dylan e. huntington
Un froncement de sourcil, un reniflement méprisant. Hamilton relève la tête et son regard tombe sur une petite blonde qui vient tout juste de lui foncer dedans "putain tu peux pas faire attention ?:". Ouais bon à la base c'est sa faute mais aujourd'hui il n'est pas dans un bon jour, et aujourd'hui n'importe quelle personne qui lui adressera la parole pourrait se voir envoyer bouler. Celle-là, c'est décidé, il ne l'aime pas. Elle lui lance un regard noir, et lui répond d'une voix agressive. "Vas te faire voir" • Deux semaines plus tard, une chambre aseptisée de clinique. Hamilton se penche sur une femme le regardant avec de grands yeux innocents. Quelqu'un entre alors dans la chambre, prononçant un bonjour, adressé à la fois à la femme allongée dans le lit, et au jeune homme qui s'occupe d'elle. Hamilton se retourne et pour sa plus grande surprise, reconnaît la petite brune. Il n'ose rien dire. Elle s'approche du lit, reste debout à côté du lit et sourit à la femme. Cette dernière se tourne vers Hamilton "C'est votre petite-amie ?" "Non maman c'est moi, Dylan, ta fille." • "Cap ou pas cap de m'ignorer pendant une semaine ?" La jolie blonde le regarde d'un air courroucé. Elle doit le prendre pour un fou. Tant pis, lui il l'aime bien. Mais elle se prend au jeu et relève le défi. • Le regard du brun se posa sur un couple. Aucun sentiment ne se transcrit sur son visage, mais au fond de lui le feu de la jalousie est allumé par une simple étincelle, et désormais brûle avec force. La voix d'un jeune homme s'élève dans les airs. Hamilton se retourne vers lui quand il comprend qu'il s'adresse à lui. "Quoi ? Non moi je ne prend pas de ces saloperies. Pas comme certains... Oh, tu sais bien, ce Oney là-bas." Pur mensonge. Un sourire se dessine sur ses lèvres. Certainement pas le dernier de ces mensonges. • "Cap ou pas cap d'arrêter de lancer des injures ?" Un haussement de sourcil blond "Facile. Cap ou pas cap d'arrêter de dire non ? Et de dire oui à tout ce que je demande ?" Un sourire en coin "Petite joueuse Huntington."

billie c. jefferson
Une fête quelconque organisée par les kappa pi omicron. Un verre vide à la main, un jeune homme se dirige vers le bar pour se servir un verre. Il plonge la louche dans le saladier de punch et manque de peu de tout se renverser sur la manche, le bras tenant l'instrument bousculé par une jeune fille. Ce jeune homme, c'est Hamilton Hemingway. Il tourne la tête vers la source de son irritation tout en finissant de remplir de nouveau son verre. Il la jauge du coin de l'œil. Encore l'une de ces... Mais restons polis. Cette fille, c'est sûr, il ne l'aime pas déjà. • Trois jours plus tard, la bibliothèque. Hamilton, après avoir prit un livre dans un étagère, se dirige vers les tables afin de trouver une place libre. Il reconnait alors de dos une chevelure qu'il a déjà vu quelque part. Il s'installe à la place vide en face, et reconnaît la fille de l'autre soir. Son regard tombe alors sur le livre de cours posé devant elle et qui traite... de criminologie ? Apparemment il avait jugé trop vite (comme d'habitude). Intrigué, il ne cesse de lui jeter des coups d'œil de temps en temps pendant qu'il se concentre sur son travail. Une idée étrange lui traverse l'esprit et il sourit. • "Je crois que tu me dois un service ?" un après-midi ensoleillé, dans le parc. La jeune fille lève les yeux, surprise. Elle ne le reconnaît pas, évidemment. Et elle ne voit pas du tout de quoi il parle. Sans lui expliquer de quoi il parle, il s'assoit en face d'elle et lui demande alors de lui parler de ses cours. Et voilà qu'il lui pose une drôle de question : est ce que quelqu'un qui fuit après un accident de voiture est un criminel ? Il ne lui explique pas pourquoi une telle question, et puis fait comme s'il ne lui avait jamais parlé de ça. • Désormais il prend plaisir à se moquer d'elle gentiment à chaque fois qu'il la croise, la titillant sur la futilité d'être dans une confrérie comme la sienne.

