Wyatt s'était l'homme d'un autre temps et fière de l'être; Parce ouai il y avait wyatt l'homme à femme, le mec accro à sa cigarettes et l'alcool. Mais après ça, il lui arrivait souvent de se relaxer avec sa gueule de bois sur une vieille chanson comme sgt peppers lonely heart club band ou encore here comes the sun. parce que son idole avait toujours été bob dylan. Cette partie de lui, Mickee ne l'avait jamais comprit, parce ensemble ils avaient quelque chose de spéciale mais elle ne se basait pas sûr ça, non. Si dernièrement mr juergens s'était intéressé à la sœur de celle-ci s'était parce qu'avec elle il sentait une différente connexion, comme une certaine compassion entre âme d'artistes. Bref, sa remarque il l'avait prise en pleine gueule, mais après tout, Mikaella avait ce don de casser les gens n'importe ou, n'importe quand et n'importe qui. Maintenant il comprenait bien ce que l'expression " l'amour rend aveugle", pendant longtemps il ne comprenait pas à la réaction des gens quand il était en compagnie de mikaella, maintenant que "le rêve s'était briser" il voyait enfin qui se cachait sous ce petit sourire d'ange blond.

Sa remarque suivante était encore plus vrai, ouai s'était un homme à femme tout le monde le savait. Mais ce qu'elle semblait ne pas comprendre, c'est que oui il était un peu une bête de sex. mais Wyatt était aussi le genre de mec à trop se soucier des autres, surtout des filles. nelwynn, il se rappelait alors avoir passée la nuit avec elle, il ne s'était rien passé mais toute la nuit il l'avait écouter toute la nuit parler de sa vie pathétique, et de sa rupture minable avec un mec sans intérêt, rie ne s'était passer entre eux. Si Wyatt avait trompé Micky s'était parce qu'il était complètement bourré, et une goutte d'alcool lui suffit pour complètement se laisser aller. si Wyatt avait sauté toute les filles des sororités ( une majeur partie en tout cas), s'était seulement car il était ivre de haine et de tristesse d'avoir perdu mikaella. mais aujourd'hui il était trop tard pour lui dire, il n'avait plus aucune excuses, aucun compte à lui rendre. Tu sais micky, des fois je me demandes vraiment comme j'ai fait pour rester aussi longtemps avec toi. Depuis le début t'essaye de te glisser au rang des garces "fille à papa" pour prouver que t'es pas juste une pauvre fille de brooklyn. Quelque part sa remarque était plus blessante, plus personnelle que les autres, mais il le pensait vraiment. parce qu'il connaissait mikaella mieux que ça, quand ils étaient seuls, elle se montrait adorable et même un peu naïve des fois, le genre de fille attachante qu'on ne pouvait pas résister.

Aujourd'hui, il doutait de ce qu'il ressentait pour la jeune fille. Quelque part il la voulait, il voulait qu'elle revienne vers lui, mais aussi il se demandait si ce n'était pas mieux comme ça. Wyatt venait d'assister à ce que désormais leur relation était résumé à, et franchement, il ne voulait pas de ça. Pendant quelques secondes il avait essayé de l'énerver, mais ça ne semblait pas l'atteindre plus que ça, donc à quoi bon. Wyatt la regarda d'un air déçu, et finalement se mit à reculer lentement, pour finalement lui lacher. j'croyais vraiment que t'étais différente de toutes ces garces , mais bon ... tu l'es pas donc salut. Comme tu l'as dit j'ai qu'a voir ailleurs, vu que c'est ce que tu souhaite tellement. Il se trouvait sur le trottoir, regardant une dernière fois la jolie blonde figée sur place. Elle allait lui manquer, beaucoup.

Sa voix était à peine audible, Mikaella Wilcox, presidente des zeta beta zeta, connue pour ne pas se laisser marcher sur les pieds et étant une des personnes les plus respectable de tout le campus. Mikaella Wilcox s'était métamorphosée là devant lui en une petite créature fébrile essayant tant bien que mal de se montrer encore forte et sous contrôle, mais elle ne l'était pas. les bras croisés sur sa poitrine, son premier réflexe après l'insulter. Mais Wyatt n'en fut pas si surpris, parce que lui avait grandi dans le luxe, malgré l'absence de ses parents il avait vécu une vie heureuse au bord de la mère avec blanche. Mickee n'avait pas eut ça, il détestait la voir dans cette état et pourtant ne regrettait pas pour autant ses paroles. Elle l'avait cherché, elle l'avait mérité. Parce que mikaella ne se rendait pas compte qu'elle avait tendance à oublier qui elle était vraiment. Parce qu'elle avait tendance à oublier qui avait été Wyatt dans sa vie. Parce qu'elle avait tendance à oublier de mettre sa fierté de côté. pendant quelque secondes, peut-être une bonne minutes ils se fixèrent, Wyatt le voyait dans les yeux de la jeune fille qu'elle n'avait plus rien à dire parce que en quelques mots le jeune juergens avait tout dit. Il avait dit ce qu'il fallait pour mettre un terme à leur conversation, c'est pourquoi elle lâcha un salut, d'une voix brisée. C'était l'heure de se quitter, et pourtant il n'arrivait pas à détacher son regard de la blonde, clouer au sol, il la regarda partir lentement. Trainant des pieds, la tête basse, à ce moment précis Mikaella Wilcox avait perdue tout brin de fierté. Quand soudain elle s'arrêta, Wyatt reprit ses esprits relevant les yeux vers elle, quelque chose changea. Comme si elle avait finalement décidé de ne pas se laisser faire, mais elle n'a pas réagit comme mickee la garce, mais tout simplement comme mikaella, mikaella wilcox.

Il ne la connaissait pas? Mais bien au contraire, parce qu'il était le seul à pouvoir la briser ainsi, parce qu'il était le seul à assez bien la connaitre pour la mettre dans tout ses états. non, il la connaissait mieux que quiconque. D'accord Deyvon était aussi une experte dans le sujet mais elle savait des choses qu'il ignorait et vice versa, disons qu'il n'entretenait pas le même genre de relation. Elle haussa les épaules le regardant toujours avec cet air de chien battue mais en moins brisée. Le jeune homme soupira, leur relation était vraiment compliquée. Putain mickee, c'est au moment ou je crois t'avoir enfin oublié que tu redeviens la fille dont ch'uis tombé amoureux. il l'avait dit, voilà, il l'avait dit. Wyatt juergens et Mikaella Wilcox étaient deux personnes dotés d'une fierté inestimable, entre eux deux il n'y avait jamais été discutions d'amour ou quoi que se soit comme le futur, eux. Non s'était juste wyatt et mickee, mais voilà qu'il lui avait dit. Enfin, aujourd'hui était un peu trop tard, Wyatt n'était plus son copain et la jeune fille était sur le point de conclure avec Declan. Il n'espérait rien en retour, en fait il n'espérait même pas qu'elle lui réponde, parce que s'était le passé et qu'aujourd'hui. Doucement mais surement, il s'approcha d'elle, étrangement elle ne réagit pas, il s'était retrouvé une nouvelle fois en fasse d'elle. Entremêlant ses doigts dans les siens, Wyatt prit une profonde respiration, le sourire aux lèvres, les yeux plongés dans les siens. Tu vas me manquer Mikaella Wilcox. Wyatt n'arrivait pas à se résoudre de la quitter, d'esquiver son regard juste une seconde, autour d'eux les regards étaient braqués, et pourtant il n'en ressentait pas le moindre gênes. Que jm aille se faire foutre.

