Maxine regardait Illia d'une façon si glacial que celle ci savait que la colère de Maxine allait se transformer en une colère contre miss Mastrid. Ce qui finalement ne la gênait pas. Bien au contraire Illia aimait plus que tout les disputes fréquente avec son amie Maxine. Quand Maxine la fixa Illia se redressa, elle savait que les mots de maxine allait la toucher un peu mais qu'il faudrait faire semblant que rien chez elle ne peut énerver notre belle princesse. Illia remarqua que le poing de la jeune femme face a elle avait quelques marques de sang. Sans doute sa folie qui l'avait poussée a se faire du mal. C'est une chose qu'Illia ne pouvait comprendre. Maxine était tout le contraire d'elle. Elle était le pôle nord alors qu'Illia était le pôle sud. La chaleur était ce qu'Illia aimait le plus. Elle se reconcentra sur la bouche de Maxine semi ouverte, elle s'apprêtait a vouloir tuer Illia.


« Mais regardes-toi un peu. Tu n’es qu’une petite gamine capricieuse et pourrie gâtée qui ne connaît rien de la vie. Et tu oses donner des leçons aux autres. Mais tu te prends pour qui ? Toi, de la vie, tu ne connais que les fêtes et l’alcool. Tu ne connais que les hommes et le sexe. Mais à part ça, tu es perdue. Les problèmes, et les emmerdes tu ne connais pas. Alors avant de dire quoi que se soit, tu ferais mieux de réfléchir à ce que tu dis. Et je ne suis pas de mauvaise humeur. Je suis juste de très mauvaise humeur. Et tu sais pourquoi ? Parce que tu es là, simplement. Parce que ta présence, je ne la supporte pas. Je ne te supporte pas. Ton insolence je ne la supporte pas. »

Illia se mit a sourire si elle , elle ne connaisait rien de la vie quant était-il pour Maxine... Cependant elle avait raison sur certains point Illia était capricieuse. Seulement elle ne savait rien de sa vie, elle ne savait pas cette maxine a quel point Illia avait souffert du manque d'amour de ses parents.
Illia n'avait jamais eu de chance avec ses parents c'était la cause a effet de leurs richesse. Ils n'étaient pas là. Jamais là. Maxine lui reprocha ensuite le fait qu'Illia est une croqueuse d'homme ce qui provoqua chez Illia un sourire que sans doute Maxine put apercevoir. Encore une fois Maxine ne savait rien de sa vie et elle n'en serait jamais rien. Elles se haïssent, ne savent même pas qu'elles pourraient avoir des points communs. Illia aperçut un sourire vainqueur sur les lèvres de son amie et a présent elle était en rage folle.

« Apprends à grandir et on en reparle, tu veux ? »
Après cette phrase, Maxine vint effleuré l'épaule de Miss Mastrid. Illia était debout pleine de rage. Elle aurait voulut la frapper mais Illia tait plutot passive sauf avec les garçons avec qui elle aimait se battre. Elle regarda Jewel se mit a sourire et s'assit face a elle.


« Bravo quel numéro. J'adore, le ton que tu mets, ce regard glacial... Un véritable numéro de cirque ! Mise a part ça ma belle, je préfère m'amuser a couché a droite et a gauche que d'être une larve. Une grosse larve qui ne voit rien de la vie. Le problème avec toi c'est que tu semble être le nombril du monde pour les autres. C'est ça ton problème avec moi, je ne m'occupe pas assez de tes problèmes. Mais chacun sa merde. T'es problème de fausse suicidaire ne m'intéresse pas. Tu me rapel trop le passé ma grande. Tu devrais évoluer tu es tellement pathétique a croire qu'il n'y a que toi qui a des problèmes. Tu es tellement toi que tu arriverais presque a me faire vomir mon petit déjeuné. Pathétique arrogante nombriliste fatigante méprisante tu n'as rien de bon en toi. C'est tout tu ne vaux pas mieux que la description que tu fais de moi.»

