LORY ♥ respire encore, mon doux mensonge.

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profil de "Loreley Rose Andrews"

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LORY ♥ respire encore, mon doux mensonge. 2uf3h3n

Just give me a kiss before you tell me good bye...

information complémentaires sur l'utilisateur:

date de naissance : 1er avril 1989

lieu de naissance : Winchester

nationalité : Ma mère était polonaise, mon père lui est un pur anglais -vous voyez le genre, un parfait gentleman qui ne pourrait se passer de thé-

année scolaire à yale : seconde

moyenne scolaire, sur 100 : 78

matière(s) étudiée(s) : l'Art, babe.

confrérie fréquentée : Sigma Phi Epsilon

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protrait robot:

description physiques : Quand Loreley n'avait que huit ans, elle disait, la mine boudeuse, les poings serrés, une volonté de fer: « moi, plus tard, je serais grande! ». Mais voilà, Lory a à présent vingt ans et elle est toujours aussi petite, ce qu'elle déteste sûrement le plus chez elle. Pourtant, ce n'est qu'un détail, car il suffit de voir ses longs cheveux blonds -merveilleusement bien entretenus-, ses magnifiques yeux bleus ainsi que sa poitrine assez imposante pour lui coller l'étiquette de bimbo. Cependant, cette jolie demoiselle est loin d'en être une: elle a beau adorer s'amuser, aimer les relations d'une nuit, fumer et boire comme un pochard, elle garde un certain respect pour elle et un peu de pudeur. Cette demoiselle a toujours eu un charme fou et omniprésent, qu'elle soit habillé avec classe et élégance, ou bien qu'elle est un affreux pyjama à pois. Inévitablement, la demoiselle doit toujours sortir dans une tenue convenable et d'une harmonie extraordinaire: à vrai dire, si son père lui a bien appris quelque chose, c'est de rester toujours présentable même s'il s'agit d'une sortie consistant seulement à faire quelques courses. Loreley ne s'habille pas pour autant en Dior ou en Channel -préférant utiliser son argent de poche pour toutes sortes de drogue- et a ce don pour trouver toujours des vêtements qui lui vont à merveille. La blondinette possède de nombreux piercing aux oreilles, un au ventre et elle a également un tatouage à la cheville: et pour cause, durant une longue période de sa vie, elle s'est reconnue haut et fort comme une gothique. Elle ne regrette absolument pas ses choix, aimant particulièrement tous ses piercing et son merveilleusement tatouage, qui est un code barre -en référence à une de ses séries favorites qui est Dark Angel-.

description du caractère : 7 lignes minimum

question de sexualité : En fait, ce point là est plutôt clair pour la jeune demoiselle: elle est bisexuelle, mais pour elle, tout le monde l'est. C'est bien connu, on ne tombe pas amoureux du sexe de la personne, mais bien de la personne elle-même, que cela soit homme ou femme. De plus, la blondinette s'est promis qu'un jour dans sa vie, elle devait coucher avec une femme: après tout, il faut tout essayer, et puis elle ne veut pas mourir idiote!

biographie :

histoires générale : Avant de parler de moi, il faut que je vous parle de ma mère, Emeraude. En réalité, elle s'appelle Isabela Nowakowski, mais mon père m'a expliqué que dans son métier, il n'est pas bon de se nommer par son vrai prénom: oui, ma mère était une call-girl. Métier dégradant et pas vraiment gratifiant, mais apparemment elle le faisait uniquement pour manger à sa faim et avoir un toit, ce qui tout simplement pardonnable. Mon père, un homme d'affaire tenant plusieurs célèbres entreprises, anciennement à son père, n'a jamais eu le temps a des relations amoureuses, et se contentait alors d'aller dans des bars où femmes dénudées étaient au rendez-vous. Ma mère s'est alors approchée de mon père et ce fut le coup de foudre. C'est mignon, n'est-ce pas? Ils ne perdirent pas de temps, Isabela emménagea dans sa luxueuse villa et elle tomba enceinte de moi très rapidement également. 6 mois plus tard, tout allait pour le mieux selon mon père, mais il m'avoua tout de même qu'il était souvent absent à cause de son métier, ce qu'il regrette toujours d'ailleurs. Maman était enceinte de sept mois, et elle prit la voiture pour aller faire des courses: elle détestait se faire conduire par un chauffeur dans une limousine comme mon père, ou alors qu'une gouvernante s'occupe de faire la cuisine. Non, elle voulait être une mère parfaite et une femme au foyer exemplaire. Seulement, on ne sait ce qu'il s'est passé, mais elle n'a sans doute pas vu le camion à sa droite. Elle en perdit sa vie, mais moi je suis parvenue à survivre. Un miracle s'était exclamé les médecins à mon père lors de ma survie incroyable.

