jazz • manipulation has a sweet face. 100% DONE.

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jazz ilès vassilis@ your innocence is mine.

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informations générale
date de naissance : 4 mai 1988, à athènes.
originaire de : grèce, bien que je n'y ai passé que quelques années.
nationalité : la double nationalité grecque & américaine.
situation amoureuse : variable, instable, volage, néant.
moyenne scolaire sur 100 : un peu plus de 60 pour cents.
études en cours : psychologie.
le dossier confidentiel
description physique : « un sourire à damner les anges, je me crucifierais pour ses lèvres groseilles et son teint de pêche. ses longs cheveux bruns et ses yeux marrons irrésistibles, je me suis noyé dans ses formes graciles et salvatrices. élancée, fine, je mourrais d'une overdose de son corps. » un ange descendu sur la terre, le diable prenant possession de la divinité, nombreuses sont les métaphores que j'ai entendues à propos de mon physique. je transpire l'arrogance du haut de mes vingt et un ans, je suinte le fric à profusion et mon parfum a les effluves de la tentation la plus exquise. mon visage à la peau de pêche, épiderme doux et lumineux. mes yeux qui vous renvoient cette étincelle de sensualité et qui sont pourtant toujours froids. je ne laisse rien paraître, ça ne va pas avec celle que je suis. la sensiblerie, très peu pour moi. ma bouche pernicieuse aux lèvres groseilles si douées pour raconter ragots et paroles sulfureuses, si douée pour blesser et détruire les gens. un nez droit, un port princier. on m'a appris à être comme je suis, à laisser les hors de mon âme. aucun d'entre eux ne me connait vraiment mais ils restent derrière l'écran de superficialité qui m'entoure.

description de caractère : Je suis une garce, une pétasse de la pire espèce. Je peut coucher avec votre mec et vous faire des sourires hypocrites alors que je me fiche bien de savoir comment vous allez, et si vous êtes abattues d'êtres devenues cocues. messieurs, je peux aussi me faire votre copine en manque d'expérience sexuelle, et vous laisser venir à moi après. je suis fausse, et j'aime à vous rappeler constamment que je suis mieux que vous. plus riche, plus belle, plus populaire. je suis irrésistible, je sais jouer de mes charmes et de mon éducation. depuis mon plus jeune âge on m'apprend à régner, on me forme à être une espèce de monstre sans coeur ni rancunes. ça a fonctionné, et je me montre étrangement douée.

et pourtant, je suis cultivée. je peux vous citer baudelaire, vous philosopher sur l'avenir du monde. je suis lucide, j'ai conscience de ma propre connerie. et c'est là que tout se complique, j'ai mal, je crève de mal mais vous êtes trop limités pour vous en rendre compte. je suis intelligente mais vous êtes persuadés que je dois mes notes au dessus de la moyenne à mon corps et vous vous imaginez que je couche avec le professeur de psycho. alors qu'en fait, je comprends l'espèce humaine mieux que lui qui tente de m'inculquer les rudiments scientifiques du dysfonctionnement humain. pauvre lavette. mon sourire sonne creux si vous regardez bien. si vous étiez moins con, je serais moins superficielle.

double personnalité obligée par une société suicidaire, je me montre sous mon jour le plus cruel. je vous détruis d'un claquement de doigt comme je vous monte en égérie de mon monde trouble. je suis une étoile montante et j'écrase tout ce qui se trouve sur mon passage. je suis prête à tout pour oublier le trou béant de ma poitrine, vous avez bien entendu - à tout. coucher avec qui je devrai coucher. collectionner les rails de coke autant que les verres de vodka. n'oublie pas, baudelaire est mort, dans tes bras, il n'y a qu'une putain. et je crève, lentement mes sûrement. je tombe en vous rappelant à chaque seconde, qu'ici, la reine, c'est moi.