Illia y allait souvent fort avec les mots. Elle aimait ça, cette rage contre Maxine. Elle en avait besoin la détester au plus haut points était sa seule façon de s'amuser. Quand elle regardait cette fille elle se voyait jeune et malade. Elle ne pouvait la supporter. Illia avait un sourire méprisant et Maxine la tête basse. Elle n'allait pas pleurer. Illia savait que cette fille ne voulait pas se montrer faible et Illia aurait détester ça. Illia passa a son tours dans le dos de Maxine pour laver son bol. Elle n'avait rien manger cette histoire était trop importante pour avoir faim. Elle avait un grand sourire et elle n'entendait que la respiration de sa jeune amie. Elle put voir sur l'évier des traces de sang qu'elle se pressa d'effacer.


« Si je dois grandir apprend a nettoyer ton sang derrière toi.»

Illia avait un air méprisant dans sa voix et elle constata que les deux jeunes filles qui étaient dans la pièce adjacente a celle ou Miss Jewel et Miss Mastrid se trouvait, avaient vu toute la scène comme toujours leur altercation serait répété a toutes la confrérie. Ce qui amusait déjà Illia qui allait encore passé pour la méchante fille. Elle se mit a rire un instant avant de s'adresser aux filles. D'un air tout autant méchant que méprisant

« Spectacle finit commères.»

Alors les deux jeunes filles d'un accord et d'un même pas se mirent en route pour aller a l'étage ce qui convenait a Illia et allait sans doute convenir a Maxine qui elle aussi ne semblait pas aimer le public. Sur ce point Illia l'avait surtout fait pour elles deux. Parce que la pub que faisait a chaque fois leur disputes n'était pas bonne pour leur place dans la fraternité. Illia coupa l'eau et vint se mettre a nouveau devant Maxine comme pour la provoquer en duel. C'était plus qu'amusant pour elle.

Comment ils avaient pu la laisser entrer dans cette confrérie ? Elle avait plus le profil pour aller chez les KMO. Lorsque Maxine passa à côté de Illia, elle ne put sentir la fureur de celle-ci. D’un côté ça l’amusait grandement. Le fait de voir sa pire ennemie pleine de rage, oui, il y a de quoi être satisfaite. Mais d’un autre côté, Maxine avait l’impression d’être Illia. Méprisante. Et, cette seule impression, la dégoûtait tellement, qu’elle préférait finalement ne pas rire de la fureur d’Illia. Elle ne put s’empêcher cependant, un petit sourire victorieux. Illia vint s’asseoir en face d’elle avec son air hautain et renfrogné et de décida enfin à sourire aussi, sans doute pour ne pas perdre la face.

« Bravo quel numéro. J'adore, le ton que tu mets, ce regard glacial... Un véritable numéro de cirque ! Mis à part ça ma belle, je préfère m'amuser à couché a droite et a gauche que d'être une larve. Une grosse larve qui ne voit rien de la vie. Le problème avec toi c'est que tu semble être le nombril du monde pour les autres. C'est ça ton problème avec moi, je ne m'occupe pas assez de tes problèmes. Mais chacun sa merde. T'es problème de fausse suicidaire ne m'intéresse pas. Tu me rappel trop le passé ma grande. Tu devrais évoluer, tu es tellement pathétique a croire qu'il n'y a que toi qui as des problèmes. Tu es tellement toi que tu arriverais presque a me faire vomir mon petit déjeuné. Pathétique arrogante nombriliste fatigante méprisante tu n'as rien de bon en toi. C'est tout tu ne vaux pas mieux que la description que tu fais de moi. »

