WARDROVE - sweet escape. TERMINÉ.

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NINABETH WARDROVE what the hell?

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informations générale
date de naissance : 20 avril 1988.
originaire de : Corpus Christi, Texas.
nationalité : Américaine.
situation amoureuse : Célibataire.
moyenne scolaire sur 100 : 82.
études en cours : Droit.

le dossier confidentiel
description physique : Je ne prétendrai pas être particulièrement plus belle qu'une autre, tout comme je ne l'ai jamais fait au cours de mes dix-neuf années d'existence. Si être jolie se résume à être mince, grande, posséder une peau légèrement hâlée et un parfum naturel de pêche, je dois avouer que je suis, comme des millions d'autres femmes, très jolie. La beauté est relative, pour moi comme pour les autres. Je ne me trouve pas particulière physiquement, d'autres m'ont dit le contraire. Je fais donc partie du lot de femmes qui ont été catégorisées comme «jolies». Il paraît que je n'ai pas à me plaindre, puisque depuis ma tendre enfance, je possède une longue chevelure noire qui tombe continuellement en quelques fines mèches sur mes épaules. Je ne suis ni maigre ni mince, j'oserais plutôt dire que je suis frêle de nature. J'ai une silhouette svelte et élégante qui n'a rien à voir avec mon régime alimentaire, puisque je ne fais absolument pas attention à ma ligne. J'ai la chance de pouvoir m'empiffrer à volonté sans engraisser. J'ai de jolies petits yeux, deux iris noisette cernées de noir. Les traits de mon visage sont doux, quoi que j'aie eu droit à une mâchoire plutôt large à la naissance, héritage de mon père. Je suis grande, comme je l'ai toujours été. Je dépasse de quelques centimètres la plupart des femmes qui ont une taille plutôt standard, puisque la mienne ne l'est pas. Mon sourire se fait tantôt taquin, tantôt enjôleur lorsqu'il est pris de pair avec mon petit nez mutin. Mon visage est rond, mes lèvres pulpeuses, ce qui semble en attirer plusieurs. Comme je l'ai dit, je n'ai jamais cru être l'une des plus belles créatures que Dieu ait créées, toutefois, je pense mériter les regards que les hommes m'accordent quand j'ai passé deux heures à me préparer pour une soirée. J'aime qu'on pose son regard sur moi, mais je n'en fais pas un cas. Je suis coquette et c'est principalement pour ma satisfaction personnelle que je le suis. J'aime me sentir belle et bien dans ma peau. Je possède un bon lot de maquillage et de petites crèmes parfumées, mais je n'en abuse pas comme certaines. Mascara, ombre à paupières, eyeliner et légère poudre bronzante ne me quittent jamais, mais tout reste très simple. Enfin, je fais souvent des exceptions lorsque je sors. Que pourrais-je dire d'autre, sauf peut-être de constater par vous-même? Il n'y a pas meilleur juge que soi-même.

description de caractère : Ne vous méprenez pas, je vous assure que je suis quelqu'un de bien. Ouais, une chic fille, dirais-je. Bien rangée, bien éduquée. Une fille bien quoi. J'ai mes défauts, un sale petit caractère et une répartie franchement inégalable, mais je suis une fille bien. J'ai eu mes quelques petits écarts, des «crisettes» d'adolescente, mais sans plus. Et ce que mes parents ne savent pas ne leur fait pas de mal. Je pourrais facilement dire que je suis quelqu'un de simple. Simple et zen. Certes, je suis peut-être un peu trop franche et directe, mais je ne parle pas pour ne rien dire. En toute modestie, j'ai souvent raison. J'ai une certaine sagesse que j'ai acquis je ne sais trop quand et je ne sais trop où. C'est sans doute pourquoi j'ai une bonne répartie, généralement. Quand je ne sais pas de quoi je parle, je ferme ma gueule. Je ne suis pas du genre à me laisser ridiculiser, alors j'évite les occasions qui pourraient se présenter. On m'a souvent dit que j'étais une sorte de rayon de soleil, une bouffée de chaleur, d'oxygène et j'admets que je suis pas le genre de fille à broyer du noir et à laisser les autres le faire. Si un jour vous m'entendez me plaindre pour une connerie, prenez ma température s'il vous plaît, parce que je suis probablement gravement malade ou carrément en crise de folie. J'ai toujours apprécié chaque petite chose qui s'était offerte à moi et n'ai jamais regretté ce que je n'avais pas. « Quand Ninabeth Wardrove se plaint, c'est qu'une grave injustice a été commis », disait mon père, pour se moquer gentiment de moi. Je n'étais pas le genre de pré-ado transpirant les hormones par toutes les pores de la peau à demander la permission pour rentrer à 23h, à 13 ans. Je le faisais, et mes parents ne disaient rien. Parce que ça n'aurait servi à rien. Ils ont laissé ma petite crise passée, et tout est rentré dans l'ordre. Je suis alors devenue la jeune femme responsable et fiable qu'ils aiment tant. Je ne suis pas si responsable, encore moins fiable, que ça, mais ne leur dites pas. Ils en seraient peinés, et moi aussi par la même occasion. J'aime faire la fête. J'aime me retrouver au beau milieu d'un sacré bordel, genre une bagarre entre deux mecs bourrés qui tapent dans le vide. J'aime danser sur une piste de danse toute la nuit alors que je sais pertinemment que j'ai un cours de cinq heures à 8h00 le lendemain. La nuance avec moi, c'est que je n'en abuse pas. J'ai trouvé mon juste milieu, et depuis, je pense que j'ai emprunté le bon chemin.