Et c'est ainsi que Loreley Rose Andrews, c'est-à-dire moi, est venue au monde un premier avril mille neuf cent quatre-vingt neuf....Et non, ce n'est pas une mauvaise blague! Ma vie aurait pu être banale car je n'ai jamais réellement ressenti de manque vis à vis de ma mère, sûrement qu'à l'époque je ne comprenais pas comment une personne qu'on n'avait jamais connu pouvait nous manquer. A l'âge de mes sept ans, alors que mon père Georges semblait être remit de la mort brutale de ma mère et décida alors d'aller de l'avant, en se mariant avec la femme qui était normalement destiné. Est-ce utile de préciser que ma belle-mère fut tout simplement affreuse et ignoble avec moi, et n'aimait que son fils qui était pour lui un véritable prodige? Alors que je n'étais qu'une enfant, cela m'importait peu, car moi-même je n'aimais que mon père, bien qu'il soit toujours absent. Il était celui qui me permettait d'être heureuse. Mais lorsque j'atteins l'âge de l'adolescence, ma vie devint un véritable cauchemar.

J'étais devenue une jeune fille et mon père ne pouvait s'empêcher d'être fier de moi, en ne disant sans cesse que je ressemblais trait pour trait à ma mère. Bien sûr que cela m'aurait fait plaisir, si dès chaque fois que mon père avait le dos tourné, ma belle-mère ne se gênait pas pour me bercer d'illusions que je comprends à présent, n'étaient que fausses. Mais une
demoiselle en crise d'adolescence peut croire tout ce qu'on lui dit, surtout quand on lui répète sans cesse qu'elle est bien trop grosse, bien trop laide et qu'elle n'a pas de goût. A la suite de cela, le résultat a été immédiat: un profond manque de confiance en moi, masqué tout de même par une indifférence et du mystère. Comme si ma vie n'était pas assez compliquée comme cela, à cette époque il me semblait avoir des sentiments amoureux vis à vis de mon demi-frère, ce qui était apparemment réciproque de son côté. A y repenser, je sais à présent qu'il ne s'agissait que d'une attirance physique, plutôt normale à l'âge que j'avais, c'est-à-dire à peine quatorze. Je me rappelle quand on se cachait dans les toilettes pour se coller des baisers humides et qu'on trouvait ça agréable. Lui aussi était alors à présent responsable de mon bonheur, petit soit-il, mais il me permettait de ne pas craquer face à sa mère, que je ne supportais plus à présent, au point d'en devenir anorexique, au point de ne plus pouvoir me regarder dans le miroir sans sentir un dégoût, une honte.