Illia avait été dure. Elle avait été blessante, même. Maxine imagina se démonter quelques secondes, et laisser sortir les larmes qui lui brûlaient les yeux, mais au lieu de ça, elle baissa la tête et se ressaisit. Il ne fallait pas que les mensonges que venait de cracher cette Illia, suffisent à prouver à I. que Maxine était faible. Non, surtout pas. Ce n’était que des mensonges, des mensonges imaginées pour blesser. Le jeux des mots. Un jeux couramment utilisé entre les deux miss. C’était à celle qui dirait les paroles les plus blessantes à l’autre, pour que celle-ci soit la plus blessée. Un jeux inconscient, que involontairement Maxine utilisait. Bien entendu, elle essayait de dire que la vérité. La vérité comme elle la voyait. Et ce qu’elle voyait d’Illia, c’est tout ce qu’elle avait pu lui dire. La fureur remplaça la tristesse, et Maxine releva la tête plus forte que jamais, et bien décidé à lui faire payer ce qu’elle venait de dire. Illia était toujours assise, le regard et le sourire en correspondance totale. Son expression était pour le moins satisfaite. Maxine se leva à demi, et mit les mains sur la table, se penchant légèrement vers sa voisine d’en face.

« Parce que tu appelles ça un numéro ? Mais, c’est qui, qui vient de faire son petit numéro là que je sache ? Je suppose que la larve dans ta petite histoire, c’est moi ? Bien entendu, parce que toi, tu es quoi ? La sainte qui fait tout comme il faut. Laisse-moi encore une fois rire, tu veux. Je crois qu’il faut que je rectifie ton tissu de mensonge là. Premièrement, je ne suis, ni pathétique, ni arrogante, nombriliste, fatigante et méprisante. Et encore moins une fausse suicidaire. A vrai dire, je ne suis pas suicidaire du tout, alors lorsqu’on ne sait rien, on peut, peut être se la fermer, non ? Deuxièmement, il n’y pas que moi et mes problèmes. Il y a aussi tous les autres, dont je passe le plus clair de mon temps à les aider. Oh excuse-moi, il faut peut être que je t’explique la notion, « aider ». Alors tu vois, c’est quand une personne à des problèmes et que toi, tu mets de côté les tiens pour s’occuper de ceux de cette personne. Je te prie de m’excuser si tu ne viens pas de comprendre ce que je te disais. C‘est peut être un peu trop compliqué pour toi. Peut être est ce pour toi, inconnu ? A vrai dire, je m’en fou. Je me fous de toi, et tout ce que tu peux me dire. Je me fous de tes réflexions à la con, qui ne font rien d’autre que de perdre mon temps. En fait, oui, je crois, que tu me fais perdre mon temps. Et puis, pour finir mon deuxième numéro, je te dirais qu’oui, je ne vaux peut être pas mieux que toi, puisque je suis là à de consacrer de mon temps, à te répondre. »

Illia se leva pour aller laver son bol à l’évier. Miss Jewel la suivit du regard. De son regard toujours aussi froid et distant. Maxine avait déjà réfléchi à l’hypothèse que peut être, son comportement était du à ce qui lui était arrivé dans son enfance. Mais, de toute manière à quoi bon essayer de la comprendre, elle n’en valait même pas la peine. Elle s’aperçut sans doute un peu trop tardivement, que la conséquence de son coup de poing sur l’évier était restée. Et comme elle venait de deviner à l’instant, Illia ne manqua pas cette chance.

« Si je dois grandir apprend a nettoyer ton sang derrière toi.»

Comme si ça pouvait l’emmerder sérieusement ! Mais pour qui se prenait-elle ? M. avait une folle envie de se lever brutalement et de lui sauter dessus, non pas pour faire une partie de jambes en l’air comme l’aurait fait sans doute Illia en soirée, mais pour l’étriper.