orientation sexuelle : Hétérosexuelle jusqu'au bout des ongles.

bizutage des bleus
confrérie souhaité : ZBZ ou sans fraternité
motivation pour la confrérie : ZBZ: Parce que c'est la confrérie qui me correspond le mieux. Peut-être un peu trop peuplée d'hypocrites bourgeoises, mais c'est le seul moule dans lequel je peux me permettre d'entrer.

Sans fraternité: Comme quoi dans la vie, on a pas toujours ce qu'on veut...Je ne crois pas pouvoir mener le mode de vie de toutes ces personnes qui vivent selon ces critères pré-établis.

petites questions entre amis
ton meilleur ami te fais des avances, tu fais quoi ? : Bonne question. Je me dirais probablement qu'il est ivre et qu'il ne se souviendra plus de cet épisode humiliante de sa vie aussitôt le lendemain arrivé.
embrasserais-tu la personne à côté de toi ? : Si je suis dans un épisode de ma vie, genre un vendredi soir, où je me lâche, probablement. Si c'est un homme et qu'il est plutôt bien foutu dans son genre, hein.
déambuler nu(e) dans yale, ça te fait peur ? : Pas vraiment.
plutôt Vodka ou Redbull ? : Vodka. J'ai déjà fait un joyeux mélange des deux et le lendemain n'a pas été très joyeux, justement.
genre, t'as combien de contacts facebook ? : 464, j'suis hot, hein?
tu peux nous dire quelques chose en italien ou en espagnol ? : Carrément pas.
chante une chanson française, si t'en connais une... : Ça fait rire les oiseaux, ça fait chanter les abeilles, ça chasse les nuages et fait briller le soleil...
ton gros mot préféré ? : Pouet pouet. Non, je sais pas, fuck?
tu es du genre à coucher au premier soir ? : Ça m'arrive. Pas toujours, mais ça m'arrive.
cap ou pas cap de draguer le prof d'économie ? : Maintenant que tu me le demandes, c'est vrai qu'il a d'assez jolies fesses...
t'as envie de moi maintenant là, tout de suite ? : Si tu me dis que t'es genre Brad Pitt, ouais.
je t'emmerde, tu me réponds quoi ?: Go fuck yourself. Ça te va?
le mot de la fin ? : The end. Tan tan tan tan!

la réalité vraie
ton prénom, ou pseudo ou les deux : Caroe.
ton âge ou l'âge que t'as pas (a)[/b] : 17 ans.
note ce design sur, 10, 100 ou 1000 : 100000000 x 10³².
avatar : Audrina Patridge
pourquoi ce forum & pas un autre ? : Parce que j'ai toujours la vilaine habitude de fouiner dans les scénarios, et que je finis toujours par me faire un deuxième compte parce que je peux pas résister.
question stupide; starsky ou hutch ? :
le mot de la fin ? The end. Tan tan tan tan!

bienvenue parmi nous (a)