orientation sexuelle : bisexuelle, à tendances hétérosexuelles.
bizutage des bleus
confrérie souhaitée : ΚΠΟ ; kappa pi omicron.
motivation pour la confrérie : c'est simple, je suis une salope, une garce. le genre qui se tape le copain de ses amies et qui après en rigole autour d'un verre de vodka. j'ai scellé mon coeur et je suis devenue le pire cauchemar des sensibles et le rêve de ces filles habillées comme des putes de bas étages, en collants résilles et jupes beaucoup trop courtes. ne vous fiez pas à mon air angélique, je suis votre pire cauchemar.
petites questions entre amis
ton meilleur ami te fais des avances, tu fais quoi ? : je me marre, je le met dans mon lit, et je le vire au petit matin. comme tout les autres.
embrasserais-tu la personne à côté de toi ? : t'as les sourcils mal épilés, un point noir sur le nez et le cheveux ma gras, mon pauvre, pense pas que je vais poser mes lèvres sur l'énorme gerçure qui te sers de bouche.
déambuler nu(e) dans yale, ça te fait peur ? : je tiens à mes fringues de marques, darling. retourne à tes sites de culs, pauvre mec.
plutôt Vodka ou Redbull ? : vodka, pure.
genre, t'as combien de contacts facebook ? : une chose est sûre, les loosers dans ton genre en font pas partie. sorry babe.
tu peux nous dire quelques chose en italien ou en espagnol ? : je ne parle qu'une seule et très cosmopolite langue, la langue de billet de cash glissé en dessous de la table dans le luxe de mon abondante décadence.
chante une chanson française, si t'en connais une... : j'veux qu'on baise sur ma tombe. triste réalité d'une vie gorgée de poison.
ton gros mot préféré ? : motherfucker.
tu es du genre à coucher au premier soir ? : c'est du pareil au même. les filles qui te répondront non sont des coincées, des menteuses de premier plan. quoiqu'il se passe, elles finiront bien par coucher. premier ou dernier rendez vous, qu'est ce que ça change? rien du tout, voila la réponse.
cap ou pas cap de draguer le prof d'économie ? : déjà fait...
t'as envie de moi maintenant là, tout de suite ? : franchement... non.
je t'emmerde, tu me réponds quoi ?: un séjour en dessous des poings de mon père, ça te tente ? y me semblait bien que t'avais rien dit...
le mot de la fin ? : écrase toi.
la réalité vraie
ton prénom, ou pseudo ou les deux : margot, sk.
ton âge ou l'âge que t'as pas (a) : quinze (a).
note ce desing sur, 10, 100 ou 1000 : j'ai le droit de dire 2000 ? *out*
avatar : jeisa c.
pourquoi ce forum & pas un autre ? : hm... parce que je suis faible, & qu'éva est une vile tentatrice ? et puis, le contexte quoi, coup d'coeur.
question stupide; starsky ou hutch ? : starsky parce que les coco pop's;c'est nul, on veut de chocogrenouille ! même si en fait, je serais tentée de dire, aucun des deux.
le mot de la fin ? oui, je serai pas là super souvent en rp, une fois par semaine minimum, parce que j'ai beaucoup de travail & un autre forum à gérer en tant qu'admin. mais je serai là quand même, mais je préfère prévenir, histoire de.

je mourrai sûrement seule, avec des albums photos plein de souvenirs périmés. des photographies du temps ou j'étais jolie, du temps ou j'étais adulée. des amis avec des faux sourires, des gens qui pleurent de joie. que de l'hypocrisie. je raconterai à mes chats, mes minous, ne faites jamais confiance à personne. ou alors je me tirerai une balle à trente ans, mourir à l'apogée de ma vie me semble être une bonne solution.

