shaqueel deavon ; terminé :)

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Shaqueel Daevon « L'espace, l'ultime frontière. »

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informations générale
date de naissance : le 13 mars 1987
originaire de : Valdez, AK
nationalité : américaine
situation amoureuse : célibataire
moyenne scolaire sur 100 : 91 / 100
études en cours : mathématiques et informatique
le dossier confidentiel
description physique : Du haut de mes 190cm et mes 85kg, je peux dire que je prends une petite revanche contre les années passées. Sans en tomber au niveau de "j'étais petit, moche et maigre", je ne peux pas dire le contraire pour autant. Lunettes sur le nez, traits disgracieux et des bras secs comme Toutankhamon, je me rends compte aujourd'hui que j'étais le stéréotype parfait du premier de la classe, féru en informatique et en sciences, un Steve Urkel à la sauce caucasienne - ce qui, je l'avoue, n'est pas loin de la réalité. Mais à mon entrée au lycée, en quelques mois seulement, je grandis et bientôt je dépassais d'une tête la plupart des garçons, je découvris les joies d'une salle de sport et cette merveilleuse invention que sont les lentilles de contact. J'appris également, aux dépends de nombreux râteaux, que le t-shirt jaune est à proscrire avec un pantalon vert, que le pantalon vert est à mettre à la poubelle, que la chemise bariolée doit rester dans l'armoire de papy et que le pullover à tête d'élan offert au Noël précédent par Tante Berthe doit se cantonner aux dîners avec la dite Tante. Seule ma chevelure, peut-être, n'a pas beaucoup changée : ni courts, ni longs, mes cheveux sont bruns et partent dans tous les sens naturellement, et ce depuis ce jour où j'ai refusé, les mains sur les hanches, du haut de mes 7 ans, la coupe de tête d'œuf que m'imposait jusqu'alors ma mère. Mon regard, c'est évident, est lui aussi toujours le même (quoique désormais découvert des épais verres des lunettes) : d'une teinte brune, également, un brun foncé, chaleureux, profond - et là, je n'ai rien à envier aux petits blondinets qui se vantent du bleu clair, froid et sans relief de leurs yeux. Mes traits, à présent bien prononcés, se sont durcis avec l'âge, me donnant un visage très carré mais paradoxalement, très expressif. Il suffit que mes lèvres forment un sourire, une moue, que mes sourcils se froncent d'une manière ou d'une autre pour que je me fasse comprendre. En général, je me rase tous les matins, mais parfois, je suis tellement fatigué, à la bourre ou alors atteint d'une grosse crise de flemme que je garde une barbe de quelques jours, mais ça ne dure jamais très longtemps.
J'ai une fine mais longue cicatrice le long de mon avant bras droit, souvenir de mon passage à travers la porte vitrée de notre maison lorsque j'avais 14 ans, et je me suis fait tatoué peu après mon entrée à Yale une croix celte sur l'omoplate gauche.
description de caractère : J'ai un caractère assez particulier, pas toujours évident à cerner mais en fin de compte, pas si compliqué que cela. La seule chose qu'il faut absolument saisir sous peine d'être surpris, vexé ou je ne sais quoi, c'est que ma personnalité peut changer de A à Z en quelques fractions de secondes. Je peux vous sembler souriant, jovial, enjoué et l'instant d'après me refermer comme une huitre, baisser les yeux, bredouiller quelques paroles incompréhensibles.
D'une manière général, je suis un garçon très souriant, ouvert, malicieux voire enfantin. Malgré mes 22 ans et un QI bien plus élevé que la moyenne, je serai toujours plus à l'aise en discutant de l'arôme de glace du moment, la bande dessinée tout juste sortie ou de la forme du nuage qui passe à ce moment dans le ciel que dans de grands débats de politique, d'environnement ou encore de crise. Cependant, même si je ne me sens pas assez à l'aise pour y exprimer une quelconque opinion, je m'y intéresse, d'assez près, même, étant conscient que l'avenir s'y joue. Finalement, en dépit de certaines apparences, je suis d'une nature plutôt sérieuse, consciencieuse. Je sais également m'amuser, mais je ne vois aucun intérêt prendre une cuite tous les soirs ou sauter chaque fille que je croise. En parlant de fille... Je crois que ma plus longue relation a duré à peu près ... (ben oui, compter c'est pour chocottes!) quatorze jours et trois heures, et elle vivait à 47km de chez moi. Ce n'est pas fameux, mais autant je m'entends bien avec la gente féminine, je me sens à l'aise en la côtoyant et apprécie de discuter avec, autant je vire au rouge pivoine, ai presque des sueurs froides et bafouille des bêtises inimaginables lorsqu'une fille tente un rapprochement ou me sourit d'une manière un peu trop éloquente. Il faut dire que je n'ai pas vécu beaucoup d'expériences sociales très gratifiantes dans mon adolescence, et la confiance en moi, dans ce domaine, n'est pas mon fort. Je n'aime pas m'imposer, je n'en ai jamais eu la faculté, et souvent donc je me laissais marcher sur les pieds sans oser protester. Aujourd'hui, la situation a un peu changé, j'ai pris quelque peu en assurance au fil des années, mais je reste encore et toujours le bon gars qui se fait un peu chahuter dans tous les sens, mais qu'on aime bien, au final. Oui, car je n'ai que peu d'ennemis, voire pas du tout ; je n'ai pas un caractère qui blesse facilement autrui, et je suis tout sauf rancunier. Je suis volontaire, persévérant, optimiste. Toujours présent pour mes amis et même pour les autres, on s'attache facilement à moi, tout comme je m'attache facilement aux autres. À l'inverse, je peux me montrer très têtu. Je suis ouvert d'esprit, mais lorsque je suis sûr d'une chose, je suis très fermé dans mes propos. Même si mon affirmation s'avère ensuite fausse, jamais vous ne m'entendrez l'avouer. J'ai également tendance à me montrer naïf, influençable, et souvent, ce défaut me joue des tours ; dans ce cas, je peux réagir très impulsivement, en vouloir au monde entier pour après coup le regretter amèrement. Aussi, en bon futur informaticien, je n'ai aucun sens de la patience et il me faut tout, tout de suite, sous peine de me jeter un froid intersidéral.
orientation sexuelle : hétérosexuel
histoire générale : voir poste suivant.