histoires générale :
Croyez-le ou non, ma naissance fut la plus tumultueuse de la famille. Dans ma vie, je me suis toujours démarquée, mais certainement pas autant que le jour où j'ai pointé le bout de mon minuscule nez dans ce monde d'écervelés. Evelyne, ma très chère maman enceinte jusqu'au cou et aussi grosse qu'une demi baleine, était, à l'époque (quoi qu'encore un peu aujourd'hui), une jeune femme, comment dire, excentrique? Même si elle savait très bien qu'elle allait accoucher d'un jour à l'autre, peut-être l'après-midi même, on pouvait la voir se balader dans tout Corpus Christi, à faire des courses, à acheter des bocaux de cornichons (sa nouvelle découverte miracle durant sa grossesse), à verser ses eaux, un beau matin de mars, dans l'allée huit du supermarché tout près de chez nous... Vous ai-je déjà dit que ma mère était excentrique? Ce matin du 20 avril 1988, ma mère s'est carrément mise à hurler, propulsant sa voix extraordinairement puissante à travers tout le magasin. Ensuite, ce fut la course. Pas question de se laisser porter par les quelques âmes charitables qui s'étaient proposées, Dieu que non! C'est donc en courant, complètement hystérique à l'idée que peut-être je puisse glisser d'entre ses jambes, que ma mère s'est rendue jusque chez nous. Enfin, jusqu'ici, cet épisode de ma vie ne me concerne pas trop, mais cela devient plus inquiétant une fois à l'hôpital. Ma vie a débuté de façon relativement catastrophique. Pour les médecins, c'était sans doute banal, mais pour ma mère qui accouchait de son premier enfant, c'était tout autre chose. Le travail avait commencé, ma mère hurlait et écrabouillait la main de mon père qui suait à grosses gouttes, au bord de l'évanouissement. Rien de plus banal pour une famille aussi peu banale que la mienne. Le moment de m'expulser en dehors de son ventre vint et quand je sortis, ma mère qui s'attendait à un joli bébé hurlant de santé, vit...un bébé tout bleu, anormalement muet. J'avais le cordon enroulé autour du cou. C'est drôle, n'est-ce pas? Moi, j'en ris aujourd'hui, car je me dis que je devais avoir quelques tendances suicidaires dans le ventre de ma mère, que j'étais trop bien pour vouloir en sortir, mais chaque fois, étrangement, ma mère me regarde avec de gros yeux. C'est probablement parce que ça a été l'épisode le plus éprouvant de sa vie? Allez savoir. Bref, j'ai par la suite grandit dans une famille et un milieu sain et assez aisé financièrement. Du moins, assez pour que je puisse vivre correctement, mais quand même pas suffisamment pour que je devienne l'une de ces petites filles gâtées et capricieuses. Ensuite, tout fut normal. Excusez-moi de vous décevoir si vous vous attendiez à ce que je vous raconte que je suis devenue lors de mon adolescence une garce effroyable qui tire son bonheur du malheur des autres et qui prend un malin plaisir à piétiner ceux qui la vénèrent pour une raison qui échappe tout le monde, mais qui persiste. Non, je ne suis pas devenue comme elle et je n'ai jamais adopté leur mode de vie. J'ai découvert toutes les choses que j'avais à découvrir à 14 ou 15 ans, j'ai été une véritable ado l'espace d'une année, sans plus. Je n'aimais pas voir ma mère serrée la mâchoire dans son fauteuil en me voyant débarquer à la maison à trois heures du matin d'un endroit qui lui était inconnu. Mes parents m'ont laissé faire, sachant très bien qu'un jour tout reviendrait à la normale en aussi peu de temps qu'il faut pour le dire. C'est effectivement ce qui s'est produit. Je me suis rapidement assagit, lassée d'être l'une de ces filles pseudo-rebelles. Je ne veux pas dire par là que je ne suis plus la fille aguicheuse, enjôleuse et amusante que j'étais, mais je suis devenue mieux. La différence était simplement dans le fait que j'ai décidé de me respecter, autant mon corps que ma personne. Alors oui, je suis toujours aussi aguicheuse, taquine, enjôleuse et délirante, mais avec modération. Je ne le suis pas constamment mais bien quand ça me plaît de l'être, et je crois que c'est ce qui a forgé ma personnalité lors de ce tournant de ma vie. J'ai franchi le collège et le lycée avec mention très bien, pour ensuite être acceptée à Yale, rêve que je cajolais depuis déjà plusieurs années. Mon meilleur ami, Lennox, m'avait laissé pour cette université deux ans auparavant, et j'allais maintenant le rejoindre. J'avais déjà trouvé ma vocation: le Droit me correspondait parfaitement. Avec la répartie que j'ai, c'était difficile de passer à côté. Me voici donc à New Haven, dans une résidence assez sympa, avec des filles assez sympa.

Dernière édition par Ninabeth Wardrove le Mar 1 Déc - 3:36, édité 3 fois

Bienvenue

WARDROVE - sweet escape. TERMINÉ. 626945

Re-rebienvenue,
Et bon courage pour ta fiche WARDROVE - sweet escape. TERMINÉ. 690877

Vraiment hâte de commencer le RP avec toi ^^

Bienvenue ^^

Merci les gens.
J'ai hâte de RP avec toi aussi, Lennox. WARDROVE - sweet escape. TERMINÉ. 325641

C'est terminé, ou presque. Il ne reste qu'un petit détail à remplir qui m'énerve...La confrérie.
Est-ce que l'admission aux ZBZ sera de nouveau ouverte bientôt? Parce que franchement, c'est celle qui correspond le plus au tempérament de mon personnage, et je n'ai pas envi qu'elle soit sans fraternité. Donc...?

bon.. je t'accepte chez les ZBZ, je suis gentille aujourd'hui comme toujours à vrai dire xD WARDROVE - sweet escape. TERMINÉ. 204263

*out*

Validé

jm

3400