Tout aurait pu continuer ainsi, mais le destin en a choisi autrement. Le croyez-vous si je vous dis que ma belle-mère est tombée sur son fils et sa belle fille, s'embrassant comme des adolescents? Immédiatement, et inévitablement, pour ma belle-mère je ne pouvais qu'être l'unique responsable, je me rappelle même quand elle me cria que j'étais un démon, un fichu démon qui devait quitter la famille. Je me demande encore comment je suis parvenue à pardonner mon père, quand il a accepté que je m'en aille loin, très loin d'eux. Il m'avait simplement prit dans ses bras pour calmer mes sanglots, et m'avait avoué que c'était la meilleure solution pour tous, que nous serions plus heureux ainsi. C'est ainsi que je suis arrivée à New York, pour unique accompagnateur une vieille russe qui allait être ma gouvernante, ma femme de ménage et ma « titulaire » en quelques sortes. Rapidement, nous sommes devenues très proches, ce qui me permis de tenir et de ne pas vouloir mourir. J'entrais alors au lycée et une nouvelle Loreley apparut, mais au fond pas forcément différente que ça. Je laissais paraître une image de moi complètement différente de celle que j'étais réellement, et je suis alors parvenue sans le vouloir à devenir très populaire: j'enchaînais fêtes où drogues et alcools étaient au rendez-vous. Pourtant, je n'en touchais pas ou alors très peu, sûrement parce que je n'avais pas été éduqué à goûter ces choses, qui semblaient être l'œuvre des démons. Mais après plusieurs mois, j'en ai déduis que de toute façon, comme l'avait dit ma belle-mère, je n'étais qu'un démon. Qu'un fichu démon. Rapidement, j'en suis devenue dépendante et c'est ainsi que je me laissai complètement allée, oubliant même que l'école existait -et entre nous, je ne regrette pas, cette chose n'ayant jamais vraiment été faite pour moi-. Mais un jour tout a bousculé et j'en ai déduis que je n'étais pas faite pour être...Heureuse? Oui, c'est sûrement le mot.

Je me rappelle de ce moment comme si c'était hier, et rien que d'y repenser, mon corps est parcouru par des frissons et ma respiration se fait irrégulière. C'était un jeudi soir, et comme d'habitude je faisais le mur, ma gouvernante ne m'autorisant pas de sortir en semaine. Jesse avait tout prévus pour que nous nous amusions, nos amis et nous deux, pour toute la nuit: de l'alcool bien trop fort pour que mon corps plutôt fragile le supporte et de la drogue, substance illicite que j'adorais: pour dire vrai, j'en étais tout simplement accro. Tout aurait pu se passer comme d'habitude, si je n'avais pas abuser de l'héroïne. Voyant mon corps sans vie sur l'herbe humide, mes amis, eux aussi complètement défoncés, n'ont pu s'empêcher de prendre ceci pour une boutade mais ils ont compris la gravité de la chose lorsque, apparemment, je me mis à convulser: moi, pendant ce temps-là, je me rappelle uniquement de la lumière blanche qui m'éblouissait les yeux. Je crois qu'il est inutile de préciser que les urgences m'emmenèrent à l'hôpital et que j'en sortis indemne, bien que l'overdose soit plutôt puissante: un miracle, encore une fois.

Grâce à cela, j'obtins mes examens sans les passer, sans trop comprendre pourquoi, mais je n'allais pas crié scandale alors que cela m'arrangeait grandement. Mon père n'a jamais été au courant, et heureusement, de ma déchéance, ma gouvernante préférant garder mon amitié. D'ailleurs, c'est lui qui me permit d'intégrer Yale, et lorsque je l'ai revu il a paru fier de ce que je suis devenue: mais papa, si tu savais combien je suis dépendante de cette poudre blanche qu'on peut facilement prendre pour de la farine, crois-tu que tu m'aimerais toujours? Serais-tu toujours aussi fier? Mais qu'importe, tu n'as jamais su être là pour moi...

famille & co : Famille. Je pense que je n'ai jamais eu la chance d'avoir ce qu'on appelle une famille: un père toujours absent, une belle-mère exécrable, un demi-frère aux sourires bien trop charmeurs pour avoir une relation frère et sœur normale, et une mère morte dans un accident de voiture avant même que je ne la connaisse. Malgré cela, je suis persuadée que la famille n'est pas seulement les membres de notre arbre généalogique, ces gens avec lesquels on partage le même sang, le même nom de famille ou encore la même pièce d'identité. La famille, c'est ceux qui sont là pour toi, ceux qui sont là pour te remonter les bretelles quand tu as fais une bêtise, ceux qui t'éduquent, ceux qui te rendent plus heureuse, plus femme. La famille, c'est tout simplement mes amis, mais surtout et bien évidemment, ma gouvernante, cette femme provenant de russe qui a autant de rides que de taches de rousseurs, cette femme à l'accent horrible mais pas moins adorable, cette femme qui sait faire des boissons aux herbes pour guérir les maux comme personne ne sait faire. Oui, cette femme est tout pour moi, bien que je ne la vois plus autant qu'avant.

