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Pearl Sarah Montgomery « On part, un jour, parce que l'on veut croire qu'un regard peut triompher des bornes de la pensée. » _PARTAGER_

informations générale

date de naissance : 13 aout 1989
originaire de : New Haven. Connecticut.
nationalité : Americaine.
situation amoureuse : Célibataire
moyenne scolaire sur 100 : 78 sur cent
études en cours : Littérature

le dossier confidentiel

description physique : Je ne suis rien d'autre qu'un petit bout de femme de 20 ans, avec tous les charmes de son age, la jeunesse, la fraicheur et la beauté. Et, dont le plus grand crime est de porter de la haute couture. Je mesure a peine un mètre 70 pour environs 55 kilos. On ne le croirait pas comme ca mais, je mange à ma faim mais, je reste très svelte, tout simplement. Notamment grace aux sports que je pratique assez quotidiennement. Nataion, jogging, yoga... Tout ces sports me permettent d'évacuer le trop plein de calories et de garder une silhouette fine et svelte. Concernant mon visage, j'ai un petit minois en forme allongé et de petites taches de rousseur sous les yeux que j'aime a cacher avec du fond de teint ou du blush. Mon nez est parfaitement droit, quoi que quelque peu retroussé. Mes lèvres sont légéremment pulpeuses et très bien dessinées. Mes yeux en forme d'amande sont d'une couleur des plus envoutante, d'un bleu tirant légeremment sur le vert sur le bord des pupilles. Je m'épile quelque peu les sourcils mais, juste pour leur donner la même forme de chaque coté... Quant à ma chevelure, je porte de longs cheveux châtains me tombant en cascade dans le dos et faisant ressortir mon visage clair. Je ne les attache quasiment jamais, a part pour faire du sport et, en général, ils sont coiffés en bataille et soigneusement arrangés avec du gel. En ce qui concerne le maquillage, en règle générale, étant donné que je n’ai pas un physique des plus difficiles, je ne porte que du fond de teint afin de cacher les impuretés de sa peau. Et oui, il ne faut pas rêver, je n'ai que 20 ans et a cet âge la, l'acné ne fait pas encore totalement partit du passé. Quant à mes lèvres, je les maquille d'une légère pointe de gloss afin de les faire ressortir et briller a la fois. Pour mes yeux, c'est la même chose. Je ne porte jamais de maquillage trop voyant. Une légère touche d'eye liner et le tour est joué. Enfin, quelque fois, j’y ajoute un trait de crayon, voire un peu de fard a paupière mais, cela reste très rare.