Okay, il fallait admettre une chose, il y avait bel et bien deux Mikaella Wilcox. Il y avait celle que tout le monde voyait. La fille populaire, garce sur les bords, et à la tête d'une des meilleures sororité du campus si ça n'était la meilleure. Cette fille avait un passé de mannequin, et quand la plupart des gens la regardait, ils voyaient la fille, la mannequin, sans cesse impeccable sur elle, parfaitement mince, élégante, avec une démarche parfaitement cadencée. Puis il y avait l'autre. Mikaella, la fille qui avait débarquée de Brooklyn dans un monde plein de paillette. La fille qui avait eut l'envie de s'en sortir par elle même, sans jamais demander de l'aide à qui que ce soit. Elle refusait d'être faible. Elle pouvairt rivalisé avec celles qu'elles avaient toujours enviées. Les filles de Brooklyn savaient sortir de leur quartier ne serai ce que pour ce rendre à manhattan, pour se promener, à central park, et là, elle avait posée son regard de petite fille, ou de jeune fille c'était posée ébahie sur ces gosses de riches, nées avec une cuillère en argent dans la bouche, un majordome, et un chien habillé comme sa maitresse. Elle avait envié ça, de longues année. Ce côté là, le côté battante refusant de se rabaisser à faire quoi que ce soit, elle ne le montrait pas, c'était une faiblesse, jamais elle ne montrerai ces faiblesses, jamais, il n'y a rien de pire pour vous détruire en profondeur, afin qu'il ne reste plus rien de vous à ramasser, pas même de petites miettes. Là, elle avait capitulé au début, baissant la voix, les yeux. Elle avait réalisé une chose, elle se battait pour une place dans ce monde qui ne lui était pas destinée à la base. Elle s'était redressée en se disant à elle même qu'elle était libre de faire ce qu'elle voulait. Live Free or die, rel est la devise de l'Amérique, elle était en Amérique, et fière d'être libre. Elle avait le droit à sa place. Elle était une self-made woman, la fille de Brookyln qui a à peine seize ans avait réussie à devenir indépendant de ses parents financièrement, et dont le compte en banque encore jeune était plus qu'alimenté par des salaires de mannequins.

Les mots c'était une chose. Elle croyait avoir entendue ce qu'elle avait à entendre ce jour là. Elle s'apprêtait à lui tournée le dos, ayant alors perdu un peu de sa fierté. Elle se ne se doutait pas qu'il répondrait quelques chose, car sa réponse à elle était tout de même signe de capitulation, de reddition. Mais au moment où elle allait la laissé, et se serait apprêter à lui dire un autre salut, aussi murmurer que le précédant, elle l'aurait laissé, avec u pincement au cœur qu'elle n'aurait su identifié, il lui parla. Elle écouta sa phrase. Était elle folle, ou bien entrain de délirer complètement, au point d'imaginer la phrase qu'il venait de dire ? Non, pincé la pour voir, elle était réveillée. Venait il réellement de parler d'amour ? C'était bien un sujet que Mikaella ne connaissait pas, qu'elle évitait à tout prix. L'amour c'est s'ouvrir à l'autre, c'est se rendre, c'est le connaître, et lui donner toute les clef pour vous détruire. L'amour c'est comme si tu disait, voici mon âme et mon cœur, tu peux les mettre en pièces si tu veux. Là, toute fille normalement constituée aurait sautée dans ses bras, non pas pour lui, mais pour Wyatt Juergens. Elle devait l'avouée, au début elle avait été avec lui, pour Wyatt Juergens, mais à la fin, elle ne savait plus trop. La suite, surpris une fois encore la blonde Mikaella. Décidément, rien, rien, rien ne ressemblait à ce quoi elle s'était attendue. Dans sa tête elle avait prévue une engueulade monumentale, puis plus jamais de mots, ni de contact physique. Là, c'était l'opposé. Face à elle. Il avait pris sa main, entremêlant ses doigts. Une ex normalement constituée aurait défait sa main de la sienne et lui aurait collé cette dernière sur sa joue droite sans sommations. Il souriait, Mikaella sourit brièvement, l'espace d'un instant, c'était étrange, comme si le passé était là. Elle écouta sa phrase, restant de nouveau muette. Ainsi, elle allait lui manquer ? Elle ne voulait pas le dire, mais lui aussi, il allait finir par lui manquer. Elle le regardait. Elle articula, alors : Tu va me manquer, Wyatt. elle tenait sa main, comme si elle ne voulait pas le lâcher. Elle voulait dire autre chose, mais non, rien ne sortait. Elle se contentait de faire une chose, juste une chose. Tenant sa main, si proche de lui, elle approcha sur visage du sien et posa ses lèvres sur les siennes, quelques secondes. Puis, elle lâcha sa main, et recula, avant de s'écrier (enfin de dire pour elle assez fort) Je... oh mon dieu, je suis désolé, je.. Oublie. La jeune fille, recula encore et s'apprêtait à tourner les talons. Ça c'était un scoop, ça allait lui tomber dessus, jm allait se régaler.