questions d'amitié & d'amour : Les rapports humains pour Loreley ont toujours été assez compliqué. Petite, elle préférait la solitude aux autres, ce qui lui a causé quelques problèmes. Adolescente, elle est devenue rapidement populaire sans trop comprendre pourquoi, sûrement parce qu'à ce moment précis c'était la mode d'être différent des autres. Pourtant, la demoiselle a toujours eu un coeur énorme, et assez d'amour pour tout le monde. Elle est au départ très méfiante, mais quand elle a confiance, elle aime sans aucune retenue. Elle adore comme personne ne peut adorer. Oui, pour Loreley les amis sont tout.
Question amour, elle en a eu, de nombreux petits amis. Le problème, c'est qu'elle n'a jamais vraiment été amoureuse, elle n'a connu que les attirances physiques. Et puis en début d'année à Yale, elle a connu Yale, et tout s'est bouleversé, tout lui semblait plus beau. Alors qu'elle semblait avoir banni le mot amour de son vocabulaire, voilà que ce mot devenait celui qu'elle maniait le mieux. Puis Calvin l'a quitté, sans donner de raisons, et depuis, la blonde enchaîne relations d'une nuit sans sentiments, ne voulant plus souffrir.

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la boite à questions :

principe ? une sucession de questions, vous avez le droit à deux JOKER, c'est à dire, vous avez le droit de passer deux questions, & seulement deux ! Enjoy babe !

ton meilleur ami te fait des avances, tu fais quoi ? : Ça dépend de mon état, si j'ai déjà enfilé mon quatrième verre de Vodka, je crois que je lui renvoie ses avances. Mais si je suis encore de mon état normal, je crois que je fais comme si je n'avais pas entendu ce qu'il avait dit. Lâche, mais pratique.

embrasserais-tu la personne à côté de toi ? : Bien sûr, je ne suis pas ce genre de personnes qui accorde beaucoup d'importance aux baisers.

déambuler nu(e) dans yale, ça te fait peur ? : Un peu, ouais.

plutôt Vodka ou Redbull ? : Pourquoi pas les deux en même temps ? evil

genre, t'as combien de contacts facebook ? : Dans le genre j'ai presque tout le monde de Yale, mais je vais jamais sur facebook donc useless à mort.

tu peux nous dire quelques chose en italien ou en espagnol ? : Sabes, no me gusta el español porque para mi, es una lengua demasiado...Demasiado...Oh et puis fuck, ça craint l'espagnol.

chante une chanson française, si t'en connais une... : Quaaaand il me prend dans ses bras, qu'il me parle tout bas, ça me fait quelque choooooseuh.

ton gros mot préféré ? : Bordel de merde ou Fuck.

tu es du genre à coucher au premier soir ? : Joker? hum

cap ou pas cap de draguer le prof d'économie ? : je ne suis pas ces cours alors...Cap? samile

t'as envie de moi maintenant là, tout de suite ? : Toujours baby, je suis jeune et ma libido est toujours au maximum!

je t'emmerde, tu me réponds quoi ?: Que je suis ravie de l'apprendre.

le mot de la fin ? : VODKAAAAAAAAAAA LORY ♥ respire encore, mon doux mensonge. 325641

la réalité réelle:

ton prénom, ou pseudo ou les deux : chloé

ton âge ou l'âge que t'as pas (a) : 16 ans

note ce desing sur, 10, 100 ou 1000 : 8,69/10

nombres de lignes moyenne de rp : Franchement, tout dépend des jours, de l'inspiration, de l'envie.

pourquoi ce forum & pas un autre ? : Je trouve que plus ça va, plus les forums RP sont des forums avec des contextes capilotractés et tout. Là, c'est simple, c'est clair, c'est cool, c'est beau, c'est parfait.

question stupide; starsky ou hutch ? : prout.

le mot de la fin ? youuu rock babe.

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