description de caractère : Certains pensent que je suis la douceur même mais, je pense que c'est faux. Je ne suis pas parfaite. Il ne faut pas croire que je n'ai jamais faite aucune erreur car, ce serait faux. Comme tout le monde, j'ai mes faiblesses, je ne suis pas un modèle de vertu... Modeste ? Oui... Peut être! Et alors ? Je n'aime pas que l'on me dise que je suis parfaite car j'ai moi aussi des défauts, j'ai moi aussi commis des erreurs, j'ai moi aussi des faiblesses... Comme tout le monde. Bien sur, j'essais de faire bonne figure, de paraitre digne en toutes circonstances. Bien sur, je suis quelqu'un d'aimant, d'honnête, de droit et de fidèle. J'incarne la douceur et la compréhension, je sais écouter et conseiller. Je suis très réfléchie, franche et honnête. Mais et alors ?! J'ai tellement de défauts a coté de cela. J'ai tendance a être jalouse et possessive. Quand un garçon sort avec moi, il ne doit parler a aucune autre fille que moi. Ca me déchire le cœur quand je vois celui que j'aime proche d'une autre fille. Je l'imagine lui dire les mêmes choses que celles qu'il me dit. Lui sourire comme il me sourit a moi. La regarder avec amour et envie... Et cela me fait mal. Je prends sur moi car je ne suis pas du genre a faire des crises de jalousie pour rien mais, je finis toujours par provoquer une dispute malgré tout. Et oui, au fond, je suis une vraie emmerdeuse... Enfin, je me comporte de la même façon envers mes amis les plus proches de toute façon.
Je cherche toujours a être parfaite, c'est surement du a mon éducation. Toujours être la meilleure, la plus belle, la plus gentille possible. Toujours donner une bonne image de soi, savoir se mettre en valeur. J'ai peur que les gens se lassent de moi, qu'ils me laissent tomber alors je fais mon possible pour leur être utile, pour être la pour eux. Comme ca, peut être qu'ils ne m'abandonneront pas comme ma mère l'a fait... J'accorde facilement ma confiance aux gens, je suis très ouverte et peu timide. Enfin, j'ai quelques réserves et je ne parle pas sans cesse pour ne rien dire telle une pipelette mais je vais facilement vers les gens et je parle facilement. Je suis polie, très peu de vulgarités sortent de ma bouche.
Je crois fortement en l'amour. Je veux dire, je crois que je continue de croire que le prince charmant existe, je continue de croire en l’âme sœur. Je suis une éternelle romantique en somme. Je crois en l'amour, le vrai, le grand amour. En amour, je peux tout donner, accepter toute sorte de sacrifices... Et pourtant, qui parle d’amour, parle de dépendance. Et, ce mot me fait peur. Qui dit aimer quelqu’un dit risquer de le perdre et donc souffrir. Et j'ai tellement peur de souffrir, tellement peur d’être abandonnée, tellement peur de me retrouver seule... J'ai tellement besoin de lui pour me rassurer, pour me protéger. Enfin, non… Oubliez cela. Je n’ai plus besoin de lui. Plus maintenant. Et pourtant, je ne sais pas être indépendante, j’ai sans cesse besoin qu’on me rassure.
Je suis une fille sensible et douce... Mais, il ne faut pas me pousser a bout, je sais me défendre et je suis têtue, très caractérielle et je ne me laisse pas faire aussi facilement que l'on pourrait le croire. Ce n'est pas parce que j'ai l'air frêle et sans défense que je le suis. Moi aussi je sais pousser un coup de gueule quand il le faut. Je sais me défendre et défendre mes intérêts... En fait, j'essais bien souvent de sauver les apparences, de paraitre sure de moi mais, je suis tout le contraire. Je n'ai pas du tout confiance en moi, je doute de tout et ce constamment. J'ai peur de me retrouver seule, j'ai peur de l'avenir, j'ai peur de la vie... Je passe mon temps a prendre sur moi, a sourire, a faire semblant... Mais, je me sens si faible et fragile au fond...

orientation sexuelle : Hétérosexuelle

bizutage des bleus

confrérie souhaité : zeta beta zeta
motivation pour la confrérie : Je ne voulais faire partie d'aucune sororité. Tout cela n'est pas vraiment pour moi. Mais mon père est arrivé sur son beau cheval blanc et, il a fait pression de toute part, rappelant combien il était riche, combien je suis mignonne, combien mes yeux sont magnifiques, combien mes vétements sont plaisants et achetés dans les plus beaux magasins. Pour ma part, je me suis contentée d'afficher mon plus beau sourire et de suivre le mouvement. Si demain, je devais me retrouver sans fraternité, cela ne me poserait pas le moindre problème ceci dit.

