’en a rien foutre, de ce que les gens pensent de toi.
description de caractère :
« T’es pas un mauvais type, Jayden, je te jure, t’es pas comme lui »
Si ce n’était pas ta mère, tu lui aurais répondu « ta gueule ». Mais ta mère est une pommée. Un peu trop intelligent pour t’en être rendu compte à 14 ans, tu as compris trop vite trop de choses qui planaient sur ton existence. Lui, il t’a fit souffrir, et elle, elle a rien fait pour l’en empêcher. Alors tu es resté amer, dans ton coin, méchant avec ceux qui disaient te connaître rien que pour les contredire, parce que tu hais ceux qui croient te connaître. Tu es différent, infiniment intelligent, tu crois tout savoir, et peut-être que quelque part t’as pas totalement faux. T'es le type de mec à ne rien prévoir et a tout improviser, tu débordes d'imagination mais pas forcément dans le bon sens. T'aime pas vraiment rire, mais ces choses malsaines et malheureuses qui arrivent aux gens te rendent joyeux, comme si t'avais l'impression que quelqu'un pouvait enfin partager ta peine. T'es un peu nombriliste et t'en a conscience, t'en a rien a faire des gens, tu préfères les animaux muets et l'environnement, même si t'es peut-être le premier à ne pas le respecter.

orientation sexuelle : hétéro
histoires générale :

« J'ai encore le goût du tabac sur les lèvres, mélangé à un autre goût plus prononcé qu'est celui d'une certaine plante illégale. Si ma mère le savait, elle aurait pleuré, comme d'habitude ; puis elle m'aurait appelé son bébé et aurait fait en sorte que je ne manque de rien pendant une semaine. Ensuite, ça lui serait passé, comme ça lui passe toujours. Je me souviens que mon père m'aurait battu, encore plus fort que d'habitude, parce que mon père aimait bien taper, et que pour prouver à ses pourris qu'ils savait très bien faire de la boxe, il me boxait, moi. J'ai eu un sourire amer en passant devant la photo qui nous représentait, mon père, ma mère et moi, quand on était encore tous les trois. J'ai enfoncé mon ongle dans la partie du papier peint où il y avait noté "Rest in peace" ; parce que j'étais bien heureux qu'il soit mort, cet enfoiré. Si le papier se déchirait sous mes doigts, ma mère penserait que c'est le chat, comme d'habitude. Elle me trouve débile, je le sais ; mais pas dans le sens habituel. Elle croit que je suis fragile, en manque d'amour et elle me cède tout. Elle croit que c'est cause du décès de mon père. Je lui aurais bien rit au nez, libéré des coups de ce salopard, mais franchement, à quoi ça m'aurait avancé ? Elle ne comprendrait pas. Je suis descendu dans la rue. Les gens me jettent des regards mauvais, les mères arrachent les filles de leurs fenêtre où cachent les yeux de leurs fils. Les jeunes, en bandes, me regardent, apeuré, comme si j'allais leur faire mal, et si j'avance en leur direction, ils se disent rapidement au revoir et partent chez eux. Alors, franchement, il n'y que les flics qui m'aiment bien. C'est un cercle vicieux. On dit de ne pas me fréquenter parce que je me drogue, que je suis un mauvais garçon et que je ne fais que du mal autour de moi, on m'accuse d'avoir mon père, ce brave homme ; ainsi les jeunes ont peur de moi et m'obéissent ; ainsi les flics m'aiment bien ; ainsi je peux me droguer plus librement ; ainsi je continue d'alimenter la rumeur. Il y a longtemps que les commères ne se réunissent plus pour parler de mon cas ; ma mère est une pauvre femme qu'elles n'invitent même plus ▬ d'ailleurs elle ne comprend pas pourquoi elle est rejetée ▬ , sans mari, avec un fils qui n'a aucun espoir dans la vie. Si elles savaient comment je bossais pour réussir. Je n'ai pas ma place chez moi, ma mère ne m'aime pas vraiment, elle a pitié de moi, et m'aime juste pour vanter mes résultats scolaires. Je suis un bon élève, oh oui. Je n'ai pas d'amis. Je n'ai pas d'ennemis. Si je me sens seul, je traîne avec des gens qui fument et boivent, comme moi, qui n'en ont rien à faire de moi et sont toujours prêt pour faire des délires. Ou alors, je sors avec une fille, ce qui est plus rare. Je ne prend pas les canons de beauté ; ces pouffiasses qui se croient au top. Je prend des filles calmes, cool et réservées, qui ne se prennent pas au sérieux, avec qui je peux parler. Il m'a toujours été aisé de cerner les gens afin de bien définir leurs caractères. Je passe pas mal de temps avec elle, quand je ne fume pas ou ne boit pas, et je parle, un peu de moi, quand on est pas en train de faire des galipettes sous sa couette. Je n'aime pas que les gens viennent chez moi. Parce que ce n'est que ma maison provisoire, et que je ne pourrirais pas là-dedans.
Je suis allé chez mon dealer ; je n'aime pas parler avec cet espèce de connard, il l'a bien compris. Je suis rentré à la maison, dans ma chambre, et j'ai de nouveau fumé. Je préfère fumer qu'inhaler ou me piquer. Bref, je me suis mis à bosser, tirant des bouffées régulières, jusqu'à ce que ma mère frappe à ma porte et rentre. J'ai jeté le mégot sans qu'elle le voit ; n'ayant guère l'envie qu'elle me fasse son cinéma. Les mains tremblantes, elle a apporté une lettre, j'ai remarqué qu'elle pleurait déjà. J'ai soupiré, j'ai vu qu'elle l'avait déjà ouverte ; comme d'habitude. J'ai dis merci, et j'ai attendu qu'elle parte. Elle a hésité, puis a compris. J'ai allumé un nouveau joint, et j'ai lu. La lettre m'a tiré un sourire amer. J'étais accepté à Yale.»