(sorry c'est nul *zbaf*)

Aujourd'hui, au moins une chose avait été mise au clair. mikaella était le premier amour de de Wyatt. pour la plupart ce genre de sentiment apparait vers l'adolescence quand le cœur s'emballe pour un rien, mais le jeune juergens n'avait pas connu ça, elle n'était pas sa première copine, mais étrangement es sentiments n'était pas les même quand il était en sa compagnie. pourtant, leur relation n'avait pas débuté sur de très bonnes bases. Souvent, dans les magazines people (pour ceux qui en lisent) on retrouve des couples bidons monté de toutes pièces par leur prod' histoire de faire un petit coup de pub. Et bien pour Wyatt et Mikaella s'était quasi-pareil. La présidente des zeta beta zeta avec un membre actif des omega chis delta, on ne pouvait trouvé mieux. tout les deux se retrouvaient à la une sur junk machine devenant les sujets principales de toutes les discutions gossip. On aurait put considéré ça comme un arrangement plus qu'autre chose, mais ils étaient plus que ça, et personne semblait vraiment sans rendre compte, même pas eux. il n'attendait pas une réponse particulière de celle-ci, ils n'était pas romeo et juliette, ni bella et edward, non, wyatt et mickee voilà ce qu'ils étaient. Il y a quelques minutes de cela, le jeune homme était enfin sûr de ses sentiments pour elle se résument à une haine, presque méprise à son regard, et pourtant le voici balançant ses mains dans les siennes, on aurait dit des enfants. Wyatt lui avait avoué ses sentiments, pour la première fois, et des fois ils e demandait si ils n'étaient pas toujours d'actualité. mais les choses étaient compliqués parce qu'il y avait deyvon, declan, nelwynn, ashton et tout le bazar, les choses étaient devenu si compliqué mais il fallait s'y attendre parce que avec Mikaella venait tout le package. Quand on est populaire, tout le monde s'en mêlent, en plus de ça il y avait les problèmes de confréries: maintenant que mikaella et wyatt avaient rompu les relations des deux maisons s'étaient aussi écartées, l'université en fait ce n'était pas que s'amuser au final. Il y avait beaucoup plus en jeu.

Mikaella aurai très bien put le repousser mais elle ne l’avait pas fait, au contraire, elle montra un petit signe d’affection, il allait aussi allait lui manquer, quelque part ça le rassurait, au moins il n’avait pas été à côté de la plaque durant toute leur relation. En fait loin de là, et en voici la preuve, doucement, mikaella se hissa à sa hauteur (bien qu’elle soi déjà très grande) et déposa ses lèvres sur les siennes, un baiser léger, tendre. Pendant ces quelques secondes, Wyatt ressentit à nouveaux ce gout de milkshake à la vanille qu’il avait temps aimé gouté auparavant. Est-ce que ça voulait dire quelque chose ? Il n’en avait absolument aucune idée, mais mikaella ne préféra pas savoir, elle s’excusa poussant sa voix à un volume sonore plutôt élevé. Wyatt soupira, la regardant d’un air perdu. Pendant ces quelques secondes elle lui avait tenue la main, al serrant plus fort que jamais, mais celle-ci la lâcha essayant de s’échapper. C’est à ce moment précis que Wyatt se rendit compte qu’il ne voulait pas la perdre. Avant qu’elle ne rejoigne la maison, il l’attrapa par la main, la ramenant vers lui. Ses lèves heurta les siennes, pendant un instant mickee voulut s’échapper de son emprise, mais il la serra plus fort, passant ses mains dans sa chevelure blonde, il l’embrassa avec une fougue inhabituelle, jamais il ne l’avait embrassé ainsi. Les regards braqués sur eux, il s’en fichait royalement, seul mikaella comptait. Ce moment dura une infinité de temps, jamais Wyatt n’avait sentit une telle passion. Mais il y avait une fin à tout, quand il la relâcha, ils leur fallut tout les deux quelques secondes pour comprendre ce qui venait d’arriver. Micky ….. je.. Il ne savait pas quoi lui dire, je suis désolé ? Non, parce qu’il ne l’était pas. Plonger dans ses yeux azures, Wyatt n’avait absolument aucune idée de sa réaction, à ce moment précis il doutait vraiment … devait-il l’oublier ?

C'est souvent étrange les relations humaines. Il est incroyable de voir à la vitesse de laquelle on passe de tu es un con à un baiser. Sincèrement, ne trouvez vous pas l'espèce humaines fascinante rien qu'avec ses rapports humains plus complexe les uns que les autres ? Moi, je les trouve fascinants. L'humain laisse vite de côté sa fierté lorsqu'il y a de l'amour dans l'air, ce n'est pas le cas quand il y a uniquement un jeu d'hormones. Mikaella, Wyatt. Une seconde avant, elle lui répondait avec froideur, et violence dans les propos. Sa mains dans la sienne, tout c'était évanouie. Mais elle avait réalisé, elle avait réalisé ce qui venait de se passer. Par mesure de défense, on préfère fuir. On préfère se refermer sur soit même. On dit parfois que la meilleure défense, c'est l'attaque, je ne crois pas, la meilleure défense, c'est la fuite. Elle préférait fuir à cet instant, juste après ce baiser, elle préférait fuir, plutôt que d'affronter son regard. Dans ces yeux, elle était Mikaella, juste Mikaella, c'était peut être ça qui avait un côté effrayant, être soit même avec quelqu'un, c'est baisser toute la dernière ligne de défense, entre le monde et son âme. Elle allait se diriger vers la maison des ZBZ, sous les regards des autres. S'apprêtant à repartir, elle fusilla du regard un groupe qui était sur le trottoir d'en face. Elle détestait tout ces voyeur, comme si la vie était un feuilleton à suivre. Fin de la discussion. Elle allait tourner les talons. Ils s'étaient tout dit. Elle l'avait peut être embrassé, oui, et alors. Il ne l'avait pas gardé dans ses bras, cela voulait tout dire. L'espace d'un instant, elle avait garder cet espoir pour elle, espérant, que cet espoir deviendrait autre chose. L'espoir, un bien pauvre chose, c'est comme ce foutu bonheur. Ça aurait du être la fin, la vraie fin. La fin, comme dans les films tristes, l'héroïne s'en va échangeant un dernier baiser, comme un baiser d'adieux. Elle ne voulait pas que cela se transforme en mélodrame, non. Mais, parfois, les choses ne vont pas toujours de la manière dont nous l'avions imaginé. Il lui pris la main. Ou plutôt il lui attrapa la main. Suffisamment pour qu'il puisse la tiré à lui. Miss j'ai les muscles des bras en compote(enfin façon de parler), n'avait pas eut le force(ni l'envie) de résister au fait qu'il l'attire de nouveau vers lui, ou plutôt contre lui.Là, elle tenta de résister, parce que... pourquoi, finalement, elle ne le savait, réflexe liée à l'instinct de préservation, sans doute. Mais, ne dit on pas que le meilleur moyen de résister, c'est dit céder disait Oscar Wilde. La chose fut simple, il répondit alors à son baiser. Elle l'avait embrassé des centaines, et même, des milliers de fois avant cela. Mais, depuis leur dernier baiser(sans compter celui d'avant), il avait de l'eau qui avait coulé sous les ponts, pas mal d'eau. Mais, si elle devait comparer ce baiser, il était inhabituel, bien plus intense, bien plus de fougue. Il passa sa main dans ses cheveux blancs. Au début, elle avait eut envie de le repousser, mais, à la fin, non.