« Et ça te dérange peut être ? En y repensant, j’aurais peut être du abattre mon poing sur ta face au lieu de frapper ce pauvre évier. En tout cas, vu comment tu as l’air de grandir, je ne suis pas prête à tout nettoyer. Parce que, si je nettoie comme tu grandis, mais je ne te fais même pas dire dans quel taudis je risque de vivre. Pauvre fille, va. »

Sa fureur, s’était tout à coup transformé en une sensation qui la faisait rire. Maxine se mit à rire, mais d’un rire profond et sincère. Ne pouvant plus s’arrêter, elle continua ainsi, à rire, pendant que sa chère Illia devenait jaune. Celle-ci en profita d’ailleurs pour rembarrer les deux jeunes filles à l’autre bout. Celles qui avaient tout vu depuis le début, partirent, et montèrent au-dessus. Maxine cessa de rire, et Illia vint se poster à la même place que tout à l’heure. Face à face, elles s’observèrent un moment ainsi. Maxine avec son aire glacial, et Illia avec son air, comment dire ? Bouillant ? Parce que Maxine, c’était la glace, et Illia le feu. L’un ne pouvait supporter l’autre. Deux tempéraments complètement différents, réunis dans une seule et même confrérie. Autant dire que chez les ZBZ, il y avait parfois du remue-ménage. Une fois, elles s’en étaient même rendues aux mains. Maxine s’en souvient encore. Elles étaient aux vestiaires des filles. La dispute durait depuis déjà une heure, quand Illia eut le malheur de dire « Je me demande comment ta mère a fait pour te rendre ainsi. Elle peut être fière d’elle. Tu es une ratée. ». Illia ayant franchis la ligne rouge, Maxine, prise d’une rage folle, lui avait donné un coup de poing au visage. Tellement fort, que s’il n’y avait pas eut les filles de derrière pour rattraper Illia, celle-ci se fracassait au sol. Illia, toujours par terre, enflée par le coup, s’était plus qu’énervé ce jour-là. Elle avait poussé toutes les filles, et s’était levée, puis, avait frappé à son tour Maxine, ne supportant pas que cette dernière ait osé la toucher. Elles en étaient ressorties, plus remontée que jamais, et couvertes de bleus. En y repensant, Maxine avait honte de s’être rabaissé à ce point à son niveau, mais ne regrette pas d’avoir défendu sa mère. S’il y a bien un sujet sensible, c’est sa mère. Elle revint à la réalité, et décida enfin d’en finir avec Illia.

« Ecoute, je ne vois pas pourquoi tu es venue. Tu as fini ? Tu dégages, point barre. Toujours à faire chier les autres. C’est pas possible, tu ne changeras donc jamais ? Alors, je te le dis, sors de cette pièce avant que ça ne dégénère. Je ne voudrais pas devoir te refaire le portrait – encore une fois. »

La dernière phrase avait prit un ton enjoué et mesquin. Maxine savait que Illia ne sortirait pas de cette pièce toute seule. Trop fière pour s’en aller ainsi. A chaque dispute, c’était d’autres personnes qui les séparaient. Sinon, elles y resteraient jusqu’à ce que l’une des deux ne puissent plus parler.


[hj : C'est pas génial, je ferais mieux la prochaine fois]

C'est a ce moment qu'Illia voulait franchir le pas, lui sauter dessus et la frapper si fort qu'elle aurait la main en sang. Au lieu de ça elle se mordit la lèvre pour faire passer sa douleur. Le problèmes avec elles deux c'est que malgré leurs différences elles se ressemblent, elles ont besoin de s'en prendre chacune a l'autre. C'est leurs seules moyen. Illia était en transe elle ne pouvait se retenir. Il y avait une profonde cruauté entre elles. La confrérie était un immense bordel quand elle se retrouvait l'une face à l'autre. La provocation d'Illia était le moyen pour que tout le monde la laisse tranquille. Il n'y avait que cette peste. Cette Maxine qui s'en prenait a Illia et rien que pour ça elle était suicidaire. Maxine avait l'air si fier. Ce qui amplifiait le dégout profond d'Illia. Il faudrait une loi contre elle. Elle avait tout de ces artiste ratés nombriliste méprisant. Pourquoi a t-il fallut que les deux miss se retrouvent dans la même confrérie...