lettre à une mère absente ;
j'ai toujours été mon pire cauchemar, aussi loin que je m'en souvienne. ma mère m'a toujours répété qu'on aurait du mettre le 4 mai en jour férié tellement ma naissance méritait d'être célébrée. j'étais sa petite fille chérie, son étoile. son cake à la framboise, comme elle le disait si souvent. ça, c'était avant qu'elle meure. c'était la période ou je n'étais pas encore un aspirateur à coke, une pétasse trop lucide et une amie ignoble. j'avais dix ans, j'étais encore jeune. j'étais jeune et j'aimais lire. je lisais zola et kafka, je lisais des traités philosophiques et j'avais un air intellectuel et poétique qui lui plaisait tellement. j'étais un enfant, une gamine qui avait encore besoin de sa mère pour murir, évoluer et devenir une personne respectable. à la place, elle est morte. elle m'a laissée dans un monde beaucoup trop vaste, elle m'a laissé en pleine nature. moi qui avait toujours vécu dans une bulle. un accident, sa porsche qui roulait trop vite, une autre voiture. décès à new york. accident de voiture, rien de grave pour le vaste monde. une tragédie pour moi et mon père. je n'ai pas pleuré, non. j'ai levé la tête sur le visage ravagé de mon père et je me suis jurée de verrouiller mon myocarde à tout jamais. j'ai jeté la clé au loin et j'ai tourné les talons, je me suis éloignée du cercueil sans te dire au revoir, maman. je me suis enfermée dans ma chambre et devant le miroir, j'ai regardé la métamorphose interne se faire. j'avais l'impression de tout voir comme si j'étais éviscérée. mon palpitant ralentir et finir par s'arrêter, mes sentiments s'emprisonner dans la boîte de pandore de mon esprit. j'ai assisté à la naissance du diable. je me suis retrouvé avec une épave. il buvait une bouteille de whisky par jour, il ramenait ses pétasses blondes tout les soirs. je fermais les yeux très forts, je mettais ma musique à fond dans mes écouteurs mais malgré tout, je n'avais aucune peine à imaginer leurs gémissements beaucoup trop forts. je l'ai détesté si tu savais. je t'ai haï de m'avoir abandonné, si tu savais. je t'ai haï de ne pas être resté à mes côtés et de m'avoir laissée devenir celle que je suis aujourd'hui. je me cache derrière des masques superficiels et écœurant. je suis folle de cette vie qui m'a enivrée. j'ai découvert des échappatoires. j'ai fumé de l'herbe, j'ai commencé la coke et le lsd. j'ai testé le sexe sous toutes ses formes. j'ai choisi de ne pas tenter de m'en sortir. je ne vivrai pas vieille, comme toi. ils disent que je suis jolie, mais à chaque fois que je croise un miroir je vois ton reflet. papa ne veut pas me voir, il dit que c'est parce qu'il n'approuve pas ce que je suis devenue, mais je sais la vraie raison. il supporte pas de me voir, ce même nez, les même yeux - l'étincelle joyeuse en plus. il te voit toi, je lui rappelle à chaque seconde ta perte. t'as foutu notre famille en l'air, maman. tu pouvais pas rouler moins vite? faire plus attention? tu pouvais pas survivre, non? depuis onze ans, je fuis le bonheur parce que j'ai la peur irrésistible et diabolique qu'il s'en aille. c'est stupide tu me diras, et alors? je souffre. beaucoup trop, pas assez. je ne veux plus m'attacher, plus jamais. je fuis l'amour et je me prétends sans attaches. mes amis sont rares, je trahis sans vergogne en feignant n'avoir aucun remord. je suis juste une fille paumée dans sa propre vie qui fuit le bonheur et qui se prendre le désespoir en pleine gueule, comme on se prendrait le vent un soir d'automne. je reste forte en apparence alors qu'au fond, je ne suis qu'un tas de cendres. je rêve de trouver celui qui me remettra debout, celui qui me fera faire des efforts et qui aura assez de patiente pour me redonner confiance en la vie et en l'espèce humaine. je t'en veux. c'est de ta faute.

OMG ton avatar est orgasmique jazz • manipulation has a sweet face. 100% DONE. 887538

je vois qu'il est de Georgie aussi donc ça m'étonne pas X)
bienvenue !

c'est parce qu'en fait j'étais déjà sur Junk à son tout, tout début jazz • manipulation has a sweet face. 100% DONE. 218502

Margot ?

il nous faudra un lien qui tue alors *o*

ok j'arrête de te harceler et te laisse faire ta fiche rain

<3

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Mon dieu ton avatar jazz • manipulation has a sweet face. 100% DONE. 218502

Bienvenue

Jazz I. Vassilis a écrit:

ah, le truc à pas dire jazz • manipulation has a sweet face. 100% DONE. 204263

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Bienvenue

bienvenuuue

merci beaucoup vous deux (:

gosh mais c'est un amour de ~~garce~~ jeune fille, j'aime (a)
je veux et j'exige mon lien, maintenant jazz • manipulation has a sweet face. 100% DONE. 106549

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