bizutage des bleus

confrérie souhaité : Kappa Tau Gamma
motivation pour la confrérie : Je crois, que, de toutes façons, même si j'avais pas eu envie d'avoir une confrérie, ils seraient venus me chercher. Paraît que je fais des trucs de ouf, ouais, bah je sais pas, non, pour moi c'est normal. C'est peut-être pour ça que je me sens enfin chez moi là-bas, comme si j'avais trouvé ma place, comme si enfin j'avais trouvé une famille qui me convienne. il faut l'avouer, ils sont tous fous dans cette confrérie, on a souvent des défis assez chauds à relever, mais franchement, c'est cool ; j'arrive même parfois à rire. Je pense qu'on est plus liés qu'on n'en a l'air et que ça risque pas de changer. C'est pour ça qu'on rivalise tout le temps avec l'autre confrérie de fils à papa ; parce qu'ils foutent rien et qu'ils sont là. moi, j'ai du bosser pour rentrer à Yale, quand même, c'est pas rien, et aujourd'hui je suis toujours à fond, et c'est pas prêt de changer, parce que je réussi à combiner délires & cours. Et ça, c'est ce qu'il y a de plus cool, dans cette confrérie.

petites questions entre amis

ton meilleur ami te fais des avances, tu fais quoi ? : Je fais comme s'il se mettait à délirer, et j'entre dans le "jeu" en éxagérant les mimques plus ridicules les unes que les autres.
embrasserais-tu la personne à côté de toi ? : tout dépend de qui elle est, mais en général, non.
déambuler nu(e) dans yale, ça te fait peur ? : un peu, quand même, j'suis pudique des pieds.
plutôt Vodka ou Redbull ? : Vodka
genre, t'as combien de contacts facebook ? : environ une centaine, mais je n'en connais que deux ou trois X)
tu peux nous dire quelques chose en italien ou en espagnol ? : Bonjourno, Buenos Dias (:
chante une chanson française, si t'en connais une... : je crois qu'il est préférable pour vos oreilles de ne pas m'entendre chnter, peu importe la langue
ton gros mot préféré ? : J'en ai pas. C'est varié, je dis tout le temps des gros mots.
tu es du genre à coucher au premier soir ? : oui, bien sûr, surtout en oubliant les prochains rendez vous.
cap ou pas cap de draguer le prof d'économie ? : cap de tout, j'ai plus rien à perdre.
t'as envie de moi maintenant là, tout de suite ? : ça dépend de comment t'es, mais oui.
je t'emmerde, tu me réponds quoi ?: il vaut mieux laisser parler ceux qui se croient importants
le mot de la fin ? : ça craint X)

la réalité vraie

ton prénom, ou pseudo ou les deux : Maude, mischievous wink =)
ton âge ou l'âge que t'as pas (a) : 14 ans =)
note ce desing sur, 10, 100 ou 1000 : 20/10
avatar : Dimitri Vankerkoven
pourquoi ce forum & pas un autre ? : parce que je suis déjà sur pas mal de vos forums et qu'ils déchirent.
question stupide; starsky ou hutch ? : elle est au nord, les coco pop's c'est nul, on veut des chocogrenouille!
le mot de la fin ? J'ai succombé, faible que je suis

TON VAVA
Bienvenue