bizutage des bleus
confrérie souhaité : lambda zeta etha
motivation pour la confrérie : huk, c'est une question sérieuse ? Peut-être bien qu'on approprierait plus mon physique à un ΩΧΔ ou un ΒΛΥ qu'à un ΛΖΗ (du moins, c'est ce que doit visiblement penser la gente féminine, toujours très charmante), mais même le plus ignorant devinera en moi le geek que je suis, sitôt la bouche ouverte (à partir de ce moment là, la gente féminine est un peu moins charmante)... Entre les débats sur la remastérisation du dernier volet de Star Wars, le dernier bug en date de Windows et qui serait Robyn sans Batman, aucun doute, je mérite indéniablement ma place chez les Lambda Zeta Etha.
petites questions entre amis
ton meilleur ami te fait des avances, tu fais quoi ? : Je mets trois plombes à comprendre, puis vire blanc immaculé et tombe dans les pommes.
embrasserais-tu la personne à côté de toi ? : pourquoi pas, mais sachant que je suis constamment entouré d'individus masculins et que le seul contact féminin quotidien que j'ai est l'haleine à vous dégommer Gollum de ma prof de mathématiques, je m'abstiendrai pour le moment de tout acte de ce genre.
déambuler nu(e) dans yale, ça te fait peur ? : et si je te disais que c'est déjà fait ?
plutôt Vodka ou Redbull ? : D'un point de vue technique et surtout pratique, le Red Bull présente bien des avantages, à mes yeux. Quoi de plus frustrant qu'avoir à se servir de ses deux mains pour dévisser le bouchon d'une bouteille de vodka, pris dans le feu de l'action d'une partie de jeux vidéo ou en plein codage, alors que l'ouverture d'une canette de Red Bull ne nécessite qu'un pouce et un index ! Ceci dit, le Red Bull est probablement la chose la plus infecte au monde, aussi, je répondrai sans regret par ce proverbe russe : «Il faut boire de la vodka en deux occasions seulement : quand on mange et quand on ne mange pas.»
genre, t'as combien de contacts facebook ? : 483, 498, ça varie, en fonction des jours... et des bugs. Oui parce que, il est bien gentil le petit Mark, mais perdre trois amis en une nuit, en retrouver dix le lendemain et en reperdre le double le jour suivant...
tu peux nous dire quelque chose en italien ou en espagnol ? : vous savez, tout ce qu'il y a d'espagnol chez moi, c'est mon prénom, et encore. Et en italien, à part pizza, bolognese et mozzarella, non désolé, je ne vois vraiment pas.
chante une chanson française, si t'en connais une... : est-ce que born to be alive compte comme chanson française ? YOU SEE WE'RE BORN, BORN, BOOORN...
ton gros mot préféré ? : Longtemps, j'ai raffolé des "Espèce Breen croisé avec un Wookie" ou des "Saleté d'affreux batracien pourri et puant", mais aujourd'hui j'ai gagné en impatience un simple « Putain ! » traînant en longueur suffit amplement à décharger mes nerfs.
tu es du genre à coucher au premier soir ? : en général, il n'y a pas de second soir, donc, indéniablement, oui.
cap ou pas cap de draguer le prof d'économie ? : « autant embrasser un Wookie ! », dirait Leia. Plus sérieusement, si ça rapporte des points, pourquoi pas ?
t'as envie de moi maintenant là, tout de suite ? : peut-être que si tu as un petit quelque chose à la Deanna Troi...
je t'emmerde, tu me réponds quoi ?: tout dépend de tes mensurations :)
le mot de la fin ? : « Il y a 10 types de personnes dans le monde : celles qui comprennent le binaire, et celles qui ne le comprennent pas. » (c'est de l'humour geek, tu peux pas comprendre)
la réalité vraie
ton prénom, ou pseudo ou les deux : adeline et yankee.
ton âge ou l'âge que t'as pas (a) : 15 ans
note ce design sur, 10, 100 ou 1000 : 10000000
avatar : josh hartnett
pourquoi ce forum & pas un autre ? : le design, le contexte, tout (:
question stupide; starsky ou hutch ? : les coco pop's;c'est nul, on veut de chocogrenouille !
le mot de la fin ?

