LENNOX; btw dude, you shall remember to use some protection!

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Ramsay Lennox Barker WTF?

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informations générale
date de naissance : 17 octobre 1987
originaire de : Corpus Christi, Texas, USA
nationalité : Américaine
situation amoureuse : Compliquée
moyenne scolaire sur 100 : 60
études en cours : domaine des affaires

le dossier confidentiel
description physique : On peut pas dire que j'ai un physique ingrat. Ouais j'sais, ça peut passer pour de la vanité. Disons que c'est simplement une constatation. Je suis assez grand, dans le sens où j'suis pas la prochaine vedette de la NBA, mais que je suis largement plus grand qu'une mémé. J'ai les cheveux toujours n'importe comment d'une couleur châtaine qui pâlit l'été, parce que je passais mes étés à Tofino chez mon oncle afin d'y pratiquer le surf. J'ai des traits masculins, une mâchoire carrée et des lèvres fines et passablement pâle. Y'a toujours un sourire arrogant qui s'y accroche, on m'dit que c'est de famille. J'ai les yeux bleus pâle et j'aime bien avoir une repousse de barbe de deux ou trois jours, histoire de pas avoir la peau de bébé à la gueule. J'suis toujours bronzé - c'est pas trop froid non plus dans mon petit coin du Texas - et puis j'prends bien soin de m'entraîner pour garder la forme. La boxe, le surf, tout particulièrement. J'aime bien la course aussi, tout simplement. J'fais toujours un truc, n'importe quoi, pourvu d'faire déplacer de l'air. Jm'habille carrément n'importe comment, j'aime les t-shirt et les jeans, les veste de cuir et les tuques. J'suis pas casquette, et on m'verra pas avec du gel dans les cheveux. Une clope au bec avec la veste de mon père des années 90, c'vachement plus probable!

description de caractère : Ça d'accord j'admets que je suis un cauchemar ambulant. C'est même pas de moi ça, c'ma mère qui m'appelle comme ça. Je suis incroyablement chieur et je ressens un besoin viscéral d'avoir constamment raison. Je suis un peu arrogant et complètement félé, dans le sens où je suis un casse-cou fini et que j'me fiche carrément des conséquences. Du moins, je m'en fichais, jusqu'à ce que Xavi arrive dans ma vie. Elle, c'est ma fille. On m'verra jamais comme j'suis avec elle ailleurs, c'est foutrement clair. J'voudrais être le meilleur père du monde simplement pour qu'elle est la meilleure vie possible. J'vais travailler pour ça, même si c'dur de changer. Difficile d'oublier qu'il y a un an à peine, j'pouvais boire constamment comme un trou sans jamais - ou presque - m'en prendre plein la gueule, ou encore fumer dans mon lit en m'amusant à faire des ronds avec la fumée. Outre ce petit détail, j'aime les femmes. Fuck, qu'est-ce que j'aime les femmes. Une, en particulier. J'crois qu'elle m'déteste, parce que jl'ai balancé aux autorités parce qu'elle prisait sa coke et que j'veux pas que la mère de ma fille soit poudrée. J'suis pourtant assez intelligent, assez pour être au-dessus de la moyenne et faire mine de rien. J'suis ambitieux, et même si j'ai l'air du mec rebelle qui finira mécano, bah j'veux faire fortune dans les affaires. Devenir un homme d'affaires respectable, comme Trump j'crois. Bref, c'comme ça que je vais gâter ma fille. Reste qu'une bière en fin d'après-midi, avec une clope au bec, ça reste un plaisir inavoué que j'me passerais difficilement. Heureusement que j'ai la mère la plus gentille du monde qui a quitté l'Texas pour venir me rejoindre à la fac.

orientation sexuelle : On ne peut plus hétéro

bizutage des bleus
confrérie souhaitée : KTΓ
motivation pour la confrérie :
C'est on ne peut plus évident, j'suis le type parfait pour eux. Je suis chiant à l'extrême, je suis un cas particulièrement désespéré de vanité et d'orgueil, en plus d'être incapable de refuser un défi. Je bois, je fume, et je fais des conneries. Accessoirement, j'suis père, mais ça, à l'école, ça paraît pas trop. Y'a des trucs qui ont changés, mais j'suis suffisamment brillant pour ne pas les laisser voir. Faut croire que même parmis les KTΓ, soit les rebelles qui n'ont pas un million de pactole dans les poches, on peut s'débrouiller. On peut même faire mieux que les connards de riches, parce qu'on sait c'que c'est pour de vrai, vivre.