Puis, la fin, la fin de ce baiser arriva alors. Les bonnes choses ont une fins. Mikaella avait elle vraiment pensé cela ? Avait elle pensé que c'était une bonne chose ? Oui, elle l'avait pensé, elle le pensait. L'espace de cet instant, elle c'était foutue du monde qui l'entourait. Elle s'en moquait royalement, qu'importe qu'il y ai en ce moment même des regards braqué sur eux. Il commença une phrase. Puis la laissa en suspension. Que pouvait il dire. Il aurait pu dire qu'il en était désolé, comme elle l'avait fait la seconde d'avant après l'avoir embrassé. Le désolé, formule de politesse sortie de façon purement automatique, encore un de ces putains de réflexe de son instinct de conservation, non pas l'espèce humaine, mais d'elle même. Elle lui sourit, elle regrettait son désolé. Et dit alors; En faite... j'étais pas désolée. elle esquissa un sourire, sincère. Peu de gens avait reçu un de ses sourires, peu de gens. Elle avait envie de dire quelques chose, mais non, rien ne sortait. Elle détourna le regard. Un bref instant, suffisamment longtemps pour jeter un regard autours d'elle. elle esquissa un sourire, sincère. Peu de gens avait reçu un de ses sourires, peu de gens. Elle avait envie de dire quelques chose, mais non, rien ne sortait. Elle détourna le regard. Un bref instant, suffisamment longtemps pour jeter un regard autours d'elle. Les gens regardaient, comme toujours. Elle haussa alors les épaules. Elle s'en moquait. Elle avait envie de dire quelques chose, mais rien ne sortait, plus essayait de dire quoi que ce soit plus ses mots se cachaient. Elle lui repris la main, elle lui adressa un sourire. Elle dit alors, Je... Enfin, tu sais qu'on à l'air con là. Tu voudrai, je sais pas, qu'on.. enfin elle rit nerveusement, elle avait l'impression d'être le jour où elle lui avait parlé la première fois, toute aussi maladroite. Tu evux qu'on aille boire un acfé, ou que je te fasse uncafé, dans la cuisine, enfin... histoire discuter... enfin elle rit de nouveau nerveusement. elle le regardait. Elle venait de réaliser une chose, lorsque l'on tient à quelqu'un, on réalise cela lorsque l'on est sur le point de le perdre. Elle était toujours près de lui. Elle avait plus envie de s'éloigner c'était un choix affreusement égoïste. A cet instant, elle avait de nouveau envie de l'embrasser, mais ça, ça elle préféra le garder pour elle.

(désolé c'est nul T-T)

Jeune, souvent on se demande comment embrasser sa copine. Et souvent, on nous répond que se sont les sentiments qui font un beau baiser, Wyatt na jamais crut cette phrase. Si on emballe bien, soit il faut encore un peu d'entrainement, mais les sentiments ou émotions n'avaient rien à voir là-dedans. pourtant ce qu'il venait de vivre, là, tout de suite était quelque chose de nouveau pour lui. Aussi intense qu'un premier baiser, au fond s'était un peu ça, au fond s'était un peu près ça. Wyatt avait déjà embrassé Mikaella , il l'avait déjà touchée, mais pas dans le même sens: lorsqu'il l'a embrasser, Wyatt ne pensait pas que ainsi ils auraient de bonnes chances de participer au prochain mixer. Non là, il se disait juste qu'a la minute ou il la lâcherait, il la perdrais. Et pourtant, un petit sourire apparut sur les lèvres, le jeune homme eut un bref instant de fascination. jamais il ne l'avait vu avec ce genre de sourire, celui qui est naturel, simple, instinctif, celui qu'on ne maitrise pas. Ses mots lui fit plaisir, plus que jamais, dire désolé à quelqu'un c'est regretter ses actes, il se serait sentit bien idiot après l'avoir embrassé comme ça si elle était toujours désolé" pour ce petit baiser léger de tout à l'heure. Pendant quelque secondes il restèrent sur place, face à face. Wyatt avait essayer de trouver quelque chose à dire, mais sans succès. Soudain, elle passa doucement sa main dans la sienne, cette main il ne voulait pas la lâcher, parce que c'est vrai, on ne se rend seulement compte des gens qu'on aime quand on s'apprête à les perdre. Elle était devenue quelques choses de précieux pendant ces quelques minutes, il ne voulait pas qu'elle sans aille, en tout cas pas sans lui. Elle était adorable quand elle était ainsi, nerveuse, sans un brin de confiance en elle. On aurait dit qu'il se parlait pour la première fois, sa proposition était plutôt intéressante, même beaucoup. Son petit rire cristallin résonna de nouveau, il jeta un bref coup d l'œil autour de lui, c'est vrai qu'ils avait l'air con, devant la maison zbz à s'engueuler, puis s'embrasser. Il lui répondit par un sourire presque timide. Un café serait géniale.

ils se dirigèrent cote à côte vers la sororité, mais à mi-chemin, il prit la main de Mikaella pour l'enfermer dans la sienne. C'était étrange, ils n'avaient que partagés deux baisers en une seule journée, est-ce que ça voulait dire quelque chose? Il se demandait sincèrement avec toutes les complications si ce n'était pas mieux qu'ils soient séparés, Wyatt avait l'impression d'être un égoïste quand il se disait ne vouloir pas lâcher cette main qu'il tenait, il lui arrivait de temps à autre de vouloir juste partir au loin laissant tout derrière lui pour juste vivre, un peu comme christropher mccandless, mais peut-être sans la fin tragique. Quand ils pénétrèrent dans la maison, un groupe de filles s'attarda de se poser sur le canapé avec un regard on ne peut plus suspicieux. Mikaella les fusilla du regard avant que celle-ci ne gloussent de rire. Ils s'installèrent dans la cuisine, la cuisine était bien entretenue, en même temps, il était bien chez les zeta beta zeta? les filles montrant élégance, bonnes manières et de la gentillesse. Au fond, leurs deux fraternités n'avaient rien en commun, les Omega était surtout des fils à papa, avec un physique plutôt avantageux. Rien de vraiment prestigieux, qu'est ce qu'il aurait préféré être ΒΛΥ, mais le statut passait avant tout. Elle sortit de tasse et alluma la machine "nespresso" (what else?), s'était étrange de se retrouver dans cette pièce avec elle. Pas que ça ne l'enchantait pas, mais jamais il n'aurait crut prendre un café avec elle, dans sa cuisine, en tout pas comme ça. Wyatt s'approcha de Mikaella, il se trouvait côte à côte, le peu d'espace qu'il y avait entre eux créait une tension mettant le jeune homme plus à mal à l'aise que jamais. Alors, quoi de neuf depuis .... Il avait encore du mal à dire le mot rupture, parce qu'elle semblait si irréel, et maintenant, comment pouvait-il considérer leur relation? L'attraction qu'avait Mikaella sur Wyatt, tout de suite, était incalculable, il aurait voulut l'embrasser encore et encore, mais peut-être ça faisait un peu. Tu sais ... pour tout à l'heure .. enfin je t'ai embrasser .. et .. C'était à mourir de rire de voir Wyatt aussi nerveux et embarrassé. Passant sa main dans ses cheveux auburn désordonné, Wyatt n'arrivait pas à enchainer une phrase sans balbutier, ou bégayer. Le jeune juergens soupira. Putain, pourquoi ça doit être aussi compliqué ... ce qui c'est passé, qu'est -ce que ça veut dire? d'accord, il y était aller un peu cash, mais il n'arrivait plus à supporter cette ambiance silencieuse et tendue. Mickee ... C'est juste qu'avec declan, nelwynn, ashton et tout le reste ... Qu'est-ce qu'on va faire? Mikaella releva la tête se plongeant dans les iris topaze de Wyatt, la regardant avec supplice.