petites questions entre amis

ton meilleur ami te fais des avances, tu fais quoi ? : Je me réveille pour réaliser qu'il ne s'agissait que d'un rève. Sincéremment, je céderais à ses avances parceque je... Peu importe de toute facon hein. Mon meilleur ami ne fait plus partie de ma vie aujourd'hui de toute facon.
embrasserais-tu la personne à côté de toi ? : Pourquoi pas? Après tout, pourquoi se priver.
déambuler nu(e) dans yale, ça te fait peur ? : Je ne suis aucunement incapable de faire ce genre de choses, je suis très à l'aise avec mon corps mais, ma famille à une réputation à tenir alors, j'éviterais ce genre de comportement bien que cela ne me fasse pas peur en soi.
plutôt Vodka ou Redbull ? : Martini. Comment ca cela n'était pas dans les options?
genre, t'as combien de contacts facebook ? : Pas tellement à dire vrai. Les gens me connaissent, savent qui je suis mais, je n'ai pas tant d'amis que l'on pourrait le croire.
tu peux nous dire quelques chose en italien ou en espagnol ? : Te quiero.
chante une chanson française, si t'en connais une... : Je t'aiiiimeuh. Comme un fou, comme un roi, comme un homme... Que je ne suis pas!
ton gros mot préféré ? : Et merde!
tu es du genre à coucher au premier soir ? : Alors là non, assurément pas.
cap ou pas cap de draguer le prof d'économie ? : Cap. Tant que l'on ne me demande pas de coucher avec!
t'as envie de moi maintenant là, tout de suite ? : Laisse moi rire mon coco!
je t'emmerde, tu me réponds quoi ?: D'aller te faire voir!
le mot de la fin ? : ...

la réalité vraie

ton prénom, ou pseudo ou les deux : Stace. Oui, encore. Mais, j'aime tellement ce forum qu'il me fallait un double compte.
ton âge ou l'âge que t'as pas (a) : 62 ans (a)
note ce desing sur, 10, 100 ou 1000 : 1000(...)000
avatar : Peyton List
pourquoi ce forum & pas un autre ? : & pourquoi pas?
question stupide; starsky ou hutch ? : Les coco pop's;c'est nul, on veut de chocogrenouille !
le mot de la fin ?

histoires générale :
PART ONE _ WELCOME IN HELL

La pluie s'abattait sur le carreau. Les mains crispés sur le drap blanc, Elizabeth hurlait de douleur. J'avais décidé de pointer le bout de mon nez. Il était a peine six heures du matin et, papa n'était pas là. Elle criait son nom mais, il ne venait pas. Elle était seule. Seule avec toute une armada de médecins. Et moi, je la faisais souffrir. Le médecin lui disait de respirer plus lentement, de se calmer. Maman était en colère, elle avait mal. Mais pas seulement a cause de moi. Où était il ? Pourquoi n'était il pas là ? Qu'avait il de mieux a faire que de voir sa fille unique venir au monde ? Elle se posait tant de questions. Toutes ces questions qu'elle oublia tout aussi vite quand j'eus poussé mon premier cri. Son visage crispé par la douleur et la colère se transforma alors en un doux sourire. Elle tendit les bras vers moi mais, deja l'infirmière m'emmenait plus loin afin de me rendre plus présentable. Quelques minutes plus tard, j'étais enfin dans les bras de la personne qui m'avait donnée la vie. Mon père n'était toujours pas là et, il ne viendrait pas. Pas aujourd'hui. Il avait bien plus important a faire.

PART TWO _ JUST A LITTLE GIRL

5 ans. L'âge de l'innocence, l'âge où l'on comprend a peine ce qui nous arrive quand cela nous arrive. L'âge où l'on ne comprend pas encore totalement le monde extérieur, l'âge où tout autour de nous nous parait tellement grand et loin d'être a portée de nos mains. L'âge où nos parents sont encore des Dieux pour nous. Ma mère et mon père étaient deux êtres aimants. Ils le sont toujours aujourd'hui encore mais, de façons différentes. A cette époque, ils s'aimaient entre eux et rêvaient de m'offrir une petite sœur ou, un petit frère mais, ma mère avait quelques problèmes de fécondité depuis la grossesse qui m'avait donné le jour. Elle avait fait une fausse couche trois ans après ma naissance mais, ne désespérait pas de parvenir a donner naissance à un autre enfant. A dire vrai, elle avait toujours rêvé d'avoir une grande famille et, mes parents gagnaient assez bien leur vie pour se permettre de réaliser ce rêve. Mon père surtout qui avait amassé une petite fortune dans le domaine de l’immobilier. Bien sur, tout n'était pas rose tous les jours. Mes parents se criaient sans cesse dessus, se disputant pour un oui, ou pour un non. Tous les prétextes étant bons pour une crise de nerfs à la maison. Mais, des qu'ils se disputaient, ils revenaient bien vite l'un vers l'autre et, je les voyais comme un couple de conte de fées, peu importe les embuches, rien ne pouvait nuire à leur amour... Enfin. C’était ce que je croyais. Ce que je voyais avec mes yeux de petites filles.