J

e suis né le 13 mars 1987, à Valdez, en ... Alaska. Oui, bonjour le stéréotype : "Y'a aussi des hôpitaux chez les glaçons ?" Je répondrai simplement que oui, il y en a, mais que mes parents s'avèraient être déjà à l'époque de fervents serviteurs au profit de l'écologie ; ainsi, je suis né à la maison, le trajet domicile-hôpital s'avérant être trop important pour être couvert en Jeep, et malheureusement mon père n'avait pas de caribous sous la main pour y conduire ma mère. C'est donc dans la maison de mes parents, Jamie et Annabel Daevon, la vingtaine à peine dépassée, que je vis le jour. On m'attribua l'étrange prénom de Shaqueel, un héritage de la passion passagère de ma mère pour une série niaiseuse espagnole de l'époque.

J'étais le premier enfant d'une famille qui, dans les cinq années qui allaient suivre, allait s'agrandir de deux petites soeurs jumelles et d'un frère. Mon père était chercheur dans le domaine de la biologie ; passionné par la banquise et ses changements au fil du temps, il avait quitté la chaleur peu propice à ses ambitions de la Nouvelle-Orléans, sitôt qu'il eût épousé ma mère, pour venir s'installer en Alaska. Malgré cela, il était souvent absent. Ma mère, quant à elle, n'avait pas poursuivi d'études le lycée terminée, mais se disait "artiste", et produisait effectivement entre deux couches sales à changer des toiles très, comment dire... Abstraites, mais intéressantes.