Il accepta son offre de café. C'était une proposition un peu débile, certes. Mais le café, c'était carburant de la jeune fille. Elle était capable de boire des dizaine de café, c'était ce qui lui permettait de fonctionner une journée entière, certain c'est le jus d'orange, pour elle s'était un café, serré si possible, le vrai expresso italien, je dis bien expresso, le café où il y a au fond de la tasse à peine deux ou trois centimètre de café, un café serré, pas un cappuccino, elle n'aimait pas le cappuccino. Ainsi, acceptant son offre, lui et elle se dirigèrent vers la demeure des ZBZ. A mi chemin entre là où ils se trouvaient & la porte de la maison, Wyatt, lui attrapa la main. Cette scène aurait pu prêtée à sourire, on aurait pu dire d'eux qu'ils étaient un peu des gamins, se déchirant et partant mains dans la main l'instant d'après. Ne cherchez pas, c'est bien trop compliqué pour votre cerveau. Ça c'était la scène, la scène qui allait faire parler d'eux, comme les baisers quelques instant auparavant. Quand on est en quelque sorte une star, il faut accepter que l'on parle de vous. Lorsque l'on parle de vous pour vous détruire, cela veut dire qu'au fond on vous aime bien, plus on parle de vous mieux. Mikaella, avec le temps, c'était dit que lorsque l'on ne parlerait plus d'elle, les choses commenceraient à devenir étrangement monotone. Mais la monotonie n'a t elle pas du bon ? Une vive monotone, est vie stable, une vie stable. Mikaella n'avait pas une vie vraiment stable, ses études allaient de bon train, elle était à la tête d'une sororité, mais veillait à garder sa place, guettant le moindre coup bas qui pourrait la lui reprendre. Côté cœur c'était instable, la monotonie avait peut être du bon quelques part. Mais la monotonie, c'est pour les vieux, d'après Mikaella.

Ils entrèrent enfin. Après quelques regards noir jeté à ses « sœurs », ils arrivèrent enfin dans la cuisine. Rangée, toujours bien rangée, c'était comme ça, chez les zbz, toujours rangé, ordre, calme et volupté. Voilà les trois mots d'ordre. Mais ne vous méprenez pas, ça c'est l'image. Lors du recrutement des nouvelles sœurs, lorsque ces dernières osaient des question à propos, de garçon, de sexe, d'alcool, ou de quoi que ce soit, il fallait être créative, suffisamment créative, suffisamment créative pour leur mentir, car comme le dit si bien Mikaella, elles avaient une réputation à tenir. Elle le laissa s'asseoir, et sorti du placard, deux tasses, deux capsule d'une célèbre marque de café, dont nous tairons le nous, hum. Quelques instant plus tard, après que l'eau de la machine est chauffée, elle posa un café en face de Wyatt, pour ce dernier. Elle s'assit à côté de lui, à distance raisonnable, histoire qu'il n'y ait nulle ambiguïté. Lui, réduisit la distance, bien qu'il en soit ainsi pensa t elle. Malgré tout, cette distance faible créait un peu de malaise chez la jeune femme. Elle avait posé son café devant elle. Elle le regarda quelques secondes avant de poser son regard sur Wyatt qui brisa alors le silence. La phrase qu'il venait de prononcer faillit faire rire la jeune femme, rire de... nervosité, oui la phrase était bidon, et... qui démontrait un certain malaise, bien sûre. Elle ne répondit pas à cela. Elle voyait Wyatt entrain de se débattre avec ses mots. Il bégayait, comme quoi, cela arrive aux meilleurs d'entre nous. Puis la phrase tant attendue vint. De but en blanc, sans chichis, sans rien. Cash, il l'avait dit cash, c'était sans doute mieux ainsi. Elle écouta la totalité, quand il évoqua successivement, Ashton et Nelwynn, elle était sincèrement jalouse, ça c'était inconcevable, et inavouable, elle jalouse, nan mais regarder la bien, c'est pas le genre de fille à être jalouse si ? Elle pensa à Delcan, okay, elle avait couché avec lui, après leur rupture. C'était... cela s'était fait comme ça, Mikaella n'avait rien prémédité. Elle avait plutôt vu ça comme... un moyen de remonter la pente, mais n'arrivait à dire si il y avait quelque chose entre elle et lui, elle en doutait. Elle dit alors : Euh. Tout à l'heure, je sais, je sais pas trop ce que ça veut dire, j'en sais rien, ça s'est fait... je saurais pas dire. Est ce que ça veut dire que nous deux ça n'est pas fini, ou j'en sais rien. elle marqua une pause, oui, elle n'en savait rien. Je sais pas ce qu'on va faire... Avec eux... je, j'en sais rien, est ce que c'était... passager, j'en sais rien. dit elle avant de porter sa tasse de café à ses lèvres.

(désolé c'est nul, mais c'est mon inspi avant d'aller en cours T-T)