illa v. mastrid
Troisième jour du second semestre. La voix du chargé de TD de droit des affaires s'élève dans la classe exiguë "Mastrid vous ferez équipe avec Hemingway. Peut être qu'on arrivera à faire quelque chose de lui." Hamilton ne releva pas le ton de dépit. Il leva les yeux et croisa le regard d'une jeune fille brune. • Des étudiants se bousculent dans un couloir. Un jeune homme marche lentement devant lui, la tête dans les nuages. C'est alors qu'Hamilton entend une voix qu'il connaît et ne peut supporter, une voix féminine et au détour du couloir, voilà qu'il la voit, se comportant comme à son habitude comme une horrible garce. Deux minutes plus tard, elle le rejoins dans la bibliothèque pour travailler sur le projet. Il l'accueille avec un "Dis-moi, ça te dérange pas d'être une telle garce ?" "Va te faire foutre". Un sourire méprisant se dessina sur ses lèvres et il se concentra sur le livre qu'il avait sous les yeux. • Un après-midi dans la chambre étudiante d'Hamilton. Deux personnes ne pouvant se supporter font ce qu'elles peuvent pour ne pas s'écharper et travailler ensemble, penchés sur un grand bureau. La jeune fille se lève, fait quelques pas. "Oh mais c'est quoi ça ?" Le jeune homme se retourne sur cette remarque moqueuse. Son regard se pose alors sur une peluche qu'elle tient sans la main. "Lâche ça." "Oh le pauvre chou a besoin de son ourson de temps en temps ?" Hamilton se lève, la fureur tapant contre ses tempes. "Je vais pas te le répéter". "Et qu'est ce que tu vas faire ?" Il essaie de l'attraper, elle l'esquive. Il la plaque alors contre le mur, les yeux lançant des étincelles, et lui arrache la peluche des mains. Il baisse les yeux vers elle, mais la haine se transforme en un profond désir. Alors qu'il semblait ne plus réussir à se contrôler, il se détache d'elle et repose l'ourson sur l'étagère.

Illia; j'ai une idée, alors dis-moi ce que tu en penses. (:
Troisième jour du second semestre. La voix du chargé de TD de droit des affaires s'élève dans la classe exiguë "Mastrid vous ferez équipe avec Hemingway. Peut être qu'on arrivera à faire quelque chose de lui." Hamilton ne releva pas le ton de dépit. Il leva les yeux et croisa le regard d'une jeune fille brune. • Des étudiants se bousculent dans un couloir. Un jeune homme marche lentement devant lui, la tête dans les nuages. C'est alors qu'Hamilton entend une voix qu'il connaît et ne peut supporter, une voix féminine et au détour du couloir, voilà qu'il la voit, se comportant comme à son habitude comme une horrible garce. Deux minutes plus tard, elle le rejoins dans la bibliothèque pour travailler sur le projet. Il l'accueille avec un "Dis-moi, ça te dérange pas d'être une telle garce ?" "Va te faire foutre". Un sourire méprisant se dessina sur ses lèvres et il se concentra sur le livre qu'il avait sous les yeux. • Un après-midi dans la chambre étudiante d'Hamilton. Deux personnes ne pouvant se supporter font ce qu'elles peuvent pour ne pas s'écharper et travailler ensemble, penchés sur un grand bureau. La jeune fille se lève, fait quelques pas. "Oh mais c'est quoi ça ?" Le jeune homme se retourne sur cette remarque moqueuse. Son regard se pose alors sur une peluche qu'elle tient sans la main. "Lâche ça." "Oh le pauvre chou a besoin de son ourson de temps en temps ?" Hamilton se lève, la fureur tapant contre ses tempes. "Je vais pas te le répéter". "Et qu'est ce que tu vas faire ?" Il essaie de l'attraper, elle l'esquive. Il la plaque alors contre le mur, les yeux lançant des étincelles, et lui arrache la peluche des mains. Il baisse les yeux vers elle, mais la haine se transforme en un profond désir. Alors qu'il semblait ne plus réussir à se contrôler, il se détache d'elle et repose l'ourson sur l'étagère.

Deyvon; pas de problèmes, je vais y réfléchir aussi ! (:

Kezabel; avec plaisir !! Tu aurais déjà une idée ?

Kezabel; okay j'y penserais alors, redis-moi si tu retrouves l'idée.

Kallipoê; j'vais y réfléchir alors. (;

Illia; aaah cool que tu aimes ! Et ouais du coup c'est un bon départ pour les RPs ! Ça gère la fougère.