Nous n'étions pas dans le besoin, mais je n'aurai tout de même pas pu intégrer une université comme Yale sans une bourse. Heureusement, je me suis montré brillant élève dès le début de ma scolarité - j'ai même sauté non pas une mais deux classes primaires, sans le moindre soucis d'intégration à un quelconque moment, du moins d'un point de vue scolaire. D'un point de vue sociale, par contre, je n'ai jamais vraiment eu beaucoup d'amis, "trop en avance sur mon âge" ou au contraire "trop en retard", selon mes différents professeurs. Je n'en ai jamais vraiment souffert, trouvant toujours du réconfort lorsque parfois j'en avais besoin dans une bonne vieille équation ou auprès de Kirk et Spoke.

Jusqu'alors, je n'avais jamais vraiment songer à mon avenir. Enfin, si ; je savais déjà que je voulais devenir astronaute et suivre de grandes études dans la très prestigieuse Université d'Alaska (hum...). Autant dire que pour moi, des universités comme Hardard, Yale ou Stanford n'avaient pas grand intérêt. Malheureusement, au début de l'été de mes onze ans, mon père, la soeur et moi-même avons eu un accident de voiture. Mon père ne s'en sorti pas, mourant quelques jours plus tard suite à ses blessures. Ma mère, dévastée, nous envoya passer mes frères et soeurs et moi les vacances d'été chez nos grands-parents maternels, installés dans le Connecticut. C'est là, en voyant ces centaines et ces centaines étudiants défilés, jour après jour, que je pris conscience que je voulais plus que la 'petite' université de Fairbanks. Dès lors, je travaillai encore plus dur, jusqu'à obtenir, quelques années plus tard, une bourse haut la main et mon ticket d'entrée sans problème à Yale.

shaqueel deavon ; terminé :) 09113010001155621

juillet 1993, providence valdez medical center.

« Une odeur étrange flottait dans l'air. Un mélange de chlore, d'acide peracétique. Je plissai les narines, me rappelant soudainement l'odeur du docteur Haus, une armoire à glace douce comme un vieil ours, incapable de prononcer ne serait-ce qu'une seule syllabe de mon nom correctement. J'essayai d'ouvrir les yeux pour voir si c'était bien lui qui était à l'instant penché sur moi, me soufflant désagréablement sur le front, mais mes paupières restèrent quasiment immobiles. Comme si elles avaient été chargées de plombs, ou encore... collées ensemble. Un coup à la Zac McGyvan, c'était certain ! Depuis ce jour où j'avais signalé au prof de gym la faute qu'il n'avait pas vu en défaveur de l'équipe de Zac, en basket, ce dernier m'en faisait voir de toutes les couleurs. Oh, rien de bien grave, mais me coller les yeux, je m'en serais bien passer... Je levai mon bras, pour porter ma main à mon visage, pour constater l'étendue des dégâts - mais mon bras resta collé au matelas. Un matelas ? Je me demandai soudainement où je me trouvais. Mon esprit, embrumé, devait me jouer un sale tour car je n'en avais pas la moindre idée. Je ne me souvenais même plus de ce que je faisais, avant que cette odeur de désinfectant parvienne à mon nez. Du désinfectant ! Oui, c'était cela. Une odeur de désinfectant, une odeur... d'hôpital. La personne, dont le souffle à présent sur mes lèvres me chatouillaient, posa ma main sur mon front. Je voulus protester mais je ne parvenais à bouger la moindre partie de mon corps, fournissant pourtant un effort colossal. La peur s'empara petit à petit de moi, mais une voix, familière, douce -bien que hoquetante à cet instant- m'offrit un point d'accroche.

▬ Shaqueel ?

Je me concentrai sur les intonations de cette voix, sur son ton, sa mélodie. J'avais un peu de peine à comprendre, comme si quelque chose étouffait le son, une étrange sensation que je ne saurais d'écrire.

▬ Tu m'entends, mon chéri ?