Le café, mikaella et le café. C'est comme starsky et hutch, inséparable. A huit ans, elle buvait déjà du café, elle n'a jamais vraiment aimé le lait, ni même les céréales. Elle a toujours préféré le café, étrange mais c'est comme ça. Le café, aussi débile que cela puisse paraître était un de nombreux points commun qu'elle avait avec Wyatt, une chose qui peut sembler accessoire, mais voir que quelqu'un partage une pareille addiction à la caféine tendait à la faire croire qu'elle n'était pas si anormale. Mikaella et Wyatt n'étaient pas anormaux, juste populaire. C'était le seul hic, et la popularité à ses avantages, tout comme elle possède ses inconvénients. Ils avaient été ensemble, si elle devait le dire sincèrement, elle avait voulue sortir avec lui car il était populaire, et assez sympa. Le début c'était purement et simplement un couple d'intérêt, elle y avait trouver son compte, elle y avait gagné en notoriété, bien qu'avec le fait qu'elle ait été mannequin, elle en avait déjà une confortable. Si elle devait avouer une chose, c'était que si elle n'était pas sortie avec lui, le poste de présidente des ZBZ aurait été difficile à obtenir, quoi que, il ne faut jamais spéculer sur ce que l'on ignore. Le silence s'installa alors. C'était étrange, bien plus étrange que Mikaella aurait pu le penser. Du silence entre eux ? C'était incroyable, et elle la bouche fermé ? Encore plus incroyable, sans l'ombre d'un doute. Elle ne disait rien, absolument rien, que pouvait elle dire. Elle qui d'habitude était intarissable, elle qui d'habitude débitait un flots de paroles et de ragots, là, le son était coupé, coupé de chez coupé. Mikaella ne s'était jamais sentie mal à l'aise avec des ex, et elle c'était dit que cela ne lui arriverai jamais, et bien, tu t'es trompée jeune fille, te voilà muette face à l'un de tes ex, comme quoi, le mutisme arrive aux meilleurs d'entre nous. Oui, aux meilleurs. Elle cherchait des mots, n'importe qu'elle mot. Elle songea même à lui offrir une autre tasse de café, mais il ne l'avait pas encore fini. Elle aurait demander n'importe quoi pour trouver quelque chose, n'importe à dire. Elle aurait même donner son sac préféré pour trouver quelque chose à dire(or, je dois spécifier que les sac son sa passion. Huh.)

Enfin, enfin, enfin, il brisa le silence. Qu'importe les mots, il avait enfin dit quelque chose, enfin, rien que le son de sa voix soulagea la jeune femme qui avait tout simplement horreur du silence. Le contenu de la phrase était une question. Elle gardait sa tasse dans ses mains. Cette dernier lui réchauffait les mains, elle avait toujours fait comme ça. Elle regardait sa tasse de café puis posa enfin son regard sur Wyatt. Elle aurait eut pitié de lui ? Même pas en rêve, Mikaella n'avait de pitié pour personne, pour personne, elle détestait la pitié. Elle se demandait comment il pouvait lui demander une chose pareil, il le savait, elle n'avait aucune pitié, aucune. Elle se contenta de soupirer. Elle ne répondit même pas, elle le regarda juste, il le savait, elle n'avait aucune pitié, cette question donnait l'impression d'être purement et simplement rhétorique, la question n'appelait pas de réponse. Pas de réponse, puisque lui il la connaissait. Elle se contenta ensuite de porter à nouveau la tasse à ses lèvres, le café était chaud, mais pas brulant, non. Puis, Wyatt fini sa tasse, elle savait, elle connaissait son addiction à la caféine et s'apprêtait à se lever pour remplir les deux tasses. La suite, Wyatt dit quelques chose, elle fut presque déçu, elle pensa qu'il ne voulait plus de café. Elle allait poser les deux tasses, d'ailleurs et les posa. À peine il eut fini de prononcer sa phrase, son attend, qu'il l'attira vers elle. Sans résistance, elle se laissa faire. Pourquoi résister, hein ? Il la pris par le menton, et l'embrassa. Leur lèvres entrelacée, elle pouvait encore sentir le goût délicieux du café sur ses lèvres. Baiser sur baiser. C'était comme ça, cela pouvait faire trop aux yeux de certains, aux yeux de beaucoup même, donnant une allure de petit lycéen se roulant des pelles jusqu'à plus avoir de salive, enfin, vous voyez ce que je veux dire.

Tout avait une fin, même ce baiser. Elle le regarda. Elle devait bien avouer une chose, les baisers de Wyatt lui avait manqué, la présence de Wyatt lui avait manqué, même son sourire, même ses yeux, en faite, Wyatt lui avait manqué. Tout avait une fin, même ce baiser. Elle le regarda. Elle devait bien avouer une chose, les baisers de Wyatt lui avait manqué, la présence de Wyatt lui avait manqué, même son sourire, même ses yeux, en faite, Wyatt lui avait manqué. Puis, il la regarda aussi. Il lui posa une autre question, une toute autre question. Elle le regarda. Elle resta bouche bée. La première fois, il avait dit « la fille dont je suis tombé amoureux », dit comme ça, cela passe presque inaperçu pour être franc, les mots ne sont pas dit clairement. Les mots qu'attend une fille, ou les mots qu'elle redoute n'étaient pas là. Mais là. Là. Ils étaient là, « je t'aime ». trois mots, sept lettres. Des dizaines de filles partiraient en courant, d'autres lui riraient au nez. Tandis que d'autre se jetteraient à son cou. Il lui demanda pourquoi elle le ferait. Elle n'avait pas besoin de réfléchir, au début, elle l'aurait pour Wyatt Juergens, puis, maintenant, elle était capable de le refaire pour lui. Je ne le ferai pas pour ton nom, je ne le ferai pas pour Wyatt Juergens. mais je ferai juste pour toi. Juste pour toi, parce.... elle marqua une pause, une bref pause, elle cherchait ses mots. Elle savait ce qu'elle avait à dire. Elle pris sa respiration et dit alors : Parce que je t'aime idiot ! elle le regarda. C'était simple à dire, plus simple qu'elle ne l'aurait jamais cru. La voir, l'entendre prononcer ses mots était inédit, pour elle, et pour toute autre personne, mais c'était vrai, c'était vrai c'était sincère, personne ne lui avait manqué comme il lui avait manqué, on ne remarque que l'on tient à quelqu'un une fois qu'on est sur le point de le perdre, elle l'avait perdu quelques temps, et elle ne voulait plus le perdre, non. Elle aurait voulu attendre sa réaction, ses paroles, mais elle ne le fit pas. Elle approcha son visage du sien, et vint poser un baiser sur ses lèvres, un baiser, juste un baiser. Elle cessa se baiser pour plonger son regard dans le sien. Elle en avait oublié qu'ils étaient dans la cuisines des ZBZ, ce n'était pas le lieue idéale, mais existe t il un lieue idéal ?