petites questions entre amis
ton meilleur ami te fais des avances, tu fais quoi ? : J'comprends que dalle c'est sûr. Et puis j'me marre, parce que j'trouverais ça foutrement marrant. J'sais pas ce que je ferais si ça continuerait par-contre, fuck, j'suis pas contre les mecs qui aiment les mecs, et encore moins contre les meufs qui en embrassent d'autres, mais y'en ai foutrement pas question dans mon cas.

embrasserais-tu la personne à côté de toi ? : Si elle était sexy et que j'aurais pas de gamine peut-être. Reste que je dis pas non dépendamment d'la situation et du risque que j'meurs étranglé si on rapporte ça à la mère de ma gamine. Une raison de plus pour qu'elle veuille m'trucider, c'vachement pas nécessaire, faut m'croire!

déambuler nu(e) dans yale, ça te fait peur ? : Aucunement, ça ferait foutrement effet sur les vieilles profs fripées qu'on peut avoir en comptabilité!

plutôt Vodka ou Redbull ? : Carrément les deux ensemble. C'un putain de mélange explosif, et c'est grave bon.

genre, t'as combien de contacts facebook ? : J'suis pas inscrit à c'truc-là. Ça m'fout les boules de savoir que des gens indiquent à la seconde près à quel moment ils fréquentent les WC et avec qui ils sortent le mardi soir. J'préfère m'servir de celui d'ma copine - copine, si on veut, j'sais pas si elle voit ça comme ça - quand elle est pas là si j'dois voir un truc, et même si j'risque ma tête en faisant ça.

tu peux nous dire quelques chose en italien ou en espagnol ? : non, j'parle anglais, et j'dis des conneries en français. J'connais rien à l'italien et à l'espagnol, en vrai, sauf peut-être « puta » mais c'rien de bien pratique.

chante une chanson française, si t'en connais une... : J'connais « Un, deux, trois, trois petits chats... », mais c'est sûr et certain que je chante pas. J'chanterai jamais, et puis ça serait carrément ridicule d'le faire avec cette comptine pour gamin.

ton gros mot préféré ? : FUCK !

tu es du genre à coucher au premier soir ? : Je l'étais, aujourd'hui, je crois que j'y penserais à deux fois avant d'le faire, même si l'envie serait toujours présente parce que y'a plusieurs filles de Yale que j'me serais fait volontier en plus de celles que j'ai déjà eu. Han, pas trop surprenant ? Si ? Fuck, vous m'prenez pour qui, Gandhi ?

cap ou pas cap de draguer le prof d'économie ? : Si j'étais sourd, aveugle et muet, j'me dirais peut-être que cette femme a surement un charme caché quelque part sous la surface, très bien camouflé, mais comme je possède tous mes sens et que j'sais que j'aimerais pas du tout voir ce qu'il y a à voir, faudrait avoir un tas d'fric en jeu pour que j'me lance.

t'as envie de moi maintenant là, tout de suite ? : J'ai envie, mais pas nécessairement d'toi. J'sais pas t'es qui, et puis t'es peut-être un pédophile crade ventru et dégueulasse. Carrément dég!

je t'emmerde, tu me réponds quoi ?: Que jt'emmerde encore plus.

le mot de la fin ? : Vous voulez une blague de blondes? C'sont mes préférées !

la réalité vraie
ton prénom, ou pseudo ou les deux : Emmecie
ton âge ou l'âge que t'as pas (a) : Je m'en vais sur mes vingt automne ^^
note ce design sur, 10, 100 ou 1000 : 10²³
avatar : Cam Gigandet
pourquoi ce forum & pas un autre ? : Ça fait deux-trois jours que je passe et que j'hésite. J'me lance maintenant =D
question stupide; starsky ou hutch ? : les coco pop's; c'est nul, on veut de chocogrenouille
le mot de la fin ? I'M DOOOOOOONE