C'était elle, c'était ma mère, je reconnaîtrais sa voix entre mille. Petit à petit, je réussis à ordonner mes pensées, je sentis des fourmis aux bouts de mes doigts, dans mes jambes, une profond mal de tête s'empara de moi et doucement, je parvins à ouvrir les yeux. Au dessus de moi se tenait deux visages, un que je connaissais bien, et un autre, d'un parfait inconnu. Je me concentrai sur les jolis traits de Annabel, ma mère. Quelques secondes passèrent, je luttai pour chasser les derniers nuages qui encombraient ma tête, je clignai des yeux deux fois puis je m'attela à la tâche difficile de faire bouger mes lèvres. Je ne réussis qu'à prononcer quelques mots, qui me semblèrent inaudibles.

▬ ... Maman, je... où ?

Je plissai les yeux - je me rendis compte que je n'avais pas mes lunettes, car je n'y vois fichtrement rien. Je discernai un peu plus nettement les choses : je pus constater que le plafond était fait de lattes de bois, qu'un néon y était accroché... Mais rien ne pouvait m'indiquer le lieu où je me trouvais. Mon regard, plus net, se reposa alors sur le visage de ma mère. Celui-ci me choqua presque, tant la tristesse s'y devinait, les traits d'habitude si heureux de ma mère étaient là délavés par des larmes, par encore toutes chassées. Je m'agitai un peu , tentant de me redresser.

▬ Chut, Shaki, reste tranquille !

Elle posa ses mains sur mes épaules et me repoussa. À vrai dire, elle n'en aurait pas vraiment eu besoin ; mon esprit s'affolait à nouveau et la douleur que mon geste m'infligea me fut insupportable. Je refermai les yeux, sentant monter les larmes. J'entendis ma mère soupirer doucement, inspirer bruyamment. Je la sentis comme sur le point de s'exprimer, mais je n'entedis qu'un sanglot étouffé. Une autre voix, alors, s'éleva. Masculine, bien plus forte, plus assurée. Mais non moins triste.

▬ Tu es à l'hôpital, mon petit. Tu as eu un accident il y a trois jours et tu étais dans un léger coma, tu viens de te réveiller et ...

L'homme poursuivit sur sa lancée, mais je ne l'écoutais plus. Au mot "accident", mon esprit fut envahi d'images. Ma petite soeur qui jouait à côté de moi dans la voiture avec sa poupée, moi qui réunissait toute mes forces pour lire le dernier Batman sans avoir le mal de voiture - râté, comme d'habitude, mais pour rien au monde j'aurais laissé tomber mon superhéros préféré, sur le point d'attraper le méchant ! Mais après celà... Tout était flou. Je ne savais plus. Un gros noir. Non, un klaxon, avant ça. Et un crissement de pneu. Mais après, plus rien.

▬ Ton papa est mort, Shaki.

Une petite phrase qui me ramena sur Terre. Alors que mon esprit était embrumé, alors que les sons me semblaient étouffés, ces quatre mots me parurent plus que clair. J'entendis chacune des syllabes parfaitement, comme si quelqu'un me l'avait dit depuis l'intérieur. Lentement, j'ouvris les yeux. Je fixai le visage penché sur moi de ma mère. Un ange passa. Une larme vint naître au coin de son oeil, roula le long de sa joue et vint mourir sur ses lèvres. J'avais compris. »

Welcome

oh my bordelou god =o Joshhhh

BIENVENUE shaqueel deavon ; terminé :) 70179

merci

DEYVON;

Un autre JOSH! shaqueel deavon ; terminé :) 218502

Bienvenue & bonne continuation!

j'aime beaucoup ta fiche! shaqueel deavon ; terminé :) 887538

c'est chouette d'avoir un autre geek, disons qu'on en manque : D
alors, vous étiez deux à vouloir Josh, mais comme tu étais là d'abord, et que vos fiches ont été terminées pratiquement en même temps, l'avatar te reviens.
tu es donc validé!

Donc donc donc, n'oublie pas d'envoyer ton(tes) secret(s), des trucs qui dérengent ton personnage par message privé à Junk-Machine, si ce n'est pas déjà fait! merci! :)
Nous accordons à ton personnage un total de 1700 points sur JM! N'oublie pas de réserver ton avatar!

amuse toi bien sur JM : D
il nous faudra un lien! J'aime ton personnage et j'aime Josh : ) & les geek c'est cool :D