« Et ça te dérange peut être ? En y repensant, j’aurais peut être du abattre mon poing sur ta face au lieu de frapper ce pauvre évier. En tout cas, vu comment tu as l’air de grandir, je ne suis pas prête à tout nettoyer. Parce que, si je nettoie comme tu grandis, mais je ne te fais même pas dire dans quel taudis je risque de vivre. Pauvre fille, va. »

Le souvenir de cette baston entre elle dans les vestiaire fit sourire Illia. Elle se souvint alors qu'elle avait était très dur avec Maxine en parlant de sa mère, rageuse M. lui avait mit son poing en pleine face, Illia avait finit a terre rageuse elle s'était relevé aussi vite que possible et a son tours elle avait laissé une marque sur le visage de Jewel. Cette bagarre avait finit par du sang et une séparation forcait entre les deux filles. Ce jour là Illia avait réalisé que Maxine se battait bien. Suite a ses mots Maxine se mit a rire un rire qui donna a Maya une couleur bien jaune. Illia vint se poster à la même place que tout à l’heure. Face à face, elles s’observèrent un moment ainsi. De la provocation de l'envie de la fureur les deux jeunes femmes avaient besoin de prises de têtes c'était pour Illia un peu comme une drogue. Maxine avait l'air dans ses pensées et Illia l'observait attentivement. Elle finit par ouvrir la bouche , elle avait sans doute dur réfléchir a ses prochains mots.


« Ecoute, je ne vois pas pourquoi tu es venue. Tu as fini ? Tu dégages, point barre. Toujours à faire chier les autres. C’est pas possible, tu ne changeras donc jamais ? Alors, je te le dis, sors de cette pièce avant que ça ne dégénère. Je ne voudrais pas devoir te refaire le portrait – encore une fois. »

Illia prit d'un rire passa une main dans ses cheveux avant de se reprendre. Maxine était soit très très blonde soit n'avait rien comprit a la vie. Jamais Illia ne quitterait cette pièce. A moins qu'on l'oblige, qu'on les sépare. Illia s'avanca vers Maxine et se mit a dire d'une voix douce calme.

« A quoi bon changer ? Devenir aussi triste que toi? non merci. Tu ne me connais pas Maxine. Il n'y a pas que toi qui résout les problèmes des autres, arrete d'être nombriliste a ce point, tu me fais mal au cœur. J'ai sans doute autant que toi lma notion du verbe "aider en tête". Tu es tout ce que je déteste mais ce qui est bien, c'est que tu es la seule ma grande. Tu es tellement pathétique et fatigante. »

C'était la première fois qu'Illia utilisait le prénom de Maxine pour lui parlait. Elle était calme se qui étonna M. Cela se voyait sur son visage et Illia l'avait remarquée. Elle resta a quelques centimètres de son visages encore un moment avant de lui chuchoter.

« Tu sais quoi, je ne voudrait jamais être toi, j'ai tellement l'impression que tu es un fantôme une personne que personne ne voit que tout le monde laisse de coté car ils ont d'autres activités a faire. Je suis peut être une salope une conne et tout ce que tu veux... Mais jamais je n'échangerais ma vie pour la tienne plutôt mourir. Tu fais pitié c'est tout. Tu es unique dans ton genre. Je ne suis pas une sainte. Non, mais moi je ne crois pas etre indispensable pour les autres en disant que j'aide tout le monde et tout le temps au point de ne plus avoir de propre vie.»

Iliia comme a son habitude avait dit tout ça d'une traite et avec délicatesse. Elle avait le don tout comme Maxine pour appuyer là ou ça fait mal. Elle respira un grand coup et se recula. Tout en prenant la cigarette qu'elle avait mise a son oreille. Elle s'enfume et elle se cassera plus tard. Maxine avait le regard sombre peut être leur entretient finirait-il en baston.