On dit qu'une fois avoir fumé, on en peut plus s'en séparer, pour Wyatt s'était une fois l'avoir embrassé il ne pouvait plus s'en passer. L'embrasser, la touche, respirer son odeur toutes ses choses lui avaient terriblement manqué. Elle avait beau être infernale, il ne pouvait s'empêcher de l'aimer s'était comme ça. quand il l'embrassa, il se rendit compte que s'était peut-être bien la dernière fois qu'il est la chance de pouvoir la prendre dans ses bras, c'est étrange en une journée s'était la troisième fois qu'il s'embrassait. le gout du café s'imprégnait sur ses lèvres, dans ses oreilles bourdonnaient des "oh" et quelques gloussements de la part des sœurs de Mikaella. C'est vrai que dans une cuisine en train d'enchainer des baisers, en ajoutant un peu de "french kiss". Mais de toute façon, tout leur acte semblait mal placé, en tout cas, asse pour se retrouver sur junk-machine. Alors pourquoi se retenir? il avait franchi une certaine limite en faisant ça, sans vraiment avoir son accord. le silence commençais sérieusement à l'agavé, eux qui d'habitude restait au téléphone jusqu'à quatre heure du matin, eux qui se faisait virer du cinéma pour faire trop de bruit durant les films. Elle ne le repoussa pas, au contraire la réponse à sa question fut plutôt ... satisfaisante, non même plus irréel. Aujourd'hui, mikaella Wilcox, venait de lui dire qu'elle le ferait juste pour lui, elle sortirait avec lui, juste pour Wyatt et pas Wyatt juergens. I avait envi de sourire en la voyant embrassé, mais méchamment comme si il se moquait mais d'une manière apaisante, mikaella était revenue. mais une chose le surpris bien plus, le fait qu'elle se jette à l'eau, en prononçant les trois mots suivit d'une insulte qui n'avait aucune intention méchante. Il s'apprêtait à la prendre dans ses bras, mais elle le fit çà sa place, posant ses lèvres sur les siennes, le baiser ne dura que quelques secondes, puis Wyatt, dans le silence, plongea ses yeux dans les siens.

Elle avait des beaux yeux, dans le genre bleu azur, on ne pouvait pas trouver mieux. Qu'est ce qu'il aurait aimé avoir les même. Non, à la place il avait les iris topazes, dans le genre vide et commun. mais de toute façon l'humain n'est jamais content, bien sûr, il aurait préférer être métisse aux pupilles clair, peut-être moins grand, enfin bref, on n'est jamais fait comme on le voudrait. Pendant longtemps il restèrent immobile comme ça. Wyatt avait encore du mal à se faire à l'idée qu'elle l'aimait, elle l'avait avouer, à lui Wyatt juergens, pas declan, elle n'était pas retourné vers lui. C'était étrange, mais pendant longtemps, ça avait été sa crainte, que Mikaella retourne vers celui qui l'avait satisfait pendant ces quelques années, il était aussi important que Wyatt et aussi bien foutu.Mais bizarrement, aujourd'hui, s'était lui qu'elle avait choisi. Sur son visage apparut un sourire, bon ce n'était pas trop quelque chose d'exceptionnel chez wyatt vu qu'il était d'un naturel joyeux, mais ce sourire était différent, le genre d'expression béate, il la tenait par les hanches, d'une façon tendre, mais en même temps ferme (il n'avait pas l'intention de la lacher). Alors ça veut dire que tu voudras bien de moi pour t'accompagner à la soirée BLACK&WHITE ? Il connaissait assez bien Mikaella pour savoir qu'elle mourrait d'envie d'y participer. parce que mickee aimait être la plus jolie, la plus vue, la plus tout quoi. mais à vrai dire, Wyatt aussi, ils s'étaient tellement habitué à être regardé de partout que sans ça il se sentait des fois un peu perdu. mais ce qui comptait, c'est qu'il y aille avec mikaella. Des fois, il lui arrivait de se demander, est-ce qu'il était possible dans ce bas-monde que dans la vie, il n'y aurait qu'une personne a qui on serait destinée, enfin après cette personne, il n'y aurait plus rien, nada. Et si la zeta beta zeta était cette fille, car pour l'instant elle était bien la seule qu'il avait aimé. En la regardant, une fougue l'envahissait lui donnant envi de la couvrir de baisers, lui faire l'amour, et ce jusqu'à jamais. Il finit par lui sortir après un petit soupir de soulagement. mikaella Wilcox, je t'aime, et je ne veux que toi. Et ce putain de Declan pourra faire ce qu'il veut, ça m'empechera pas de t'aimer.

A un moment, il était question de choix. La vie entière était faite de choix, de nombreux choix. Le plus anodins était de mettre telle ou telle paire de chaussette. Le choix d'un paire de chaussette était insignifiant, complètement insignifiant. Il existait des choix moins anodins, comme choisir quel vêtement mettre. L'apparence est le reflet de ce qu'est la personne, c'est pourquoi c'était un choix. Il existe d'autre choix, plus dur, plus décisif. Le choix de son avenir était par exemple quelques chose de très important. Mikaella avait commencé par choisir une voie, le mannequinat. Elle était fière d'elle, elle y avait trouvé sa voie, oui, elle y avait trouvé sa voie. Oh, mode, ton univers impitoyable, elle avait des nerfs et un moral d'acier, le monde si impitoyable de la mode ne l'avait pas découragé, jamais. Elle avait décidé de commencé des études, des études, oui, elle cataloguée comme la fille que l'on aime et qu'on admire pour son physique, pour son corps. Mikaella avait décidé de commencer des études, mais pas en dépit de sa carrière. Elle avait entamé des études de journalisme et d'histoire, c'était quelque chose qui lui plaisait vraiment, oui, elle adorait cela. Elle voulait être reconnue pour autre chose que son physique, être journaliste était une opportunité. Une véritable opportunité. Elle n'avait jamais renier le mannequinat, de temps en temps, elle s'absentait deux jours pour se rendre à New York, posé pour quelques photographe. Elle aimait ça, elle aimait tellement ça, le feu des projecteurs. Oui, choisir sa voie était quelques chose de décisif. Il existe aussi des choix à faire d'autre choix, très très dur à prendre. Choisir entre deux personne, qui plus est deux hommes à qui l'on tient est une chose difficile. A première vue, elle avait choisit, oui, elle avait bel et bien choisit, elle avait choisit Wyatt. Apparemment c'était ce qu'elle avait fait. Le choix paraît évident une fois qu'il est fait. Elle l'aimait, n'était ce pas suffisent ? Non ? Elle était retournée vers lui, oui, oui, oui de toute évidence. Elle était elle même surprise, surprise d'être retournée vers lui, elle s'était toujours dit que jamais, jamais, jamais, jamais, elle ne se retournerai vers un de ses ex. elle avait tout faux. Un moment, elle s'était retourné vers Declan, et là, elle venait de se retourner vers Wyatt. Qu'est ce qui lui arrivait ? Elle venait de choisir, de choisir entre les deux.