PART THREE _ IT'S TIME TO GROW UP

Il est quatorze heures, un samedi après midi. J'ai onze ans et je vis dans une grande maison, quelque part dans le Connecticut. Onze ans et je joue toujours aux Barbies. Parce que papa ne veut pas que j’invite ma meilleure amie à la maison, il dit qu’elle n’est aps assez bien pour moi. Je ne comprends même pas ce qu’il entend par là mais moi, je ne veux inviter aucune autre copine qu’elle. Alors je préfère jouer avec mes poupées. Celle que j'ai à la main, j'essais de l'installer coté passager dans la Ferrari rose pastel de Ken mais, il n'y a rien a faire, elle ne veut pas s'y asseoir. Comme si elle ne voulait pas aller faire un tour avec Ken. Saleté de Barbie. Je la saisie entre mes deux mains et, la regarde. Une larme se forme au coin de mon œil gauche, mes lèvres se mettent a trembler. Et, d'un murmure, je demande à ma Barbie de pardonner à Ken. Peu importe ce qu'il lui a fait, peu importe combien elle est en colère contre lui, elle doit lui pardonner, elle doit rester avec lui...

Je ne suis qu'une petite fille de onze ans. Une petite fille qui ne comprend pas encore grand chose à la vie et aux histoires d'amour, une petite fille qui n'a personne a qui se confier, qui voudrait juste avoir sa meilleure amie à ses cotés mais, qui n’en a pas le droit. Une petite fille qui veut juste que son papa et sa maman arrêtent de se disputer, arrêtent de se crier dessus, arrêtent de faire chambre a part... J'ai mal. Les entendre crier l'un sur l'autre me cause d'avantage de peine que je n'en ai déjà a force d’entendre papa me dicter la conduite que je dois avoir. Cela non plus maman ne l’apprécie pas. Mais, je ne suis pas sure que ce soit a cause de mon malheur qu’elle lui en veuille. Tous deux s'en fichent de cela. Et moi, je n'ai que mes poupées a qui parler, c'est a elles que je confie mes peines et mes douleurs mais, elles ne comprennent pas. Elles ne peuvent pas me répondre et pourtant, elles sont mon seul soutient. Une petite larme perle le long de ma petite joue ronde.

_ Pearl Sweetie, j'aimerais que tu descendes au salon s'il te plait!
_ Pourquoi maman? Je veux pas.
_ Obéis mon ange.
_ Tu me promets que tu ne vas pas crier?
_ Descends!

Je repose alors ma poupée sur la moquette rose de ma chambre avant de me relever, craignant ce qui allait se passer. Ce n'était pas souvent que ma mère me convoquait au salon. En général, c'était pour parler de choses sérieuses et importantes. Une fois, cela avait été pour me gronder d'avoir cassé le vase en porcelaine de chine de mamie qui ornait la table basse, une autre cela avait été pour parler du lieu de nos prochaines vacances et, la dernière fois, cela avait été pour me dire que papa ne dormirait plus dans la même chambre qu’elle.

Le cœur battant, je descendais le petit escalier en bois jusqu'à la pièce principale de notre maison de trois étages. Mon père était là, assis dans l'immense fauteuil en cuir de couleur noir, l'air grave, main jointe sur ses cuisses. Quand il me vit apparaitre, il esquissa un léger sourire qui n'effaça pas son air grave. Quant à moi, ce fut un léger sourire que j'affichais avant de me mettre a courir vers lui aussi vite que mes petites jambes me le permettaient. Il se leva alors pour me soulever dans ses bras. Mon papa, c'était mon héro, il était si grand, si fort, si beau. Il ne passait plus beaucoup de temps à la maison avec moi et maman ces derniers temps, préférant être à son travail et, il me manquait horriblement. Ma mère nous regardait, silencieusement et, elle esquissa un sourire triste avant de se mordre la lèvre inférieure, comme si elle retenait ses larmes devant le tableau que nous lui offrions puis, elle s'approcha de nous et s'agenouilla afin d'être à ma hauteur. Elle attrapa alors ma petite main dans la sienne et, je pus sentir que celle ci tremblait. D'une voix douce, elle prit alors la parole tandis que mon père me serrait tout contre lui.