« Je t'ai ramené une surprise du boulot » « Mmmm.. » « Allez on s'magne un peu Barker, c'pas en restant à la bourre dans ton pieu que tu vas t'éclater » « Je pourrais si t'enlevait c'que tu portes et que tu venais me rejoindre » « T'es con Lennox » « Tu savais à quoi t'attendre, tu peux qu't'en prendre à toi-même ». Je me redresse légèrement dans mon lit. J'sais pas par quel putain d'endroit Saskia a trémoussé son joli derrière jusque dans ma chambre, et comment ça se fait que mon colocataire à la limite voyeur se soit pas précipité pour admirer le charme complètement hallucinant qu'elle dégage. Elle pose son genou, puis son second, puis avec une démarche féline que je suis religieusement des yeux, ses mains immobilisent de manière théorique mes bras sur le lit. Je sens ses lèvres dans mon cou, sur ma mâchoire, tout près de mon oreille. Je souris, tandis que je sens ses dents mordiller mon lobe d'oreille. Bordel de merde « Qu'est-ce que t'a pour moi ce soir Sassy ? » « Tu vas aimer. Un allez-double pour le septième ciel... » . Je sais pertinemment ce qu'elle a en poche. J'en consomme de plus en plus depuis que je suis plus ou moins avec elle. On sort pas avec des filles comme Saskia, on les fréquente. La réciproque est vrai, j'suis pas le type à avoir une copine, ou se suffir d'une fille. Faut croire qu'avec elle j'en ai suffisamment plein les bras pour ne pas aller voir ailleurs, ce qui est pour ainsi dire une putain de première « T'a pas interro demain ? » « Barker... » « J'essaie juste de pas penser que t'es en plein mode allumeuse » « Allez, on se fait une ligne, et je suis toute à toi ». J'sais pas ce qui me prend quand elle me dit un truc pareil, mais y'a un frisson qui me traverse l'échine et j'ai les yeux qui brillent. Mes potes me disent en riant que j'aime bien m'faire dominer. C'vrai qu'elle impose son rythme, Saskia, mais j'suis loin de me laisser faire. Comme là, par exemple. Je retourne ses bras et l'étend de tout son long sur mon lit. D'une main, je tiens les siennes, et l'autre remonte lentement de sa taille au creux de sa nuque. Puis je l'embrasse, fuck, parce que j'en meurs carrément d'envie « T'aurais raide pas du m'dire ça... ». On se redresse, j'lui tend la main pour l'amener dans le petit salon. Y'a des caisses de bières partout, y'a deux-trois boîtes de pizza qui traîne ça et là. Je la regarde sourire, et on dirait une gamine à qui on a promis le plus beau des cadeaux de Noël. Ça devrait m'foutre la chienne, mais c'est pas le cas. Qu'est-ce qu'on risque, après tout, on s'fait du mal qu'à nous, au fond ? Sur ces paroles profondes, et parce que les lignes sont foutrement tentantes, j'prends un billet de 20$ dans ma veste et j'le tends à Saskia. J'la regarde faire, puis j'me gêne pas. Une autre soirée complètement hallucinante avec une fille complètement hallucinée!

« Pas question que tu touches à ça ». Fuck, elle a l'air d'une épave. Elle tremblait quand je suis rentré, elle était glacée. Je l'ai foutu dans la douche, sans prendre la peine d'enlever ses vêtements. Ça me faisait mal en dedans de la voir, les cheveux trempés, le noir qui ruisselait sur ses joues, et ses jambes maigres qui tremblaient dans tous les sens. J'savais pas que Saskia était accro à ce point-là. Ni même qu'elle se réveillait, après qu'on ait passé la nuit ensemble, pour prendre un truc en attendant que j'me lève et qu'on fume du shit. Qu'elle sortait quand on était à une fête avec une bande de types pour aller prendre un comprimé pendant que j'faisais des conneries avec Landon et Sloan. Elle tremble, et elle hurle. Je sais qu'elle a mal, mais j'peux pas la laisser faire ça quand elle porte un gosse « TU PEUX PAS COMPRENDRE, TU PEUX PAS, FOUS-MOI LA PAIX, LAISSE MOI TRANQUILLE LENNOX, TU ME FAIS CHIER! ». Je la regarde, hystérique, tenter de se relever comme elle peut, mais ses mains glissent sur les parois humides. Putain de merde, elle a déjà plus les deux yeux dans le même trou et elle veut que je lui donne le sachet que j'ai chipé dans son jeans ? Elle est folle, carrément, mais merde, je peux pas la laisser comme ça. Pas maintenant qu'elle est enceinte de trois mois. De moi. Elle voyait personne d'autre, j'le sais, et puis j'aurais détruit la sale gueule du type qui l'aurait approché de trop près « T'aura pas de poudre en cloques, t'es conne ou quoi ? C'est pas qu'toi que ça dérange putain, penses-y un peu ». J'crois pas qu'elle est en état de comprendre quoi que ce soit, et ses tentatives de se redresser sont à la limite grotesque. Elle gueule encore cinq bonnes minutes, mais je reste là, agenouillé devant elle. J'reçois une claque, mais j'bronche pas. Ça passe un peu, et elle s'accroche à mon cou « J'ai mal. J'ai peur. J'ai mal, j'ai tellement mal Barker... ». J'la serre contre moi,ma main colle son front contre mon torse, et je respire le parfum de ses cheveux. Si j'croyais jamais m'faire prendre à être accro à un truc, j'me suis fait carrément possédé. J'pourrais pas me passer de Saskia, plus maintenant.