Il la tenait fermement par les hanches, comme si il ne voulait pas la laisser partir. Il lui demanda cela voulait dire qu'elle l'accompagnerai à la soirée Black&White. Elle était la première à y aller. Elle était la première à avoir été au courant de l'existence de cette soirée, tout simplement parce que l'idée émanait des ZBZ, tout simplement, et pour être plus précis de leur chère présidente. Elle aimait ce poste pour le prestige d'être aimée(celui d'être détesté, et envié), mais aussi car elle devait quelqu'un d'important. Être présidente des ZBZ est consécration qui fait de vous une sorte d'impératrice sur le campus. Elle esquissa un sourire. Oui, elle esquissa un sourire, elle serait bien accompagnée. Elle avait pas vraiment eut le temps de penser au fait d'être accompagnée ou non, pour le moment la seule chose qui l'avait préoccupée était l'organisation de la soirée, oui, l'organisation, c'était un vrai vrai casse tête. Je crois bien, je veux bien de toi pour la soirée... Répondit elle alors. Sa voix était malicieuse, oui, c'était Mikaella, c'était ça, du sérieux, mais avant tout du charme, parce que pour elle séduire était essentiel. C'était comme ça, c'est tout. À cette soirée, tout devait être parfait. Si tout se passait à merveille, si la soirée était parfaite, tout irait bien pour elle, elle passerait la soirée à recevoir des compliments, tout en sachant que le moindre débordement, le moindre faux pas lui retomberait dessus. Elle savait, mais c'était le risque, le risque, ZBZ avait une réputation à tenir, elle n'avait pas vraiment le droit à l'erreur. Elle croisa son regard, et se mordit la lèvre. Dieu qu'il était beau. Elle avait bien de la chance, oui, elle avait de la chance. Quand elle le voyait, elle ne pouvait s'empêcher de se souvenir que d'autre filles aussi l'avaient trouvé beau, que d'autre filles avaient couché avec lui, c'était comme ça. On se dit souvent que le passé est derrière nous, elle avait fit que ça serait comme si rien ne s'était jamais passé. Mais c'est dur, mine de rien, de refaire confiance à quelqu'un. Elle chassa cette idée de son esprit, puis, il parla de nouveau. Il lui dit qu'il l'aimait encore une fois. La première fois, ça avait été complètement magique, là c'était surréaliste, elle était un peu désarçonné, il fallait le dire, mais elle ne laissa rien transparaitre, la suite de la phrase de Wyatt continua de mettre mal à l'aise la jeune femme. Il mentionna « ce putain de declan », quelques part cette dénomination la rendait folle. Il remettait ça sur le tapis, encore une fois. Elle se mordit de nouveau la lèvre, ce putain de Declan, c'était comme si elle disait cette garce d'ashton, ou cette putain de nelwynn. Au fond, elle le pensait, mais de là à le dire. Mesurer, mais de la mesure à la franchise, il n'y a qu'un pas. Moi aussi, je t'aime répondit elle alors, sans s'étendre sur la remarque concernant Declan, elle aimait Wyatt oui. elle ne répondit rien sur Declan, cela gâcherait ce moment, cela gâcherait leur réconcilliation, car c'était le sujet explosif, celui qui pourrait tout gâcher. après soit on est conscient du danger d'aborder le sujet, ou pas. c'était à Wyatt d'être conscient du risque, ou pas.

Dans la vie, on est tous une étiquette coller au front, et elle ne nous quittes jamais. Certains sont considéré comme avoir reçu un diplôme pour dragueur professionnelle, celui à qui il ne faut pas faire confiance (expert en coup-bas), Wyatt, lui, il était le soumit. le soumit à papa et maman et à une blonde des zeta beta zeta. Le faible de l'histoire, celui qui n'avait jamais réussi à vivre sans dépenser l'argent des juergens ou qui semblait tout céder à sa petite amie, d'accord elle lui était indéniablement attrayante mais ce n'était pas une raison très valable. Il lui arrivait d'avoir honte en se retraçant la vie de Mikaella, elle était partie de rien et aujourd'hui était au sommet, lui était parti de haut et limite descendait. Ses parents avaient toujours voulut le meilleur pour lui, qu'il deviennent un grand avocat renommé; qu'il est une famille et que à son tour il élève son enfant en un futur docteur ou quelque chose dans le genre. Mais on ne lui avait jamais demandé son avis. Petit, il avait été élevé par "sa bonne", il détestait ce terme qui pour lui, était synonyme d'esclave. Enfin bref, cette femme qui était payé pour s'en occuper l'aimait, l'aimait au point de lui acheter sa première guitare. Un geste qu'il n'oublia jamais, parce que pour la première il avait reçu un cadeau et la personne lui ayant offert n'espérait rien en retour. Pendant très longtemps (et même encore aujourd'hui) il chérissa cette guitare, plus que n'importe quoi, il ne s'en séparait plus. Il était du genre à apprendre plutôt rapidement, et très vite il comprit le fonctionnement de ses notes, et comment en assimiler pour en former ainsi des mélodies. La musique avait été sa première passion et son père n'avait jamais sembler vraiment l'apprécier mais il s'en fichait, pendant très longtemps il aurait voulut devenir dans le genre rockeur qui fume, boit et couche avec ses fans, mais très vite ce rêve tomba à l'eau. c'est étrange mais c'est autour de sa rencontre avec Mikaellla qui prit un gout à la photographie, plusieurs fois il l'avait accompagné à des shoots, et bizarrement ce petit appareil (en fait il était plutôt gros) l'avait vraiment fasciné. Des fois, il lui arrivait de vouloir tout coupé de ce qu'il avait ses parents, plus d'argent , plus d'obligation, plus rien! Mais ce n'était pas si évident à faire.

Declan, un sujet assez délicat pour "le couple", Mikaella l'avait aimé, elle l'avait aimé autant qu'elle aimait aujourd'hui Wyatt, ni plus ni moins. Pour Wyatt, il avait été comme un frère, et aujourd'hui tout les deux l'avaient perdu, peut-être bien à jamais. Et puis peut-être bien que non parce que à la moindre petite dispute qu'ils avaient eut, elle retourna vers lui, et si cela se repassai? toutes ses question circulaient dans la tête de Wyatt: au final ils s'étaient remit ensemble mais sans vraiment rien mettre au clair, mais il avait peur qu'en ramenant ses vieux démons, ce beau moment serait gâché. La jeune fille pouvait faire de même avec ashton ou encore nelwynn, deux filles qui menaçaient on ne peut plus Mikaella. C'était ça d'être beau et populaire, envié par tous, les tentations étaient nombreuses et rester ensemble n'était pas toujours aussi simple. Elle lui répondit qu'elle l'aimait, un sourire s'esquissa sur son visage, Wyatt ses entait presque heureux, léger; comme si un poids énorme venait de se libérer, mais elle avait toujours eut cette effet d'apaisement sur lui. Il jeta un rapide coup d'œil à sa montre, il commençait à tarder, le rush allait bientôt commencer et les Omega s'étaient déjà mit au travail. Wyatt soupira: Je dois y'aller ... il la prit dans ses bras quelques secondes avant de l'embrasser sur le front et la regarder une dernière fois.