_ Tu sais combien papa et maman t'aiment mon petit ange? Tu sais que, tu ce que nous faisons c'est pour ton bien. Tu sais que quand on se dispute, ce n'est pas de ta faute et que, cela ne remet pas en cause tout l'amour que nous avons pour toi!
_ Oui, je le sais maman!
_ Alors tu devras comprendre que... Enfin je sais que...
Elle se tut, visiblement émue, cherchant ses mots. Des mots qu'une enfant de onze ans, qui vivait dans une bulle de protection et bercée d’illusions, pourraient comprendre sans verser des torrents de larmes. Mais, elle ne sembla pas les trouver. Elle tourna alors la tète vers la fenêtre avant de lâcher ma main pour porter la sienne à sa bouche, tentant vainement de retenir ses émotions. Elle ne voulait pas que je la voix pleurer, elle ne devait pas savoir que, chaque nuit, je l'entendais pleurer, seule dans sa chambre et, que je l'imitais, enroulée dans mes couvertures.

_ Ce que maman essai de te dire c'est que quoi qu'il arrive, nous t'aimerons toujours. Peu importe la distance, peu importe les disputes, jamais l'amour qui nous lie ne disparaitra.
_ Pourquoi tu me dis ca papa?
_ Parce que maman va nous quitter mon cœur, elle va aller vivre ailleurs.
_ Quoi? Mais pourquoi?

Des larmes se formèrent au coin de mes yeux alors que je m'étais tournée vers lui, oubliant jusqu'à la présence de ma mère. Il ne répondit pas, se contentant de se relever puis, il lança un regard vers ma mère avant de quitter la pièce. Elle s’effondra, en larmes. Moi, je ne comprenais pas, je ne réalisais pas. Tout ce que je comprenais en cet instant, c'était que mes parents étaient tristes et, que je ne verrais plus mon maman. Mais, je ne savais pas combien tout cela serait dur, je ne comprenais pas combien elle me manquerait, combien ce serait dur a pour moi de vivre avec la nouvelle compagne de mon père, de le supporter lui, jour après jour, m’entendant me dire que je n’étais pas assez bien. Je ne réalisais pas vraiment ce que l'amour était, pas plus que le divorce. Je ne comprenais rien a rien mais, je savais que c’était quelque chose de douloureux.

Un mois plus tard, ma mère disparaissait. Pour ne plus jamais donner de nouvelles. Un mois après, une nouvelle femme prenait sa place dans le lit de mon père, dans nos vies à tous.