J'fume une clope pour me relaxer. J'ai envie d'une bière, mais j'entends les pleurs de bébé dans l'appartement. J'ai remarqué dernièrement qu'elle chignait encore plus, depuis qu'elle passe du temps toute seule avec Saskia. Moi, j'peux pas être toujours là, et puis même si ça me soule carrément, j'reviens voir ma fille le plus souvent que je peux. Lenia. Un mélange de Saskia et de Lennox, ça fait flippé, non ? La chose que j'ai le plus réussi, fuck, la chose dont je suis le plus fier. Quand j'rentre, j'ai presque honte de sentir la fumée, mais quand j'entre dans la chambre, y'a les yeux de ma petite qui brille et elle gazouille. Là, j'souris à cette merveille comme j'sourirai jamais à personne. Y'a le sac de trucs que m'a apporté Saskia. On se voit toujours, mais on dirait qu'elle a besoin d'espace depuis deux semaines. J'imagine que c'est normal, après tout, j'y connais rien, c'tout nouveau comme expérience pour moi. Père, bordel de merde. J'suis père, je suis à Yale, et j'étudie encore. J'ai 23 ans seulement. Mais j'regrette rien. Ça m'a fait repensé à un tas de trucs, et j'consomme vachement moins. Pour elle, parce que j'voudrais pas lui faire du mal. J'la prends dans mes bras, et j'me sens complet. J'entends quelqu'un qui tambourine comme un malade à la porte. Lenia se crispe, et j'aime pas ça du tout. Quand j'ouvre la porte, c'est Sassy qui débarque en trombe. Survoltée. Ça, c'est pas de bon augure « Donne-la moi. Viens voir maman chérie ». Elle tressaillit, ses prunelles sont petites comme des têtes d'épingles. Elle m'avait dit qu'elle consommait plus rien. Lenia a seulement 1 mois « Putain t'es défoncée Saskia ! ». Sa tête se retourne en ma direction, un sourire qui vient de loin lui flotte sur les lèvres. Vraiment rien de bon tout ça « Tu dis n'importe quoi. Viens te coucher, viens avec elle, on va être bien, comme dans un cocon ». Mes yeux s'ouvrent de surprise, elle déconne carrément. Sa main droite se crispe et se décrispe. Qu'est-ce qu'elle s'est envoyé? « Tu l'approches pas dans cet état-là, reviens plus tard ». Elle s'offusque tout de suite, monte sur ses grands chevaux « J'SUIS SA MÈRE, TU PEUX PAS M'DIRE ÇA » « Fuck Sassy, t'a pris quoi ? C'quoi la merde que tu me racontais, qu'tu prenais presque plus rien ? » « Rien qu'une fois, une toute petite fois ». Je savais pourtant. On ne peut pas arrêter quand on est intoxiqué à ce point-là. J'espère encore que c'est une mauvaise blague.

« VIENS PRENDRE LA PETITE S'IL TE PLAÎT ». Saskia est complètement perdue, mais une dame d'un certain âge débarque. Douce avec des traits délicats, un chignon serré qui la montre sous son air sévère. Ma mère. Qui prend soin de Lenia quand j'suis pas là. Qui risque d'en baver maintenant que j'ai conscience du problème de la mère de ma fille « Tu peux pas faire ça. Donne-moi mon bébé, ma petite fille, vous êtes qui, vous? LÂCHEZ-LA! ». Elle court vers ma mère, jl'attrape en plein vol et j'fais signe à ma mère de foutre le camp. Ça risque d'être pas trop joli, elle se débat comme un diable « Je vais appeler la police! Le FBI! La CIA. Lâche moi Lennox, LÂCHE MOI » « Sassy... ». Elle frappe plusieurs fois dans mon torse, mais j'bougerai pas. J'la laisserai pas faire. J'la laisserai pas tomber « Je veux ma fille. Maintenant. » « Pas aujourd'hui, pas comme ça, pas tant qu'tu te présentes dans cet état-là devant elle » « Je suis sa mère » « J'suis son père, et bordel, Saskia, faut que tu consultes » « T'es malade ou quoi ? Y'en a pas de problème. C'était qu'une toute petite fois, ça peut pas faire de mal » « J'veux pas que tu lui fasses du mal. Que tu t'en fasses » « La ferme, LA FERME! C'pas toi qui a tout enduré, c'pas toi, c'est pas toi » « Désintoxique-toi si tu veux que j'te la... ». On défonce presque la porte. Les policiers entrent, et amène Saskia malgré mes supplications, elle était en train de se calmer... de se calmer. Je suis incrédule. Elle hurle pendant qu'on l'amène, et me regarde avec une haine, un mépris, du dégoût qui me donne envie de gerber. J'me sens mal pour la première fois de ma vie pour quelqu'un d'autre, et je reste là, des heures, à fixer la porte qu'on a défoncé, en pensant à la mère de ma fille que l'on a amené...