PART FOUR _ BECAUSE OF YOU

Me réveiller dans ses bras. J’en avais si souvent rêvé. J’avais tant espéré que cela arriverait un jour. Cette nuit dans ses bras, contre sa peau fut aussi magique que ce que j’avais espéré. J’avais ouvert les yeux aux premières lueurs du jour, repensant à la soirée de la veille. Au moment où il était arrivé, son visage déconfit, sa froideur, sa façon d’éviter la conversation. Ma résignation, mon envie de rester à ses cotés. Mes paroles qui m’échappent. La situation qui prend une tournure inattendue. Des sentiments inavoués enfin révélés. Nos lèvres qui se scellent. Des baisers échangés. Sa main sur ma peau, sur mon corps. Ses lèvres dont le contact est si doux et mon réveil, le sourire aux lèvres. Le bonheur flottant tout autour de moi. Puis, soudain… Tout qui dérape. Je me montre plus curieuse que je ne l’aurais du. Il se montre plus irrespectueux que je ne l’aurais cru. Mon cœur qui se brise. Son mépris. Ma gorge qui se noue alors que des sanglots se forment aux coins de mes yeux d’un bleu bien plus intense ce matin là. Des yeux rougis par des larmes naissantes. Cela ne me regardait pas. Je ne… Je ne comptais pas à ses yeux. Pas plus qu’une autre. Une parmi tant d’autre. Une fille facile qui s’était presque jetée dans ses bras, dans ses draps. Mon cœur enserré dans un étau alors qu’une première larme glisse sur mes joues. Je ne supporte même pas l’idée de pouvoir croiser son regard. Je me sens tellement mal. J’ai tellement honte. Je tremble de tout mon être. Je regarde partout autour de moi pour fuir son regard alors que je sais pertinemment qu’il ne doit pas me regarder. Et pourtant… Je ramasse mes affaires. Je me dirige vers la porte, un torrent de larmes m’embrumant soudainement la vue. Je m’immobilise sur le pas de la porte, ma main sur la poignée, hésitante. Mes lèvres tremblent. J’attends un signe de sa part, une parole, une quelconque apparence de regret mais, rien ne vient. Pas un mot. Alors, résignée, tète baissée, mes joues inondées, je quitte la pièce, pour ne plus me retourner vers lui. Plus jamais. Ignorant à présent la moindre de ses paroles, la moindre de ses pathétiques tentatives pour revenir vers moi. Mon cœur est lourd. Mon cœur est brisé. Mais, c’est ma fierté qui en a pris le pire coup. Qu’il me dise qu’il ne me voyait pas autrement que comme une amie, j’aurais pu comprendre. Mais, m’humilier de la sorte. Coucher avec moi pour me relayer au rang d’une énième conquête. Comment pouvait-il encore oser essayer de m’adresser la parole ? Comment… Et pourtant. Il me manque tellement. Je ressens comme un vide dans ma vie, comme si elle avait perdu toute saveur et… J’ai envie de lui pardonner, de revenir vers lui mais, je ne sais pas si j’en serais vraiment capable…

Merci vous deux (a)

Je ne te remercierai jamais assez d'avoir pris le rôle.
Re-bienvenue <3
J'adore déjà le début de ta fiche (a)

re-Bienvenue
& Bonne continuation pour ta fiche =)

Keagan •• De rien. En plus, c'est bien la première fois que je voyais Peyton proposée en scénario donc bon, je ne pouvais pas résister

Chanel •• Vas vraiment falloir que tu arrètes de m'appeler comme ca
M'enfin jt'aime quand mème (a)

Nelwynn •• Merciiii (a)

Aileen •• Merci pour l'acceuil (a)

Luke •• Elle a surtout des roles de guest dans des séries donc, c'est normal que tu ne connaisses pas trop je pense (a)
Brefouille, merci

Vouiii c'était elle, la mannequin

Bref. Je crois avoir finie ma présentation, en éspérant que cela convienne (a)

bienvenuue à toi
j'aime vraiment beaucoup ton avatar

---

ahhh, oui, je me rappelle l'avoir vue dans OTH =o :)
j'aime ta fiche
tu es validée : )
cependant, nous n'acceptons plus les ZBZ ni les ΣΙΔ =/, désolée.

Bref, n'oublie pas d'envoyer ton(tes) secret(s), des trucs qui dérengent ton personnage etc. par message privé à Junk-Machine, si ce n'est pas déjà fait! merci! :)
Je vais t'accorder tes points quand tu auras sélectionné une autre confrérie. (: N'oublie pas de réserver ton avatar!

amuse toi bien sur JM : D

Jsuis en mode grosse flemme de changer de compte (a) -->[]
Donc merci pour la validation deja (a) ensuite, tu peux l'ajouter à 'sans fraternité' s'il te plait vu que le personnage ne correspond à aucune autre confrérie au niveau de son caractère et de sa situation sociale.

Le secret sera envoyé ce soir (a)

Billie : Merci pour le vava bien que tout le mérite revienne à la beauté de Peyton et au talent de Cherrytree <3